Je savais que secrètement,elle me réserverait la plus belle des sucions, mais j’étais fou d’elle, excité au maximum, l’invitant à sucer le beau chibre noir, puis le beau mâle blanc, tout aussi parfaitement monté d’un sexe au gland très épais, qui je le sais, ne tarderai pas à la faire crier de plaisir.
Pour la première fois, ils se sentirent tous deux dépassés par l’exigence de mon insatiable.
Elle aimait que je la vois faire. Elle me voudrait peut être aussi, mais après… Dans cette position de levrette très cambrée, les pompant en souriant avec une perversité des plus excitantes, elle les rendais fous. Ils devenaient durs, très durs avec leurs sexes tendu au maximum. Nos mains ne la lâchaient pas. Une ouvrait sa mâchoire, une autre serrait son cou délicatement, sous mes ordres, et nos quatre autre mains la caressaient partout. Entre nos jambes musclées elle se retrouvait bloquée, mise à disposition… Les seins tendus, l’entre cuisse humide, elle ne pouvait s’empêcher d’en vouloir encore.
Les deux amants, pris dans une sorte d’admiration fulgurante, à la voir les sucer avec une attention des plus délicate, ne cessaient de lui dire qu’elle était belle, qu’elle les tenait totalement et qu’ils voulaient l’honorer de les faire tant bander. Je les invitais donc, sans plus attendre, à la prendre à totalement, à deux... Et me joindrais à cette fête.
Il saisirent délicatement ma belle et l’allongèrent sur une banquette avant de venir la lécher à tour de rôle pendant que je tenais moi même ses chevilles très écartées.. Elle pouvait les voir se prosterner pour elle, elle découvrait leurs magnifiques corps, leurs visages masqués par des loups, et surtout leur langues qui alternaient entre sa chatte et son cul, toutes différentes, toutes à même de la faire vriller de plaisir. La douceur de leur gourmandise ne faisait que la séduire d’avantage. Elle les regardait approcher de son sexe et gémissait quand l’une des langues titillait son clito alors que l’autre se partageait sa chatte et son cul. C’était si divin qu’elle caressait leur crâne et leur dos dès qu’ils se présentaient Ils continuèrent de longues minutes à la butiner jusqu’à ce qu’elle jouisse totalement, dans des soubresauts violents, digne d’une crise d‘épilepsie clitoridienne. Elle me regarda alors lui sourire, en leur ordonnant de la faire jouir plus intensément dorénavant.
Ils la retournèrent et la mirent en levrette sur les coussins au sol. Elle resta immobile, leur exposant ses fesses avec une perversité qui me rendait fou amoureux. Le mec mûr avait vraiment une queue épaisse, elle serait parfaite pour lui remplir les entrailles. Je lui intimais l’ordre de se placer sous elle et il ne tarda pas à la soulever comme une plume pour l’embrocher sans ménagement. Assise sur lui, elle se laissa pénétrer dans un râle qui laissait imaginer ce qu’elle découvrait à travers la largeur de ce gland proéminent, superbement gonflé par la pipe qu’elle lui avait infligé. Ensuite elle se lança dans un vas et viens le long de cette verge terriblement épaisse qui lui écartait totalement la chatte, sous nos yeux ébahis. Sans attendre le black, passa devant elle lui pénétra sa superbe queue au fond du palais, lentement. Elle senti alors une violente sensation d’orgasme la foudroyer alors que je lui demandais si elle aimait avoir toutes ces queues en même temps, en elle ?
Enfin, toujours pour l’exciter, je lui demandais si elle savait où je lui offrirai le grand black ensuite ? Elle ne put répondre tant l’autre queue qu’elle chevauchait lui ravageait le vagin, laissant ce gland monstrueux lui cogner le fond des entrailles presque comme un poing.
Elle se mit à mouiller encore, lubrifiant d’un liquide crémeux épais la verge tordue par les secousses. Alors que je m’approchais pour saliver sur la raie de ses fesses déjà terriblement écartées par la verge épaisse qui fouillait ses entrailles et débordait totalement, je la sentis perdre totalement pied tant elle ressentais très loin ce membre.
Le black aux jambes imposantes, continuait d’aller et venir de plus en plus fort dans sa bouche. Ses cheveux secouant au rythme de ce que sa bouche faisait vivre à cette si longue bite, ma chérie s’étouffait goulûment avec. De temps en temps, elle même la ressortait et la cognait contre son visage dans une perversité sans nom qui parvenait à nous achever de désir. Le black décida soudainement de la pencher vers l’avant alors qu’il s’était retiré du bain salivaire dans lequel seule la moitié de sa queue était parvenu à se faire une place.
Voyant la bite épaisse de l’autre détendre totalement la chatte de ma chérie, il lui fut impossible de ne pas vouloir la démonter. Il décida de lui prodiguer une sodomie que seuls les longs braquemarts peuvent se délecter. Je lui donnais mon accord en écartant moi même les fesses de ma chienne après une fessée dont elle ressentit la vibration jusqu’au fond de son utérus.
Je vis son gland fin, tendu au bout de cette interminable bite black, parfaitement sculptée ouvrir le cul de ma chienne offerte, dans un plaisir indescriptible. Elle hurla de plaisir de sentir cette seconde bite, si différente se faire péniblement un chemin entre ses fesses, venant ainsi double les sensations, les rendre insoutenables de plaisir. Le black entra très précautionneusement. Délicat, pervers, il lui fit sentir chaque centimètre en lui parlant… Lui racontant comme elle avalait son gourdin, parfois reculant pour le ressortir, parfois avançant alors qu’il sentait le gros gland de son compagnon de jeu, éclater la chatte de ma jolie dame. Ils s’en prenaient désormais à deux contre une. Oui, deux amants qui bloquaient son corps entre eux, deux belles bites qui la sondaient, qui la foraient. Je m’approchai alors puis lui demande si elle les sentait bien passer ? Elle hurla de plaisir tant la sensation d’être pénétrée de partout la rendit folle et incontrôlable de plaisir.
Tel était mon souhait depuis le départ, chaque queue entrerait en même temps en elle.
Elle serait alors à nous..
J’entendais ces cris durer, lorsque son cul et sa chatte se faisaient encore et encore pénétrer et que sa bouche s’impatientait secrètement de me gober. Je les voyais entrer et sortir de ma petite chienne en même temps. Ils la culbutaient si fort. Elle encaissait avec une telle facilité les coups de reins de tous les côtés. Leurs mains puissantes, avides de la saisir de partout, de la forcer de partout, de la soumettre, de la serrer, se baladaient tout le long de sa peau. Et ces deux hommes masqués qui pilonnaient littéralement ma chérie, fort, très fort et surtout très vite.
Les vibrations en elles s’emparaient de toute sa chair. En fait elle les chevauchait tous les deux, ne leur laissant plus rien d’une soumise. Elle se délivrait d’une excitation devenue insoutenable en accueillant la vigueur de ces deux chiens musclés, bien montés et tellement endurants. En dessous d’elle le beau mec remontait la tête vers elle pour l’embrasser et ainsi remplir sa bouche et emporter sa langue, alors que le black, à l’étroit, lui perforait sauvagement le cul. Les vibrations augmentaient et déclenchaient en elle de nombreux flash d’orgasmes, elle sentait qu’elle devenait folle, tellement c’était bon de leur donner tant de plaisir…
Elle allait jouir comme jamais, jouir doublement tant leur coups de queues étaient monstrueux précis en elle, atteignant leur cible à chaque seconde, ne lui laissant aucun répit. Elle se les enfonçait si loin, ces deux amants, Moi Je les regardais, je restais admiratif de la superbe femme qu’elle était, de son appétit sexuel qui me comblait, de sa liberté d’être à nous.
Celui qui la sodomisait se retira pour laisser échanger sa place. Il essuya son sexe avec un gant savonné. Elle fut retournée, sur le dos, avec le blanc en dessous d’elle qui direct, luis força le cul avec son énorme gland en forme d’ogive. Elle le sentit lui ouvrir la rondelle comme personne ne l’avait ouverte. Déjà toute démontée par le grosse bite noire, elle était tenue par les mains fermes en haut des cuisses, et, me regardant, elle sentit le longue bite du black se poser sur son bas ventre et frotter. Elle lui faisait face, toute mouillée, jambes très ouverte avec un regard désirant d’en découdre. Elle sentait alors le poids de ce grosse membre qu’elle allait devoir purger de son trop de liqueur. D’emblée, le black recula, puis point le bout de son gland à l’entrée des lèvres ouverte de ma petite salope d’amour. Il se mit ensuite, comme un étalon, à la démonter.
La tenant fermement par les chevilles, parfois remontant ses doigts jusqu’au haut des cuisses, il vint lui ouvrir au maximum sa chair tout en regardant la grosse bite blanche briser le cul de ma chienne. L’autre en dessous ne lui laissait pas une seconde de répit, ne voulant pas perdre une miette de ces ravages qu’il causait entre ses fesses, il redoubla d’effort pour la faire crier. Je voyais son épaisse queue la creuser comme un tunnel et m’imaginais déjà lécher sa rondelle toute béante ...
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