J'en étais où …. J'ai pas le temps de réaliser qu'elle a changé de ton qu'une douleur puissante et inconnue m'arrache un cri aussitôt étouffé par l'oreiller que sa main derrière ma nuque m'oblige à bouffer. Elle vient d'enfoncer quelque chose au plus profond de mon cul et le tient bien au fond en me disant : détend toi petite coquine, tu vas voir que si tu te détends tu ne vas plus vouloir que je l'enlève.

Je ne peux rien lui répondre, j'essai juste de retrouver une respiration normale pour atténuer la douleur qui, malgré ses dires, ne s'estompe pas.. Je la sens commencer à retirer le gode, ce qui n'a pas pour effet d'atténuer la douleur… Au moment ou enfin mon cul va être libéré, elle me susurre : "j'adore m'occuper d'un joli petit cul de salope, surtout quand il ne demande que ça maintenant écarte bien tes fesses ma petite pute parce que si tu crois que c'est fini tu te trompes"

Et la voilà qui commence des vas et viens qui m'arrachent des cris qui ont pour effet de l'exciter encore plus "j'adore dépuceler les petits culs des mecs.. Elle ne te fais pas ça ta femme… Tu penseras à moi la prochaine fois que tu l'enculeras… si elle te voyais à quatre patte sur mon lit entrain de te faire goder et de couiner comme une chienne"

Je ne peux rien lui répondre, je ne fais que gémir et comme elle l'avait prédit, je commence à apprécier et j'éprouve un sentiment étonnant, je n'arrive pas à savoir si j'ai envie que ça continue ou que ça s'arrête.

Perdu dans mes pensée et occupé à gérer le gode qui entre et qui sort de mon cul, je ne réalise pas tout de suite qu'elle prend ma queue dans sa main…. "tu cherches vraiment à être une vrai femelle, je ne trouve même pas ta queue". Je réalise que ma queue a la même dimension que lorsque j'entre dans l'eau bien fraiche en Bretagne, c'est à dire d'un format ridicule.

"Allez petite pute, lâche tes fesses, ton cul n'a plu ...

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