Le lendemain de ma rencontre avec Julien, alors que je tondais la pelouse chez moi, mon père vient me voir. Il me dit que l’auto école vient d’appeler et qu’il faudrait que je les rappelle pour un changement de rendez vous. Je coupe la tondeuse et je les rappelle. Je tombe sur Stephanie qui me demande si je peux avancer mon rendez vous à demain 14 h,. Elle m’informe aussi que selon Marc, comme je suis un élève bien assidu, je suis prêt à passer le permis et qu’elle peut m’inscrire à l’examen de conduite qui aura lieu la semaine prochaine.
Mon cœur s’emballe et j’accepte sans hésiter les 2 propositions, celle de décaler le rendez vous et celle de l’inscription à l’examen. Stéphanie me remercie de ma disponibilité pour cette leçon avant l’examen qui servira à « peaufiner les détails ».
J’avoue que j’ai eu une nuit un peu agitée par l’angoisse générée par l’examen qui va arriver vite et par l’excitation à l’idée de revoir Marc demain, mais aussi en repensant à ma dernière rencontre avec Julien.
Parmis toutes ces sources de stress, celle de revoir marc a pris le dessus et je me suis détendu en me masturbant pendant de longues minutes, entièrement nu dans mon lit en pensant à ce qu’il allait encore inventer pendant la leçon de conduite. Cette nuit là, mes doigts ont joué une parfaite symphonie avec mon sexe, mes tétons, mon petit trou, d’une manière lente et sensuelle. Chaque note était parfaitement orchestrées si bien que J’ai fini en jouissant sur mon ventre. J’ai essuyé ma semence avec mes doigts et j’ai osé les porter à ma bouche pour goutter ce nectar. Ce n’était pas aussi écœurant que je le pensais, un peu âcre et légèrement salé. j’ai bien nettoyé mes doigts avec ma langue. Repu après cette séance, j’ai fini par m’endormir.
Le lendemain, la matinée grasse matinée est un eu longue. Aussitôt le repas pris je pars à la douche pour me préparer pour marc. Je prends une tondeuse et je décide de raser tous mes poils pubiens, pénissaux et testiculaires. Je finis en me passant de la mousse à raser, douce et soyeuse sur l’ensemble de mon service trois pièces. J’en profite pour me masser mon sexe et mes bourses, le massage avec la mousse à eu un effet bœuf et je bande comme un âne sentant une ânesse en chaleur. Je profite que mon sexe est tout gonflé pour fignoler avec mon rasoir 2 lames ( à cette époque il n’y en avait que 2), je fais bien attention à ne pas me couper. Une fois tout propre aussi bien dedans que dehors, je m’habille et je descends attendre Marc devant la maison.
Après quelques minutes, je vois la 205 blanche arriver dans ma rue. Mon cœur s’emballe en la voyant se rapprocher jusqu’à s’arrêter devant moi. Aussitôt je remarque que ce n’est pas marc qui est au volant mais, Stéphanie. Je suis très étonné.
Elle descend de la voiture, elle est vêtue avec un haut marin flottant sans manche avec un décolleté qui laisse apparaitre ses deux galbes bien dodus et tendus de ses 2 magnifiques seins légèrement bronzés et rehaussés par son soutien gorge. Elle porte une courte jupe droite bleue marine avec des ballerines blanches sans talon. Ses jambes sont nues et de la même couleur halée que ses seins. Elle vient vers moi me salue et me fait la bise, elle sent divinement bon le parfum Chanel N°5 que j’avais vu dans leurs salle de bain quand j’y avais pris ma douche. Ce parfum est envoûtant et poivré.
Stéphanie me dit que marc est malade et que du coup elle le remplacera pour le cours. Je suis tout intimidé par cette femme. Je bafouille des mots sans savoir ce que je dis vraiment tellement je suis tétanisé par sa seule présence en la regardant des pieds à la tête. Stephanie m’apprend que Marc a mal au dos et qu’il est coincé au lit. Un peu déçu de cette immobilisation imprévue de mon cher Maitre, je dis à Stéphanie de lui transmettre tous mes vœux de prompts rétablissement. Stephanie me dit de ne pas m’inquiéter que je le reverrai bientôt. Elle me dit de ne pas être déçu, qu’elle essaiera d’être à la hauteur de son mari et qu’elle ne mordait pas.
Je m’esclaffe sur ses mots, elle poursuit en me rappelant le présent, à savoir le cours de conduite. J’entreprends les vérifications avant départ et je m’installe au poste de conduite. Je reprends mes esprits en pensant à l’examen qui approche. Je m’applique à tout faire comme il faut, les niveaux, les feux, le réglage de mon siège, les rétros et je boucle ma ceinture. Stephanie me félicite de cette première étape et confirme ce qu’avait dit son mari sur le fait que j’étais un bon élève. Je lui réponds avec un petit regard malicieux que je ne veux pas la décevoir. Elle rétorque aussitôt sur un ton plus professoral que je n’ai pas intérêt à la décevoir. Ouh là un petit coup de pression me dis je.
