Anne-Cécile, Anne-Cé pour les intimes, est une femme avec laquelle j'ai longtemps travaillé. 4 années durant j'ai été son manager. Il y a toujours eu une certaine tension sexuelle entre nous, il faut dire qu'elle avait de sérieux arguments. Une grosse poitrine souvent sublimée par de profonds décolletés et un bon cul bien large accompagné de hanches auxquelles je n'avais qu'une envie, celle de m'aggriper. Pour couronner le tout, elle avait réputation d'être une experte de la fellation, ces amis l'appelait Marie-sucette.
J'ai souvent eu des érections lorsqu'on faisait des entretiens tous les deux. Je me suis branlé un nombre de fois incalculable en imaginant des scénarios où elle s'abandonnait à moi.

Après sa démission, on s'est régulièrement vu. Pour déjeuner, pour boire un verre avec d'autres collègues. La suppression du lien hiérarchique qu'il y avait entre elle et moi n'a fait que décupler cette attraction.

Un soir on s'est vu que tous le deux. Je n'avais pas vraiment de plan en tête, juste passer un bon moment avec une personne que j'apprécie humainement et qui m'excite sexuellement.
On passe une bonne soirée, on discute, on rigole mais tout ça reste bon enfant. Je l'accompagne jusqu'à la gare et, elle s'apprêtait à monter dans le train pour rejoindre son mari chez elle quand j'eu cette irrépressible envie de l'embrasser. Je la regarde droit dans les yeux, la saisie par la taille et enfonce ma langue dans sa bouche.
On se roule une énorme pelle pleine de sensualité. Elle embrasse divinement bien !
Je prends ses fesses à pleine main en les glissant dans les poches arrières de son jean pour la coller encore plus contre moi, je veux qu'elle sente ma grosse queue bandante. Je vois dans ses yeux qu'elle a bien pris conscience de mon érection et même en l'embrassant je perçois comme un sourire de satisfaction.
Elle me dit :
"Depuis le temps que je rêve que tu m'embrasses, enfin ! Tu aurais dû le faire il y a bien longtemps"
Je lui propose de venir chez moi, histoire d'aller au bout de cette histoire. Elle monte un bobard à son mari et gagne quelques heures de tranquillité.
On monte dans un taxi, 20mn de trajet durant lesquelles nos bouches se décollent à peine. Nos mains se baladent sur le corps de l'autre, ma main droite est entre ses cuisses et je sens la chaleur qui se dégage de sa chatte. Je l'imagine déjà trempée d'excitation. La sienne est sur ma queue, elle me caresse à travers mon jean.
On arrive au pied de mon immeuble, on monte rapidement les deux étages qui nous séparent de mon appartement.
On est à peine rentré que les vêtements tombent déjà.
Je lui enlève son haut, degraffe son sous tifs et colle mon torse contre ses énormes seins. Elle doit faire du 95D minimum, une seule main ne suffit pas pour saisir un seul de ses nichons. On s'embrasse toujours, nos langues se mêlent et se démêlent comme dans un balais parfaitement chorégraphié.
Elle ouvre ma braguette pour glisser sa main dans mon caleçon et s'empare de ma queue qu'elle commence à branler. Puis elle se met à genoux, me baisse pantalon et caleçon sur les chevilles et colle son visage sur ma bite. Elle l'a respire, elle me dit :
"J'adore l'odeur de ta queue !"
Et elle l'engouffre dans sa bouche. Elle me pompe comme une chienne, elle aspire ma queue en l'enfoncant dans sa gorge. Putain, il n'y a pas à dire, elle mérite sa réputation de bonne suceuse ! Elle n'a aucun problème à assurer une gorge profonde avec mes 20cm de bite. C'est magnifique, je repense à toutes ces fois où je me suis branlé en imaginant un tel scénario.
Elle me regarde droit dans les yeux, ne sors mon sexe que pour me dire qu'elle l'adore. Je me retiens de lui cracher au fond de la bouche, je la vois déjà se délecter de mon foutre. Je vais patienter un peu avant ce doux moment. J'appuis sur sa tête pour enfoncer aussi profond que possible ma verge dans sa bouche. Je l'étouffe jusqu'à ce que des larmes coulent sur ses joues. Je lui baise littéralement la bouche. Je lui laisse reprendre un peu d'air régulièrement et c'est elle qui reprend ma queue entière a chaque fois. Elle me dit :
"Continue stp, baise moi la gueule comme une pute !"
Elle mérite vraiment sa réputation de suceuse. Elle devrait être remboursé par la sécurité sociale cette salope, tout homme devrait avoir au moins une fois dans sa vie, la joie de se faire pomper par une putain de son espèce.
Je pense à son mari, qui doit patiemment l'attendre pendant qu'elle avale ma bite, ça rend la situation d'autant plus excitante. Je lui dit :
"Il a de la chance ton homme, a sa place je te baiserai matin midi et soir !"
Elle sourit à mes paroles sans cesser pour autant de me pomper.
A mon tour je veux goûter à son intimité.
Je l'allonge sur mon lit, elle écarte immédiatement les cuisses car elle a très bien compris ce que j'allais faire en voyant ma tête se rapprocher de sa vulve.
Je commence par titiller son clitoris avec la pointe de ma langue. Sa chatte dégouline de cyprine, son jus est presque sucré c'est un vrai délice.
Elle appuie avec ses deux mains sur ma tête pour coller ma bouche sur son orifice. Ma langue s'immisce profondément en elle. Elle bouge ses hanches comme pour accroître le plaisir. Elle m'étouffe presque c'est surexcitant ! Elle me dit :
"Baise moi stp, je veux sentir ta grosse bite en moi !"
Impossible de résister à cet appel, je me relève et m'enfonce en elle sans retenue. Ses cuisses sont écartées au maximum et elle se tient les jambes par le derrière du genoux. Son vagin est totalement ouvert et je sens que je la pénètre au plus profond. Je balance d'énormes coup de rein qui sont motivés par ses encouragements :
"Vas y défonce moi comme une pute, fais moi mal !"
Je la sens qui contracté sa chatte comme pour retenir ma queue. J'ai presque du mal à ressortir. Elle est incroyable son corps me rend dingue, ses seins, son ventre (j'adore les filles qui ont un peu de bide), ses hanches, bref son corps est comme conçu pour donner du plaisir.
On alterne les positions dans un naturel surprenant, c'est comme si on avait toujours baisé ensemble.
Mais c'est définitivement en levrette qu'elle est le plus incroyable. Son gros cul me rend dingue et la vue de ses fesses qui ondulent en absorbant le choc des allers retours me fait encore plus bander. Elle écarte ses fesses et je suis comme hypnotisé par la vue de son trou du cul qui se dilate de plaisir. Elle commence à se doigter le cul, elle s'enfonce un premier doigts puis un deuxième. Je suis hypnotisé par ses doigts qui vont et viennent comme ma teub dans sa chatte. C'est terriblement excitant de la voir ouvrir son cul comme ça. Elle tourne son visage vers moi et me dit d'une voix douce :
"Tu peux m'enculer si tu veux, j'adore ça !"
Je lui réponds :
"Mais bien sûr que je vais t'enculer grosse chienne !"
Je suis un véritable adorateur de la sodomie. Je trouve que c'est la façon la plus ultime de posséder quelqu' ...

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