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MA BELLE MERE.

Publié par : lemarquis44 le 01/04/2021

Ma femme ressemblait physiquement beaucoup à sa mère, les années en moins. Elles avaient les mêmes traits de visage et en regardant ma belle mère, qui devait avoir 55 ans à l’époque, je pouvais m’imaginer mon épouse dans une trentaine d’années.
C’était un dimanche après midi ou ma femme était de service à l’hôpital. La sonnette retentit à la porte de notre appartement, je jetais un coup d’œil par le judas et je vis ma belle mère qui était devant la porte. C’était une belle femme issue d’un milieu modeste, mais d’une autre époque, celle de ma mère aussi ou très jeune les femmes s’habillait en sombre. Elle était vêtu ce jour là d’un robe bleu marine à pois blancs avec une ceinture du même tissu à la taille et le bas évasé avec des plis.
Je lui ouvre, « Bonjour ma belle mère, entrez-donc ! » Ce qu’elle fit.
-« Ma fille n’est pas là ? »
-« Ah non aujourd’hui elle bosse, elle est d’après-midi »
-« J’étais venu vous apporter des légumes de mon jardin »
-« C’est gentil ça, merci ! Poser les donc sur la table. Vous allez bien prendre un café ? »
-« Oh oui, pourquoi pas ! »
Je mis la cafetière en route et m’assis à table avec elle en attendant.
Elle attaqua la conversation en me demandant :
-« Alors ça se passe toujours bien avec ma fille ? Toujours amoureux ? »
- « Oh oui plus que jamais ! » et je ne sais pourquoi je m’entendis lui dire
-« et vous, pas trop dur la solitude ? Ça ne vous manque pas un bonhomme ? »
-« Tu sais les bonhommes j’ai assez donné avec le miens, il m’en a tellement fait voir ! »
- « Oui mais depuis le temps qu’il est mort vous n’avez pas envie qu’un homme vous caresse, qu’il s’occupe de vous » et joignant le geste à la parole je posais mes mains sur sa poitrine que je commençais à caresser à travers ses habits.
- « Mais ! Mais ! Que fais-tu ? » Sans lui laisser le temps de réagir je commençais à déboutonner sa robe.
- « Espèce de grand fou, j’ai l’age d’être ta mère ! » Je n’en continuais pas moins à déboutonner sa robe et à plonger ma main vers ses seins. Elle essaya mollement de me l’enlever en me disant :
- « Grand fou ne fait pas ça ! » mais je la sentis sans conviction prête à s’abandonner.
J’avais maintenant défais sa robe jusqu’en bas pour laisser apparaître un soutien gorge couleur chair comme les femmes d’un certain age en portaient à cette époque. Celui ci était plein a craquer, ses seins débordant par dessus. Je tirais les bonnets de ce soutien gorge pour en libérer ses lourde mamelles qui tombèrent sur son ventre. Je mis aussitôt à les caresser et les palper. La pauvre femme qui se demandait ce qu’il lui arrivait respirait de plus en plus fort. J’approchais ma bouche de ses tétons et me mis à lui téter. Elle qui avait élevé sept enfants elle devait être habitué.
- « Arrête grand fou, ce n’est pas bien, pense à ta femme » me disait t’elle. Mais je n’en n’avais nullement l’intention.
Je l’a fit se lever et l’entraînais dans notre chambre. Là je lui enlevais complètement sa robe et dégrafais son soutiens gorge. Puis je passais à son slip de couleur chair lui aussi. En le baissant je vis apparaître une monstrueuse toison de poils pubien de couleur rouquine comme celle de sa fille. Moi qui n’aime pas les poils, j’étais servis. J’avoue que je trouvai pas ça très glamour.
Je la fis s’allonger sur le lit et me déshabillai rapidement. Je grimpai sur le lit lui écartais les cuisses et vint me placer à genoux entre lui faisant face. j’entrepris à nouveau ses mamelles puis mes mains descendirent vers son sexe. Je la mis un peu en boite avec son tablier de sapeur, lui disant qu’il faudrait peut être faire le ménage sinon je n’allais pas trouver l’entrée. Elle tremblotait, on aurait dit qu’elle avait peur. Elle me fit l’impression d’une petite fille qui allait se faire déflorer. J’en fus ému et failli renoncer mais au point ou nous étions rendu, je me voyais mal lui dire « Allez c’est bon rhabillez-vous et rentrez chez vous ! » Elle m’avoua après que c’était l’émotion de ne pas avoir fait l’amour depuis si longtemps. Après la mort de son mari elle avait élevé seul toute sa marmaille et n’avais pas pris le temps de s’occuper d’elle.
Je me penchai sur son vagin et écartais du mieux que je le pouvais tout ces poils laissant apparaître sa fente vulvaire. J’écartais ses lèvres pour découvrir son clito. Comme celui de sa fille il était assez développé. Je m’empressai de poser ma langue dessus et de le titiller. Elle qui jusqu’à présent c’était monté passive commença à réagir. Je la sentis frémir et entendis émettre de petit gémissements. Je lui maintenant le minou à pleine bouche,fourrant ma langue dans son vagin le plus loin possible comme je le faisais avec sa fille. Ses gémissement étant de plus en plus prononcés, je changeais de position afin de la pénétrer. Je plaça ma bite à l’entré de sa vulve et la pénétra d’un seul coup. Je me mis à allez et venir de plus rapidement dans son vieux vagin, elle se mit alors à hurler. Je venais de lui déclencher un orgasme comme elle n’en avait plus connu depuis trop longtemps. Du coup je jouis rapidement moi aussi et vidais mes couilles tout au fond de la vieille.
Nous reprîmes tranquillement nos esprit. « Espèce de salop ! » me dit-elle. « Moi qui avait fait oublié ça ! ».
elle remit sa culotte, se rhabilla et se dirigea vers la porte.
- « attendez, on va prendre le café, il est prêt » Lui proposais-je
- « Excuse moi mais je n’en est plus envie, laisse moi maintenant s’il te plaît »
- « Vous êtes fâché ? » La questionnais-je.
- « Non,non, mais tu ne perd rien pour attendre ! » Et elle franchit la porte.
- « On ira vous rapporter votre panier, au revoir ! »
- « C’est ça, au revoir ! » et elle disparu dans l’escalier.
Je pensais à ce que je venais de vivre, j’avais honte de ce que je venais de faire, mais n’y avions nous pas trouver du plaisir tout les deux ?
Je pensais à sa culotte qu’elle avait remis sans s’essuyer. Je me suis dit qu’en arrivant à son domicile elle avait du la quitter et renifler et peut-être même lécher mon sperme qui s’était écoulé de son vagin. N’avait t’elle pas gardé précieusement cette culotte sous son oreiller et la sortait pour la sentir en pensant à son gendre.
Les jours et les semaines suivante nous continuâmes de lui rendre visite avec ma femme. Ma belle mère faisait comme si rien ne s’était passé entre nous. Elle se comportait exactement comme avant vis a vis de moi.
Les moi ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Hétéro, Pénétration vaginale, Mûrs, Marié(e)s