Je démarre, je m’applique en enclenchant ma vitesse et j’essaie de démarrer sans caler. Tout comme Marc, Stephanie me guide, me dirige, me donne des conseils. Nous roulons les fenêtres grandes ouvertes du fait de la chaleur. Tout se passe bien, je suis en pleine confiance, si bien que lors d’un passage de vitesse, je laisse nonchalamment ma main sur le levier de vitesse. Je suis rappelé aussitôt à l’ordre par un tape sèche sur le dessus de ma main par Stéphanie, qui me dit d’un ton autoritaire « les 2 mains sur le volant à 10 h 10 ». Je saisis le volant comme il faut sans attendre. Ce petit ton dominateur et cette tape sèche, me replonge dans ma timidité maladive et je lui demande pardon, tout penaud. Elle reste sérieuse et me dit de faire attention à l’avenir et que cela ne se reproduise plus.
La séance se poursuit et alors que je fais un contrôle rétro coté passager, mon regard ne peut s’empêcher de mater ses 2 cuisses lisses et bronzées et je m’y attarde un instant oubliant que je roulais sur la route. Ce qui devait arriver arriva, je fais un écart de direction et mord la berne sur ma droite. Stephanie se jette sur le volant avec sa main gauche et me remet sur la route. Elle me crie sèchement dessus et me dit que je ne dois regarder la route et rien que la route. J’ai eu une peur bleue. Je suis tout tremblant et j’ai du mal à me remettre de cette frayeur. Stephanie le voit et me fait stationner sur un parking sur le bord de la route. Je m’arrête et je lui demande une nouvelle fois pardon. Elle me demande qu’est ce que je regardais pour être aussi distrait. Je n’ose pas lui dire que je matais ses jambes et je reste silencieux, timide, honteux, regardant le sol.
Stephanie me prend amicalement dans ses bras pour me réconforter et me rassurer en me disant que cela me servirait de leçon. Je sens sa poitrine contre moi et cela me réconforte bien comme il faut. Ça y est je bande j’ai l’air malin maintenant. Elle s’écarte de moi et elle rajoute que la prochaine fois elle mettra un pantalon. A cette phrase je lève la tête et je la vois rire. Elle savait que je lui matais ses cuisses la coquine. Je deviens rouge comme une tomate, je ne sais plus où me mettre. Stephanie s’approche de moi, me reprend dans ses bras et me serre contre elle pour me dire que ce n’est rien elle a l’habitude. Je sens de nouveau sa poitrine généreuse s’écraser contre moi, c’est divin, elle pose sa tête sur mon torse pour un « câlin », un hug comme on dit maintenant. Nous restons comme cela quelques secondes et je profite de chaque dixième de ces secondes. Bien évidemment, ce contact continue de me faire un effet bœuf et j’ai mon gouvernail qui veut sortir de sa coque de tissu. Nous sommes tellement proches que par peur qu’elle ne sente cette bosse je recule légèrement mon bassin. Nous nous séparons et remontons en voiture. Je repars et j’essaie de me concentrer sur la route en essayant d’occulter la sensation encore très présente de ses seins contre mon corps.
Stephanie me demande si cela me dit de passer voir comment va Marc ? Je lui réponds que ce serait avec plaisir. Nous prenons la direction de leur maison que je commence à bien connaître. Nous arrivons et nous nous garons. Stephanie me demande de patienter dehors le temps pour elle d’aller voir si Marc dort. Elle disparaît derrière la porte d’entrée et j’allume une cigarette en attendant son feu vert. Après quelques minutes, la porte s’ouvre, Stéphanie me dit qu’il est réveillé et que je peux monter. Stephanie passe devant moi elle a quelques marches d’avance et quand je lève la tête je peux voir le galbes de ses fesses sous sa courte jupe. Je suis de nouveau hypnotisé par la vue et comme pour la conduite, je rate une marche. Stephanie se retourne et me demande si ça va ? je lui ai dit que tout va bien tout penaud. Je la suis dans leur chambre au fond du couloir.
Je passe devant la porte de la pièce où Marc s’était bien occupé de moi. Très bons souvenirs en perspective et une demie molle se fait sentir dans mon bermuda. Stephanie entrouvre la porte d’une autre chambre. C’est sombre, juste une lueur d’une lampe de chevet. Les volets sont fermés pour ne pas faire rentrer la chaleur. Je rentre dans la chambre et sur ma gauche je vois le lit mais à ma grande surprise ...
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