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MA VIE DE COCU 2

Publié par : lemarquis44 le 16/02/2021

Cette semaine là j’étais d’après-midi je commençais à 14h00 et finissait à 22h00. Cette séance de travaille me fut vraiment pénible, j’eus toute les peines de monde à me concentrer sur mon boulot, ma pensée étant sans arrêt occupée par la vision de cette photo, Ma femme se faisant peloter les nichons par ses collègues, Inadmissible !, impensable ! Moi le mec sur de lui, orgueilleux je venais de me faire descendre de mon piédestal, déboulonné, trahis par ce que j’avais de plus cher au monde : mon épouse à qui j’aurai donné le bon dieu sans confession. Mais en même temps La situation était terriblement excitante ! Je dus aller deux fois me branler dans les chiottes de l’atelier afin de libérer mon esprit de ces pensées.
Comment allais-je réagir ce soir en la retrouvant, aborder le sujet ou continuer à faire celui qui n’est pas au courant ? Me connaissant je savais déjà la posture que j’allais adopter ; j’allais me dégonfler et faire celui qui ne sait pas.
Et c’est comme ça que les choses se passèrent. Quand j’arrivais du boulot ma chérie était déjà couchée, j’allais lui faire un bisous et lui demandais si sa journée c’était bien passée. Ce a quoi elle me répondit que cela avait été vraiment fatiguant avec tous ces vieux à s’occuper.
Je mangeais vite fait me pris une douche et alla la rejoindre dans le lit. J’étais encore fort excite et avait forcément envie de la baiser. Je tentais ma chance en posant ma main entre ses cuisses mais je me fis vertement rembarrer. Elle me dit que sa journée avait été suffisamment pénible comme ça et qu’elle n’avait qu’une envie c’était de dormir. Je me suis tout de suite imaginé qu’elle avait du avoir son compte avec ses collègues mais là je n’en avait pas encore la preuve. Sur ce nous nous tournâmes chacun de notre côté et nous endormîmes.
Le fameux Serge me contacta de nouveau dans la semaine pour savoir si je voulais les photos. « Les photos » dis-je « Mais je pensais qu’il n’y en avait qu’une seule » « tu rigole pauvre con, qu’est ce que tu crois ? , si tu les veux, je sais que tu travail du matin la semaine prochaine alors pointe toi jeudi au café comme l’autre jour pour 15h00, et prépare toi à payer » « Quoi, combien tu veux, je n’ai pas de fric moi ! » « Qui te parle de fric, tu verras ça sur place » Finissant à 14h00 cela me laissait assez de marge pour être au rendez vous.
A l’heure dite je me présentais au café, il était là à la table du fond. Il se leva et vint directement vers moi. « Tu es garé ou ? » « Là sur le parking devant l’hôpital » « C’est bien, moi aussi, suis moi » Ce que je fis, il roula jusqu’à la cale de Beautour sur les bords de la sèvre. Nous nous garâmes sur le parking il descendit de sa voiture, j’en fis autant et lui emboîtais le pas. Nous empruntâmes un chemin assez long et au bout d’un moment nous avons tourné à droite dans un petit bois au bord de la rivière ou nous étions seuls. La il me dit brutalement « a voir ta gueule je suis sûr qu’une lopette comme toi ça suce alors si tu veux ces photos tu va me sucer ! » « De quoi lui dis -je interloqué ? » « Tu m’as très bien compris, ne me dit pas que c’est la première fois, je ne te croirais pas ».
Il m’était bien arrivé effectivement avant d’être marié de sucer la bite des copains mais pour moi ce n’était qu’un jeu. Mais je me considérais pas homo pour autant.
Mais pourquoi je ne résistais pas à ce type ? j’étais sous son emprise, comme hypnotisé et je savais déjà que j’allais céder à sa demande.
« Bon décide toi vite fait , je n’ai pas que ça à faire on ne va pas y passer la journée ! » Timidement je lâchais un « bon d’accord » « Ah ! c’est bien en plus tu es un bon petit soumis, allez met toi à genoux » Ce que je fis sans broncher. Il déboutonna alors son pantalon et le baissa je failli rire car ce type qui m’impressionnait portait un slip kangourou et c’était vraiment ringard. Il baissa aussi cet affreux slip et me mis sa bite sous le nez. Au moins elle paraissait propre et ne sentait pas trop la pisse, c’était déjà ça. Elle était d’une belle taille, elle devait faire pas loin du double de la mienne. Moi qui croyait être bien monté à en écouter ma femme j’eus soudain un complexe j’eus même honte de ne pas en avoir une si grosse.
