Depuis que Suzanne m'avait autorisé à aller dans sa chambre pendant ses absences, je ne me gênais pas pour essayer toute sa lingerie. Je m'admirais des heures sur les miroirs de son armoire de chambre. parfois en petite culotte (pas si petite car la mode à cette époque était plutôt aux grandes culottes montantes), parfois en gaine ou corset. Toute cette lingerie me faisait réagir instantanément et j'étais toujours en érection.
Jamais Suzanne ne venait me déranger. Elle me laissait à mes plaisirs solitaires. Seule la première fois, elle est venue me voir pour acheter mon silence en échange de cet accord.
Je ne surveillais donc plus son retour à la maison. Tout au plus, quand j'entendais la porte du bas s'ouvrir, je savais qu'il me restait encore quelques minutes à passer "en fille", à me mater dans la glace.
J'arrivais à la fin de mon séjour, nous étions vendredi, je reprenais le train le lendemain. Suzanne m'avait laissé "quartier libre", aucun travail à effectuer, et était partie pour la journée.
Je m'étais dit que dans ces conditions, j'allais profiter un maximum et passer la journée en lingerie, nuisette, culotte, bas, soutien gorge, tout ce que je pourrais essayer.
Cela faisait déjà quelques heures que je me faisais plaisir, il y avait des sous-vêtements partout dans la chambre, je n'arrêtais pas de me changer pour sentir toutes ces belles choses sur ma peau.
Tout d'un coup, j'ai entendu la porte du bas s'ouvrir. Je me suis dit que Suzanne était rentrée plus tôt que prévu. J'allais mettre du temps à descendre avec tout le bordel que j'avais foutu dans ses armoires et ses tiroirs.
Je l'ai entendu monter l'escalier et ouvrir la porte de la chambre, et là, surprise ! ça n'était pas Suzanne mais son mari Marcel qui rentrait plus tôt de déplacement.
A son regard, je l'ai vu surpris et interloqué.
Bonjour Jean, me dit-il, que fais-tu dans la chambre de Suzanne ?
Essayant de ne pas être surpris et pris en flagrant délit, je lui répondis "Suzanne est partie pour la journée et m'a demandé de mettre un peu d'ordre dans ses affaires".
" En effet, je vois ça, c'est quoi toute cette lingerie sortie des tiroirs ? Et d'ailleurs ne portes-tu pas la nuisette de Suzanne ?"
"Oui Marcel, en rangeant, j'ai voulu, je ne sais pas pourquoi essayer cette nuisette mais t'inquiètes, je l'enlève tout de suite"
"Non non, garde là. Fais moi voir plutôt comment elle te vas. Tourne toi un peu que je te vois de dos."
Obéissant à sa demande, je me tournais en essayant de me cambrer le plus possible. Je sentis sa main suivre le tissu des épaules à mes fesses en s'attardant sur ma chute de rein. Je sentais une érection venir et luttais contre.
Il souleva la nuisette et aperçu que je portais aussi une culotte de sa femme.
"Mais c'est une culotte à Suzanne que je vois là, en plus, celle que je préfère. J'adore quand elle la porte et je t'avoue que tu la porte aussi bien."
Ses mains caressaient le tissu satiné de la culotte en insistant un peu sur l'entrejambes. Cette fois, mon érection était complète et tendait le tissu de cet écrin.
Il me retourna et devina mon membre bien dur sous la culotte.
Sans dire un mot, il abaissa celle-ci pour libérer un clito comme il n'en avait jamais vu. Je n'osais pas le regarder, mais je sentais son regard sur ma queue. Ses mains ont commençaient à la caresser, et assez vite, il a approché ses lèvres de mon gland et s'est mis à l'embrasser, puis à y poser la langue, puis à le lécher avant de prendre toute ma tige en bouche.
J'étais aux anges et me demandais ce qu'il m'arrivait.
Tout en me suçant, je le voyais défaire son pantalon et son slip pour à son tour libérer son énorme bite tout en érection. Je le voyais se branler d'une main en me suçant et n'avais qu'une envie, la toucher aussi.
Je me suis allongé sur le lit, et à ma grande surprise, il s'est mis en 69 pour continuer à me sucer, en me présentant sa verge magnifique.
Je n'ai pas hésité longtemps avant de la prendre en bouche. C'était une première pour moi et j'ignorais si j'allais aimer, mais j'étais tellement chaude que s'en était devenu incontrôlable. Je me surpris à aimer ce goût particulier et à adorer la consistance ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite