Une fois, arrivés, nous entrâmes dans cette jolie bâtisse luxueuse au bord des plages landaises, grâce à une boîte à clé. J’avais réservé l’habitation tout le week-end.
Elle entra dans ce petit salon, cosy, accueillant, avec une grande banquette, un beau et vaste tapis et des coussins au sol. La chaleur de la cheminée, allumée quelques heures avant notre arrivée parles propriétaires, avait pris dans toute la pièce et je m’empressais de lui quitter son manteau.. J’aimais ce qu’elle portait, elle était un ravissement à chacune de nos parenthèses amoureuses. Nous étions donc dans un appartement de bord de mer et l’océan à l’extérieur se faisait entendre comme une douce berceuse… Je lui tenais la main depuis quelques instants, nous nous étions encore embrassés dehors dans le froid, avant d’entrer. J’avais pu savourer le parfum ambré qu’elle portait, c’était si bon, cette peau qui m’enivrait à chaque fois…
Ses talons résonnaient dans la pièce. Je lui avais mis un collier très serré pour annoncer le jeu, j’avais le désir de la guider vers l’inavouable, dans un décors candauliste, je voulais qu’elle s’abandonne à un plaisir différent, où je serai son protecteur, son complice, son partenaire… Et ma voix la guiderai à travers cette scène.. Juste ma voix. Dominatrice, rassurante…
J’avais choisi de la laisser juste assise sur un tabouret haut, en cuir, confortable, qui tourne sur lui même. Une légère musique que j’avais mise, se faisait entendre dans la pièce. Sous mes ordres, elle ouvrirait le chemin d’un désir secret, belle telle une reine offerte à sa cours… Elle m’obéit, et se cambra un peu, afin que je devine son joli fessier caché dans ce legging noir qui la serrait si bien. Je lui demandais d’onduler légèrement… en me collant à son dos et en l’embrassant délicatement. Mes mains étaient à elle, partout. Elles redessinaient son buste, repassant son chemiser et mon corps se frottait au sien, suspendu sur ce tabouret.
Je lui offrais mes doigts à embrasser, puis à lécher, puis à sucer, un par un.
Elle me sentais dans son dos, son souffle s’intensifiait. L’excitation montait en elle, de son ventre vers ses seins, puis vers ses lèvres. Alors, elle entendit mes pas s’éloigner. Je sortis de la pièce et ma voix se fit entendre dans la pièce d’à côté. Quelques instants et je revins… et m’assoyais sans rien dire.
Je retrouvais sa beauté, ce merveilleux corps, qui me plaisait, ses fesses charnues et rondes enfermées dans ce tissu moulant. J’aimais l’admirer ainsi, j’avais hâte de la surprise que j’avais longuement préparée en l’écoutant quelques mois auparavant m’avouer ses désirs inavouables. J’aimais lui faire plaisir, la faire chavirer, libérer en elle la femme charnelle, sans limites.
Je me levais une dernière fois pour venir à elle et lui chuchoter qu’elle ne serait pas qu’à moi ce soir, mais à eux… Ces mots provoquèrent en elle une fulgurante décharge d’excitation. Je sentais ses tétons pointer directement :
« T’offrir à d’autres, humm, quel beau programme » ajoutais-je de ma voix chaude.
Puis je décidais de bander ses yeux et de la faire un peu languir en sortant de la pièce.
Sur ce tabouret, elle était désormais poignets attachés par des petites cordes . Alors la porte que j’avais laissée entre ouverte grinça. Elle entendit des bruits légers de pas… Senti une présence passer sur le tapis. Son coeur battait très fort, une légère appréhension d’un coup l’envahit. Des mains caressèrent ses cheveux et une série de frissons précipités la saisit… Les doigts caressaient son cou et pinçaient légèrement ses tétons pour l’apprivoiser… Moi je rêvais déjà de la voir les avaler, juchée sur leurs corps incendiés de plaisir. En la regardant, je songeais à l’instant où je lui retirerai son bandeau, où elle découvrirait les deux invités que j’avais choisi pour elle, selon leur charme et leur beauté.
Elle me regarderait alors, en soumise, en complice, elle, superbe, m’excitant de la voir se saisir de leurs verges avec un appétit qu’elle s’était toujours interdit. J’imaginais qu’elle les ferait monter si fort qu’ils ne tiendraient plus leur excitation et se répandraient rapidement sans pouvoir retenir leur orgasme. Et sans doute finirais-je par les rejoindre… J’imaginais cela, alors que ces hommes passaient leurs mains le long de ma soumise, leurs belles mains de basketteur ou de pianiste, la mettant debout, la frottant contre leurs corps déjà tendu et pressés d’en découdre avec leur proie.