« Allez ! Ouvre la bouche et gobe, on va voir si tu suce aussi bien que Jocelyne ! » L’entendre évoquer que ma femme lui aurait sucé m’excita et je pris son sexe dans ma bouche, d’abord son gland que je léchais de mon mieux puis je m’efforçais d’essayer d’ingurgiter son membre en entier. Celui ci vint frapper le fond de ma gorge me provoquant un haut le cœur et me faisant abondamment saliver. « Hum mais c’est que tu fais ça mieux que ta femme espèce de salope ! » c’est vrai que je commençais à y prendre goût. Je continuais de le pomper et de le branler goulûment pour le faire jouir rapidement car je commençais à avoir des crampes dans la mâchoire. J’entendis soudain derrière moi une voix dire « Alors Serge, il suce aussi bien que Jocelyne ? » « Tiens Salut Jean Claude, tu as des photos à vendre toi aussi » « Oui, vous vous êtes mis d’accord sur le tarif » « Ben oui comme tu vois , tu ne vas pas être déçu il fait ça largement aussi bien que sa femme »
Alors que j’avais demander à Serge de me prévenir quand il allait décharger, il n’en fit rien au contraire il m’appuyas sur la tête pour me faire avaler son gros zob et me lâcha quatre belle gicler dans le fond de ma gorge. Maintenue comme je l’était je ne pu qu’avaler sa semence. Il se retira, me tendis son gland pour que je lui nettoie avec ma langue et dit à son copain « Allez JC à ton tour »
Je n’avais pas prévu sucer deux types aujourd’hui mais j’étais coincé, je n’avais pas le choix.
Le fameux JC que je découvrais vint se placer devant moi baissa son pantalon et son slip et me déballa son matos sous le nez. Il était encore plus impressionnant que son Collègue. Du coup j’eus encore plus honte en pensant a ce que j’avais dans ma culotte. On avait beau me dire que j’avais une belle bite et que j’étais dans la moyenne, je devais être dans la moyenne basse car je m’apercevais qu’il y avait des types largement au dessus de cette moyenne. Et je n’avais pas fini d’être étonné au cour de ma vie.
Sa bite était déjà bien raide et bien décalotté mais elle me semblait moins net que celle de Serge.
De toute façon je ne pouvais pas me permettre de faire le difficile. Je là mis don directement dans ma bouche et m’appliquait à l’astiquer du mieux que je pouvais. C’est alors que j’entendis JC déclarer « Quand tu penses qu’il n’y a pas deux heures j’étais en train de baiser ta femme. Oui quand elle est arrivée pour prendre son service, je l’ai suivis discrètement dans son vestiaire et dès qu’ elle s’est retrouvé en slip et soutien gorge avant d’enfiler sa blouse, je me suis pointé ma grosse bite à la main et elle n’a pas pu résister. Je lui ai baisser sa petite culotte rouge et je l’ai prise debout le long de son placard. Aller hop ! Un petit coup vite fait.
. Ça ne te dégoutte pas de savoir que j’avais ma bite dans son vagin et maintenant tu l’as dans la bouche, je n’ai même pas eu le temps de la laver, c’est toi qui vas me la nettoyer avec ta bouche »
c’était donc ça l’aspect pas propre de sa bite elle était recouverte de la mouille de ma femme et du sperme qu’il lui avait lâcher au fond de son vagin. C’est vrai que cette pensée me troubla.
Je continuais à lui faire subir la même recette que son collègue avait apprécié.
Comme son copain il fini par m’enfoncer sa bite jusqu’au fond de la gorge, me maintint la tête et inonda ma bouche de son foutre que je ne pu qu’avaler la aussi. Il se retira et lui aussi me donna sa bite à nettoyer . « Tu ne trouve pas que ça a le goût de ta femme ? » me questionnât-il. Je ne répondis pas. Après s’être tout les deux rajustés, alors que j’étais encore à genoux ils me jetèrent les photos promises à la figure. « Tiens tu pourras te branler en les regardant ! En attendant nous on vas continuer à faire jouir ta femme » « Tiens qu’en penses-tu Serge, on pourrait peut être l’inviter au spectacle, tu nous organise ça Serge » « Si le cocu est d’accord, cela devrait pouvoir ce faire » Puis ils s’éloignèrent en me laissant seul.
De quoi me parlait-il ! Je n’en sus pas plus ce jour là mais je m’attendais au pire.
Je ramassais une par une les photos éparpillés sur le sol, il y en avait peut-être une dizaine. Je ne pris pas le temps de les regarder je réservais ça pour quand je serais tranquille.
En attendant tout ça m’avait bien excité et j’avais une terrible érection qui me faisait mal. Étant seul dans ce petit bois je baissais mon froc et me branlais violemment jusqu’à éjaculation. Je me sentais mieux, la tension était retombé. Maintenant il me restait à digérer tous ces événements.
Je rentrais à mon domicile m’allongea sur le lit et pris enfin le temps de regarder ces photos chèrement payées. Hormis celle que j’avais déjà vu qui était finalement la plus soft, on y voyait sous différent angles ma chérie complètement à poil en train de se faire peloter mais également agenouiller à sucer la bite des deux compère. En tous cas il n’y en avait aucune ou on voyait ma femme se faire baiser. Cela pouvait-il être rassurant ?
La vision de c ...

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Mots-clés : Hétéro, Branle, Sodomie, Pénétration vaginale, Soumission/domination, Marié(e)s, Au travail, A plusieurs