1994. J’avais 30 ans, je travaillais dans le transport express comme chef d’agence, et finissais souvent très tard le soir. Un problème d’acheminement et je devais rester pour régler les problèmes qui allaient inévitablement survenir.
Du coup, mon couple battait un peu de l’aile ; ma femme en avait marre de ne pas me voir le soir voire une partie de la nuit, et notre relation se tendait, sans parler du sexe qui devenait quasi inexistant.
Régulièrement, en rentrant le soir, je faisais un tour d’un quart d’heure dans le quartier des prostituées, qui n’était pas loin de chez moi. Je les matais avec envie, mais sans jamais franchir le pas. Je roulais, et passais devant elles sans m’arrêter, le cœur battant et la honte aux joues.
Elle était au coin d’un boulevard près de la gare. Une beauté juvénile pleine de grâce. Oui pleine de grâce, pas encore abîmée par les années de trottoir. Elle me sourit quand je passai lentement devant elle. Je la dévisageais et son sourire éclatant fit bondir mon cœur. Je continuais ma route et fit le tour du pâté de maison pour repasser devant elle. Elle me sourit à nouveau, toute pleine de charme ravageur avec ses jambes fines qu’enserrait une mini-jupe noire.
Je repartis, mon cerveau bouillonnait : j’y vais, j’y vais pas ? Les putes ça n’était pas trop mon truc, j’y avais goûtée jeune homme pour ne pas mourir bête et par défi. Mais celle-ci me chauffait la bite et mes mois de sevrage avec ma femme m’avait laissé les couilles pleines. Je refis le tour du pâté de maison et m’arrêtais à sa hauteur en descendant ma vitre.
« - Bonsoir, dit-elle en souriant. Une voix suave et légèrement rauque qui me charma.
- Bonsoir, combien prenez-vous ?
- 150 francs la pipe et 300 l’amour.
- OK, montez, dis-je sans réfléchir.
- C’est travesti bébé, je te préviens.
Purée, je n’avais rien remarqué. Mais quel benêt ! Il faut dire que de nuit, habillée sexy, elle faisait vraiment illusion. J’étais hétéro strict, jamais touché un mec ou une bite autre que la mienne.
- Ah désolé. Ça va pas le faire.
- Pas grave, mon chéri. Bonne soirée.
Et je repartis penaud.
Je rentrais chez moi, ma femme dormait. Je me déshabillais et me glissais entre les draps en repensant à cette beauté du 3ème sexe. J’y repensais en pesant le pour et le contre. Elle m’avait troublé et dérangé dans mes certitudes.
Le lendemain matin sous la douche, je me touchais en repensant à ses jambes.
Dix jours plus tard, gros souci au boulot, je partis très tard et surexcité par l’adrénaline emmagasinée toute la journée. Je décidais de repasser par le quartier des putes pour me défouler, tant pis pour la honte. Le cœur serré, j’espérais secrètement qu’elle serait là.
Je passais par le boulevard mais non, pas de beauté travestie en vue. J’étais déçu. Je décidais de me garer et de griller une cigarette, nourrissant l’espoir qu’elle arrive et descende de la voiture d’un micheton. Ma cigarette était finie, et elle n’était toujours pas en vue. Je repartis et fis un tour de quartier. 10 minutes plus tard, j’étais de retour, et elle était là. Je m’arrêtais à sa hauteur.
- Bonsoir
- Bonsoir
- Combien prenez-vous ?
- 150 francs la pipe et 300 l’amour. C’est travesti.
- Ok montez.
Elle fit le tour de la voiture et monta à côté de moi. Elle sentait bon.
- Où va-t-on ?
- Dans mon appart, dans 500m. Tu pourras te garer sans souci.
On discuta dans la voiture, elle était sympa et avait une belle voix, elle s’exprimait bien. Je lui dis que c’était ma première fois avec trav et que j’étais un peu nerveux et très excité. Elle me ...
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