Et si c‘était le cas, nous serions trois affairés à lui donner du plaisir. Trois en elle, alternant nos coups de reins simultanément pour la faire vriller, la faire crier dans une long flash de jouissance intense. Elle nous désirerait, eux et moi, nous voulant partout, se laissant mener, caresser, saisir, soulever, emporter puis baisée en continu.
Nous la laisserions béante du plaisir d’avoir finalement pris le dessus sur nous.
Les deux invités s’impatientaient. Ils la contournaient sous mes yeux, je leur indiquais les caresses qu’elle aimait sentir sur elle, tandis que ma belle restait immobile, laissant sa tête suivre les mouvements des mains qui la saisissaient, des doigts longs et fins qui s’enfonçaient dans sa bouche, quand d’autres plus courts et plus épais lui serraient délicatement la nuque, passant sous ses cheveux. Elle, emportée dans ce tourbillon de sensations sur sa peau, respirait profondément. Elle mordillait les phalanges qui passaient, tant son excitation, due à l’opacité du bandeaux, se faisait grande. Et un filet de mouille coula abondamment le long de ses lèvres.
Qui étaient ces inconnus?
Un premier, grand black, très beau, dans son col roulé, l’enveloppait totalement de ses longs bras tandis que le second, bel homme, la quarantaine, sportif, cheveux poivre et sel caressait les cuisses de ma belle petite salope déjà toute excitée. Elle ondulait sur ce tabouret devenu trop étroit pour contenir son lâcher prise. Le jeune black avait commencé à se déshabiller et regardait l’autre homme conquérir la belle femme que je leur offrais. Tous deux se connaissaient, ils semblaient même complices, presque coordonnées. Choisis pour leur endurance et leur respect, ils rêvaient eux aussi d’un beau scénario surprise et le vivaient avec ma soumise. Ils demeuraient néanmoins attentifs à mes ordres, eux aussi très obéissants.
Elle, elle imaginait dans l’obscurité de ce jeu que le la regardais. Je la regardais se faire entreprendre car elle adorait cette idée que je l’expose, l’exhibe et la laisse en pâture à des hommes virils et endurants. Elle ne tenait plus, elle ne voulait qu’être délivrée. Ses mains retenues lui offraient la sensation d’être totalement ballottée, totalement sous l’emprise des ses amants très entreprenants. Secrètement, elle se voulait chienne au possible, assaillie de tous les côtés. Enfin, mise debout, libérée du tabouret, elle offrit sa bouche aux baisers langoureux du bel homme mûr. Il était d’une grande douceur avec elle, et avait commencé par embrasser ses oreilles, puis son cou, puis avait dénudé ses épaules dans d’infinies caresses. Ses bras entouraient ma petite offerte, toute tremblante à chaque fois qu’il effleurait sa bouche, ses joues et qu’elle sentait son souffle d’homme, puissant et déroutant couvrir sa peau.
Délicatement, il la mise à genou et d’un coup, sans prévenir elle n’eut d’autre choix que d’accueillir la verge puissante du plus jeune, qui s’était emparé des bras menottés de ma belle pour se faire branler. Il la traitait de belle petite salope, la faisant mouiller à la sensation de cette verge puissante, tenue comme un sceptre précieux entre ses paumes.
Cette scène me fit totalement bander, j’avais du mal à rester assis, à l’observer se faire presque malmenée d’un coup. La façon, dont ses deux mains si belles masturbaient ensemble la très épaisse queue de ce jeune black, était terriblement excitante. Elle prenait le dessus sur cet éphèbe offert à elle. Je percevais le grand plaisir de ma soumise et la reconnaissait totalement. Je décidais donc de la laisser languir, mains ligottées, tandis que l’autre amant ne cessaient de l’embrasser. Elle, toujours debout, mains et bouche prise, ne contrôlait plus son corps, elle s’abandonnait dans une plaisante obéissance et ces premiers gémissements me l’avouaient.
Elle fut très vite mise à genoux sans pour autant cesser de branler son premier ravisseur, poignets liés. Elle, au milieu d’eux, redoublait de coquinerie sachant que je l’admirais sûrement. Coincée entre ces deux hommes dont elle ignorait tout, elle se laissait totalement dominer pour mon plus grand plaisir… Et je l’imaginais déjà doublement pénétrée, par devant, par derrière, et branlant de ses mains, ma verge tendue pour elle.
« Faites d’elle votre poupée» : Osais je prononcer.
Sans plus attendre, le beau black, la saisit, pour lui lécher le visage et l’embrasser et directement il s’allongea sur le grand tapis, laissant dressée son incroyable queue, charnue, longue et fine comme une matraque, une que excitée d’avoir si bien malaxée par ma petite chienne. Sous mes ordres, l’autre retira les menottes de ma chérie, et la souleva pour lui retirer d’un coup son legging. Elle se retrouve la chatte à l’air dans une fougueuse scène qui me laissait impuissant, à même de finir totalement cocu.
M ...
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