Ce récit a été noté : 4.0 / 4

 
( 0 = histoire nulle   4 = histoire TOP )


Ajouter à ma liste
PETITE COMPLICITÉ CULINAIRE

Publié par : poupidou72 le 19/09/2023

Une fois n’est pas coutume je retrouve mon aimée dans sa cuisine. Elle ne m’a pas entendu arriver, absorbée par l’élaboration de son plat et la musique sortant de l’enceinte. Du coup, j’en profite pour l’observer ou plutôt l’admirer entrain d’œuvrer aux fourneaux. Elle est debout devant son évier et épluche quelques légumes. Elle sifflote, tout en lavant ses légumes. Elle les traite avec amour en passant délicatement ses mains sur les courgettes, les carottes et autres tomates. Alors que je l’observe lavant amoureusement ses végétaux, une petite bouffée de chaleur de désir m’envahit. Elle est là, avec sa petite robe volante, courte, à fleur laissant apparaître ses belles jambes gainées de bas. Alors qu’elle s’affaire à administrer des coups de fouet à une sauce entrain de réduire sur le feu, je remarque que sa robe se balance de droite à gauche au rythme du battement de son poignet. Je peux remarquer les premières lignes de dentelles de ses bas. Son fessier n’est pas en reste et se secoue sur la même cadence. Elle arrête sa sauce, la retire du feu et la réserve sur le plan de travail. Elle se rend dans le frigo et en sort une volaille pour accompagner les légumes.
Elle se penche pour prendre un plat dans le tiroir sous le four. Cela a pour effet de laisser apparaître toute la longueur de ses jambes et je peux contempler l’ensemble de ses bas et le début naissant de son fessier. Je remarque aussitôt l’absence de culotte comme à l’accoutumée. Ma bouffée de chaleur augmente et je sens que mon sexe n’est pas en reste et commence à se sentir à l’étroit dans mon pantalon. Je la vois préparer cette volaille avec amour, l’enduisant de beurre, la saupoudrant d’herbes de Provence. Elle épluche quelques ails, oignons qu’elle insère délicatement dans le ventre du gallinacé tout en lui écartant les cuisse. Je m’imagine déjà reproduire cet acte sur ma chère cuisinière. ma chaleur corporelle augmente encore d’un cran. Elle met le plat dans le four, règle la minuterie et mo,te e thermostat.
Elle s’attarde maintenant à un dessert. Elle épluche quelques pommes et les coupes en tranches fines. Elle sort la farine, le beurre, le sucre et entreprend la réalisation d’une pâte à tarte. Je la regarde, toujours entrain de mélanger la farine avec le beurre et l’eau, ses mèches de cheveux lui tombent sur le visage, elle les remet derrière ses oreilles et les recouvrent de farine par la même occasion. Elle reprend son pétrissage doucement, mais fermement, je vois cette pâte qui prend forme entre ses doigts. Elle joue avec cette pâte en la serrant entre ses doigts. Elle forme une boule qu’elle passe de main en main. Elle prend un rouleau à pâtisserie et le couvre de farine, sa manière de passer sa main autour de cet ustensile de haut en bas est un régal pour les yeux et l’esprit. Elle étale sa pâte et se penche de nouveau pour sortir un moule à tarte. Ne le trouvant pas elle s’accroupit, ses jambes sont légèrement écartées et j’ai une vue imprenable sur son petit sexe. Je confirme qu’elle n’a pas de dessous.
Elle se relève étale la pâte dans le moule, nappe cette dernière de compote avec le dos de la cuillère qu’elle fait glisser langoureusement sur la pâte, puis prend un soin particulier à placer délicatement ses tranches de pommes, un peu de cassonade dessus, de la cannelle et la tarte prend la direction du four. Je n’en peux plus, caché derrière mon ficus, j’ai très envie d’elle là maintenant.
C’est à ce moment que je me décide de lui faire la surprise de ma présence en lui lançant un « coucou mon amour ». Elle sursaute brutalement de peur. je lui laisse reprendre ses esprits en la prenant dans mes bras pour la rassurer. Elle se blottit dans cette alcôve tout en me donnant un petit coup sur mes pectoraux en me disant « t’es con tu m’as fait peur ». Je l’embrasse tendrement sur sa bouche pour m’excuser de cette surprise puérile. Ses lèvres ont un bon gout de pommes mêlées à du sucre. Je passe délicatement ma langue sur l’ensemble des ses commissures de ses lèvres. Elle tend sa langue à la rencontre de la mienne et je l’aspire délicatement. Ses mains descendent sur mon postérieur et comme avec la pâte, elle me malaxe doucement mes pommes saillantes. Je glisse mes mains le long de ses jambes et je les remonte sous sa robe. Je me plaque contre elle pour lui montrer mon envie d’elle. Elle me susurre 2 mots … « prends moi ! ».
Ni une ni deux, je passe mes mains sous ses fesses et je la soulève. Elle place ses jambes autour de moi et je la positionne assise sur le plan de travail. Il est à la bonne hauteur, je remonte sa robe, laissant apparaître son sexe légèrement velu. elle écarte ses jambes et m’attire vers elle. Je descends sans attendre mon pantalon. Mon sexe est tendu de désir, prêt à enfourner cette belle saucisse dans le four chaud de ma belle. Délicatement, elle le prend avec ses mains et le tire vers son antre qu’elle écarte avec son autre main. Je sens la chaleur et la moiteur de sa petite chatte tout autour de mon gland rubicond. J’avance mon bassin encore et encore et mon sexe s’enfonce lentement dans cette douceur vaginale. Je lui prend son bassin et le rapproche de moi en le faisant glisser sur le granit. Je suis entièrement rentré et je la sens qui ondule son bassin pour mieux me sentir au fond d’elle. Elle frotte toutes les parois de sa chatte contre mon sexe augmentant ses soupirs, ses petits cris de plaisir. Elle accélère ses ondulations et me demande, ou plutôt m’ordonne d’y aller plus fort. J’accède à sa requête et j’augmente la cadence, mon pubis allant jusqu’à toucher le sien à chaque coup de ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite


Mots-clés : Histoire 100% vécue, Hétéro, Sodomie, Pénétration vaginale, Quadra, Marié(e)s