n déplacement professionnel dans la région bordelaise, je profite d'un samedi après-midi de libre pour rechercher des lieux de sorties coquines.
En consultant notre site favori, je découvre l'existence d'un cinéma porno. Le dernier de France d'après les différents articles sur internet.
Certains commentaires sont élogieux, d'autres peu rassurants mais communs (fréquenté que par des vieux et des mecs en chien). Tout ce qu'il faut pour faire fuir les libertins.
Bon ! Essayons, je me ferai mon avis par moi-même.
J'arrive un petit quart d'heure après l'ouverture, en ce dernier samedi de janvier. La rue n'est guère accueillante. A deux pas de la gare, la rue est sale. Des kebabs, pas mal de bâtiments visiblement abandonnésdans le voisinage et des groupes de mecs qui squattent en face. Ça me fait penser à un coin de deal.
Bon, je rentre. Un couloir où sont exposés divers sex-toy, lingeries, bref la partie sex-shop. J'arrive sur le guichet qui est également un café. Un travelo rondouillard âgé d'une soixantaine d'années sort d'une salle et se rend aux toilettes.
Je salue le caissier. Souriant, il m'indique les tarifs et différentes prestations. Je remarque des tarifs de peep-show. Ce à quoi il me répond que cela ne se fait plus.
Il s'excuse par avance car tout les éclairages des salles sont allumés, le temps de finir le nettoyage, cela n'est que temporaire.
Je règle et me rend dans la première salle.
Un vieux est assis dans le fond. Je m'installe au milieu de la pièce. À l'écran un porno français des années 90, tourné en anglais et doublé en français. Ca en ait ridicule, mais c'est marrant.
Passé un petit quart d'heure je sors de la salle et décide de me balader pour découvrir les lieux.
Je me rend dans la deuxième salle. Il s'agit de cabines individuelles, ou plutôt pour couples. Elles ont toutes deux une grande banquette et une vitre sans teint. Je présume que les utilisateurs peuvent allumer la lumière si ils veulent être vus ou non. La paroi extérieure de l'une d'elle est percée de trois trous donnant sur le couloir. Les gloryholes m'excite. Peut-être avec un peu chance...
Je me rend dans la troisième salle.
Une personne au premier rang. Un ancien dans le fond. Je m'installe au milieu, de manière à voir qui rentre dans la salle.
A l'écran cette fois un film en anglais, non doublé, au moins c'est pas ridicule. Un mec d'une quarantaine d'années se fait pomper puis baise un jeunette d'une vingtaine d'années, sous le regard chaud d'une nana d'une quarantaine d'années qui se carresse. Couple candauliste visiblement.
Film assez excitant. La jeunette a une bonne poitrine volumineuse naturelle et le pompe goulument.
Des mecs rentrent et sortent de la salle. Des anciens et un autre trav'.
J'attends la fin de la scène.
Je sors de la salle et vais au guichet me commander un grand café. La climatisation fonctionne dans chaque salle mais selon où l'on se trouve on se prend l'air chaud ou de l'air frais. Et là, je suis gelé.
Le gars me sert. Un couple d'une soixantaine d'années entre dans le bâtiment et prend deux verres entamés rangés sur un coin du comptoir. Apparemment des habitués. J'entame la discussion avec le patron.
Je l'interroge sur la fréquentation et notamment les couples. Il me répond avec humour que, de sa grande expérience, qui remonte à trois semaines, dans la mesure où il a commencé ce boulot au début du mois, il n'a jamais vu de couple ou de femmes seules.

Lorsque mes histoires sont inventées ou enjolivées, je le précise. Je n'ai aucun intérêt à jouer les mythomanes....

Le guichetier a, à peine fini sa phrase, un couple entre. Il les salue poliment et se retourne vers moi un sourire en coin. Je plonge le nez dans ma tasse de café pour ne pas rire.
Ne nous enflamons pas. Ils viennent peut-être acheter un article ou juste jeter un coup d'œil.
Le couple flâne dans la partie sex-shop.
Après quelques minutes, l'employé les invites à ne pas hésiter à lui demander si ils ont besoin du moindre renseignement. L'homme demande aussitôt si il y a des salles de cinéma. L'employé lui détaille les prestations et prix.
La jeune femme se tient un peu en retrait. J'évite de la regarder comme un crevard, contrairement à la petite effervescence qui a lieu. Un homme sort d'une salle et s'interrompt. Un des rebeu qui attendait devant le cinéma entre et règle un accès cinéma.
L'homme du couple s'absente au toilettes, laissant sa compagne dans l'entrée. J'avoue que j'attends également pour savoir dans quelle salle ils vont se rendre, mais je me considère comme un peu plus discret. Les mecs qui attendent font un peu (beaucoup) creve-la-dalle. Je me dis qu' on aura de la chance si la jeune femme ne change pas d'avis.
Je la regarde discrètement en sirotant mon café.
Elle est grande, mince avec des cheveux mi longs châtains, un manteau marron, des bas et une minu jupe en simili noir.
Alerte Spoil : à ce détail, vous aurez compris que je serais amené à le constater un peu plus tard...
Son mec la rejoint. Ils entrent dans la deuxième salle. Je fini calmement mon café avant de les suivre.
J'entre dans la salle pendant qu'ils s'installent. Je m'installe à un rang derrière, à quelques places. Un homme d'une cinquantaine s'assied sur la même rangée, à quelques sièges.
Le film des années 90 est en cours. Un trio bi, deux nana pour un mec.
De nombreux mecs sont arrivés dans la salle. En comptant le couple, nous devons être une dizaine dans la salle
Le travelo rondouillard est derrière moi.
Je m' aperçois rapidement que personne ne regarde le film. Tous les regards sont vers le couple.
Je trouve l'ambiance pesante.
Ils regardent le film en échangeant en chuchotant.
Le film se termine. Un nouveau commence. Quelques mecs perdent patience et s'en vont.
Le mec enleve son blouson. Sa compagne son manteau. Elle porte un epais pull de laine.
Il dépose leurs manteaux sur un dossier devant lui.
Ils échangent toujours à voix basse. Je remarque quelques mouvements que je n'arrive pas à identifier précisément. Je présume que le mec carresse sa compagne.
Le cinquantenaire s'approche lentement et s'installe à côté de la jeune femme. Après quelques échanges à voix basse,
Je remarque qu'il l'a carresse doucement.
Son mec lui relève son pull et degraffe son soutien gorge libérant une jolie petite poitrine, environ bonnet B.
Son mec enjambe le dossier devant lui et change ...

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