Avec mon épouse nos chemin s’étaient croisés alors que nous étions jeunes et beaux. Nous nous plûmes tout de suite et quelques mois après notre rencontre nous étions mariés.
J’étais fier comme un paon de déambuler dans les rues de la ville avec cette femme à mon bras.
Elle était assez grande blonde avec de bon gros seins bien ronds. J’ai toujours été attiré depuis mon plus jeune age par la poitrine des femmes et avec la mienne j’étais plutôt gâté ! d’ailleurs elle adorait que je joue avec sa poitrine, j’arrivais à lui déclencher des orgasmes rien quand triturant ses tétons. Sa toison pubienne était rouquine, je trouvait ça très sexy mais je lui taillais souvent façon ticket de métro ou en petit triangle. Cela faisait parti de nos jeux sexuel et elle appréciait beaucoup que je lui rase la foufoune. Un jour que nous étions réunis à manger entre amis, l’alcool faisant la conversation vint forcément sur le sexe. Les femmes se mirent à nous parler du leur et soudain j’entendis ma femme déclaré à qui voulait l’entendre « hé ben moi mon mari me l'a rasé hier soir ! »
Il y eu un grand silence dans l’assemblé, j’étais rouge de honte. Puis soudain les convives se mirent à dirent qu’ils aimerait bien voir ça ! Ni une ni deux, ma femme sans doute éméché monte sur la table remonte sa jupe et baisse sa petite culotte en dentelle blanche dévoilant ainsi à l’assemblé son pubis glabre. Je ne savais plus ou me mettre, les hommes mais aussi les femmes ne perdirent pas une miette du spectacle. Ils étaient tous béa d’admiration et à mon avis, le lendemain beaucoup des femmes qui participaient à cette soirée se sont retrouvé le pubis rasé.
Elle m’avait raconté qu’avant de me connaître elle fréquentait beaucoup les bals et que tout en dansant elle aimait bien que les garçons passent leur mains sous sont pull et lui tripote les seins. A l’époque je n’avais pas vraiment prêté attention à ses dires. Mais par la suite ses propos me revinrent à l’esprit.
Nous travaillions tous les deux, elle à l’Hôpital comme aide soignante dans un service de gériatrie et moi comme chaudronnier dans une grande entreprise de la région. Nous étions souvent en équipe et ce n’était pas facile de concilier nos horaires de travail. Si bien que quand j’étais à la maison elle était au boulot et vice et versa. Des que nous pouvions nous retrouver nous faisions l’amour mais parfois nous étions trop fatigué pour cela et à peine au lit je m’endormais, faut dire que parfois je ne rentrai pas trop frais du boulot.
Enfin pour nous la vie s’écoulait comme un long fleuve tranquille pensai-je.
Un samedi soir une collègue de ma femme fêtait son départ en retraite. Elle avait donc pour cette occasion invité tout le service chez elle pour arroser l’événement. Le temps était beau nous étions tous réunis dans son jardin pour boire un coup et manger des grillades. Au bout d’un moment, un peu abruti par le brouhaha des conversations qui allaient bon train de la musique un peu forte et sans doute un peu assommé par l’alcool je me mis un peu à l’écart en allant m’asseoir sur une souche d’arbre. j’étais tranquillement à penser en fumant une cigarette quand un type que je n’avais jamais rencontré auparavant vint me rejoindre. « Alors c’est toi le mari de joceline ? » « Oui pourquoi » « Ben je vais te dire moi, c’est pas une fille pour toi ça ! » « Pourquoi me dit tu ça je ne te connais pas » «Ben moi je connais Joceline, je travaille avec elle et puis tu t’es vu t’es minable tu ne la mérite pas. Un femme comme ça mérite beaucoup mieux que toi moi je te le dit »
Je n’en croyait pas mes oreilles, que me racontait ce type, pourquoi s’en prenait t’il à moi, quel message essayait-il de me faire passer ? Tout ça se mis à tourner dans ma tête, je ne savais pas comment je devais réagir. Il s’éloignât et moi complètement abasourdi par ses propos je suis allé rejoindre le groupe ou se trouvait mon épouse et reprendre une bière. On me causait mais j’étais ailleurs, j’essayai de comprendre.
Vers la fin de la soirée, le type vint de nouveau me retrouver et me dit « Alors ça ne t’as pas plus ce que je t’ai dit un ! Vas y casse moi la gueule ! » Mais moi je ne m’était jamais battu, pour moi tout le monde il était beau tout le monde il était gentil. J’étais naïf à l’époque, c’était sans doute la première fois qu’on m’agressait de la sorte et qui plus est au sujet de mon épouse. Mais j’étais là comme un con, je ne savais pas comment réagir.
« Finalement tu n’es qu’une lopette » ajouta t’il pour conclure. Puis il ajouta « tu viens lundi matin à 10h30 au café (dont je ne me rappelle plus le nom) rue Saint Jacques en face l’Hôpital. J’aurai quelque chose à te montrer. Et tu as intérêt de venir Lopette !»
A la fin de la soirée en rentrant à notre domicile, sans rentrer dans les détails, je parlais à ma femme de ce type qui était venu me parler. Elle me dit qu’elle l’avait vu me causer de loin, qu’il s’appelait Serge, que c’était ce qu’ils appelaient dans le milieu hospitalier un porteur qu’il venait de temps en temps dans so ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur