Avant de partir aux Armées, à l’époque où je travaillais dans le bâtiment j’étais fumiste, nous faisions quand c’était la période les ramonages à l’ancienne.
A cette époque on montait sur les toits avec la corde et le hérisson lesté au bout. Nous faisions également des chantiers complet de l’appartement jusqu’au toit puisque c’était mon métier.
Quand nous faisions le ramonage des fois nous étions accueillis par des clientes en petites tenues mais il ne s’est jamais rien passé pour la raison que dame nature n'ayant pas généreuse j'avais honte de me montrer.
Pourtant j’avais la cote avec divers types de femmes selon mon compagnon mais comment me mettre nu devant celle qui a envie d’être comblée et de lui montrer mon jouet.
Une fois seulement dans les derniers étages d’un ancien immeuble lors d’un chantier où je faisais des finitions de plâtre dans un couloir de chambres de bonnes.
il y avait des WC avec une porte en bois en planches ajourées.
Une femme est sortie de sa chambre pour y aller en me saluant au passage.
Étant seul je me suis précipité pour mâter, étant le plus bas possible et regarder à travers les planches si l’on voyait quelque chose. Oui je voyais bien, l’urine coulait et ses longs poils étaient humectés au passage, quelque gouttes restaient sur le haut des cuisses sous les fesses, plus l’odeur de son urine qui passait.
Le bruit de cette cataracte jaune d’or me faisait bander, quand j’ai entendu que l’on m’appelait, comme un idiot j’ai répondu en me relevant près des WC alors que j’étais sensé être plus loin dans le couloir. Quand elle est sortie des WC elle m’a toisé droit dans les yeux et je suis devenu rouge et j’ai baissé les yeux.
Quelques jours après mon compagnon m’a demandé de venir voir chez une locataire qui avait des retouches de plâtre à faire. Quand j’ai vu où il m’emmenait j’étais paniqué car c’était la dame en question. Effectivement il y avait des petits travaux à faire mais je ne voulais pas manquer à l’équipe.
Mon compagnon m’a rassuré en me disant que s’il avait besoin de moi il viendrait mais on n’avait presque fini le chantier avec un peu d’avance. Donc je pouvais travailler chez la dame tranquille. Il avait quand même je pense une idée derrière la tête me concernant.
Le lendemain matin quand je suis venu chez elle, je frappe à sa porte et je l’entends me répondre des WC. Quand elle en est sortie j’étais encore plus rouge sachant ce qu’elle venait de faire.
Pendant que je préparais mon chantier en démolissant l’enduit qui voulait bien tomber je me suis vite aperçu que son mur était sain et qu’il n’y avait pas grand-chose à faire. On était en train de discuter elle de son métier d’institutrice et moi du mien en faisant ces travaux, sur ce que l’on faisait comme chantier et de ma situation personnelle.
Moi célibataire chez sa mère, pas de copines et beaucoup de difficulté pour moi de me sentir à l’aise en couple à cause de ma taille ridicule.
Par contre me dit elle si ton sexe est timide tes yeux ne le sont pas, je faisais style de ne pas comprendre. L’autre jour qu’as tu regardé dans le bas de la porte des WC, avant que je réponde elle me dit que parterre il y avait des traces de plâtre alors que j’étais sensé travailler au bout du couloir, et qu’avec la lumière dans le couloir elle voyait bien une ombre en bas de la porte et qu’elle était restée les jambes bien écartées exprès. J’étais paralysé ne sachant plus quoi répondre.
Comme j’avais fini le plâtre je lui demandais si elle voulait que je fasse autre chose comme travaux. Comme elle ne répondait pas je lui ai dit en pleurant presque que j’étais désolé si j’étais venu mater mais c’était plus fort que moi et j’en avais besoin car c’est le seul plaisir que j’arrive à m’offrir.
Elle me dit que je mériterai que mon patron soit au courant, j’ai tout de suite demandé pardon et lui demander de ne rien faire sinon je serai viré. Elle voulait faire la méchante et me dominer avoir la main mise sur le gamin immature devant elle.
Elle me demandait si je faisais souvent ça et pourquoi. Je lui ai expliqué que comme la nature ne m’avait pas gâté j’avais honte de me montrer et que je cherchais d’autres façons d’avoir du plaisir. A cette époque je me branlais tout le temps.
Quel genre de plaisir tu recherches me dit-elle, de plus en plus curieuse. Je me suis confié pensant que comme ça elle ne me dénoncerait pas.
Je lui ai dis que quand nous faisions des chantiers je prétextais d’aller dans la salle de bain ou au WC pour chercher le panier de linge sale, voir si y avait des culottes de femmes pour les sentir. Mais tu es un véritable pervers je ne comprends pas ce que tu cherches en faisant ça, tu ne préférerais pas sentir et goutter directement le sexe d’une femme. Comme un débile je réponds que malheureusement ce n’était près d’arriver vu mon appréhension à me montrer nu. Mais tu n’as qu’à rester habillé et tu n’auras plus de problème.
Et je la vois s’asseoir au bord du lit retirer sa culotte et me la donner, sent la dit elle tu me diras si ça te convient.
Comme dans un rêve je reniflais sa culotte chaude et humide en fermant les yeux, elle ...

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