Comme je vous l'avais dis précédemment, j'ai connu un mec qui était au fils des jours et des mois devenu mon amant régulier, et nous nous retrouvions pour batifoler, soit le lundi ou le jeudi.
Par ce beau jour d'été, ce jeudi nous avions décidé de nous retrouver en mettant un peu de piment dans notre relation.
Je me rendis donc chez mon ami que nous appellerons RICHARD.
Je sonnais à la porte le cœur battant de ce qui m'attendais car il avait une imagination sans borne.
RICHARD vint m'ouvrir en peignoir comme à son habitude, nu dessous. Il me fit pénétrer dans son appartement, et dès la porte fermée il m'obligea à le sucer. Son sexe était avec une petite érection que j’eus vite fait de faire progresser
Puis d'un geste sec il me repoussa et me dis qu'il attendait quelqu'un. Je fus un peu déçu, car je pensais que nous ne pourrions pas faire l'amour comme à l'habitude. Il me proposa un café ce que j'acceptais volontiers. Tout en dégustant ce breuvage,il me parlait de tout et de rien, des banalités en fait. Puis on sonna à la porte, il s'empressa d'aller ouvrir. Une charmante personne de sexe féminin, d'un physique agréable, un peu forte fit son entrée dans la pièce.
JE la saluais, elle me dit se prénommer ISABELLE, moi c'est Michel. Les présentations faites,elle demanda à RICHARD ou elle pouvait se changer. Je fus intrigué par cette demande, mais je ne laissais rien apparaitre de mon étonnement. Puis RICHARD m'ordonna sèchement " Déshabilles toi, je le regardais surpris mais comme nous avions passé un pacte au début de notre relation de ne jamais discuter ses ordres, je m'exécutais, et c'est nu que je me retrouvais dans sa chambre, ou nous avions l'habitude de faire l'amour.
Il me fit positionner sur le lit, le cul relevé puis il m'attacha les jambes bien écartées. J'entendis la porte de la salle de bain s'ouvrir, et je pu voir dans la glace de l'armoire, ISABELLE, revêtue d'un combinaison qui laissait apparaitre ses seins nus et son entre jambe découverte. A sa ceinture elle portait un martinet et pendaient des gants en latex noirs.
Je n'était plus rassuré et je commençais à prendre peur. RICHARD s'en aperçu et il me rassura. ISABELLE sera pour aujourd’hui ta maîtresse, tu devras lui obéir et te plier à ses ordres et ses désirs, tu as compris? oui répondis je. Soudain une gifle vint s'abattre sur mes fesses. On dit Oui Maître, ou plutôt Maitresse!.
Passant derrière moi ISABELLE commença à me caresser les fesses et le sexe, tout en insinuant un doigt dans mon petit trou, puis un second , puis un troisième, sans m'avoir au préalable mis du gel. Je gémissais car cela faisait mal, Elle s'en aperçu , et pris la bouteille de gel, me l'inséra dans le cul en me versant une bonne rasade de gel. Puis elle revint vers moi avec un gode important, le plus gros que je n'avais ...

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