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Premier ciné X

Publié par : elena75 le 22/02/2021

Ce matin mes cours ne commencent qu’à 10h00 mais je prends tout de même mon petit-déjeuner avec ma mère qui doit partir de la maison à 08h30 pour être à son travail à l’hôpital Bichat à 09h00. Elle est déjà habillée et maquillée, prête à foncer vers la station de métro en bas de chez nous dès qu’elle aura pris son café noir et ses deux biscottes matinales. Jamais plus, pour maintenir la ligne dit-elle !
Je la regarde, elle a mis un joli tailleur gris et elle a les jambes gainées de soie noire. Je me demande si c’est des bas ou bien un collant. Comme beaucoup d’hommes, je me demande si les femmes qui travaillent dans les hôpitaux sont en lingerie sous leur blouse blanche. Cela doit être excitant d’être dans une telle tenue !

Elle m’embrasse et me dit
- A ce soir chéri. Travaille bien !
avant de refermer la porte de l’appartement derrière. J’entends le bruit de ses talons résonner sur les escaliers qui mènent de notre étage au rez-de-chaussée. Je me précipite à la fenêtre et la regarde marcher dans la rue avant de disparaître dans la station de métro. Je vais à la salle de bain et me rase. Cela fait maintenant dix minutes qu’elle est partie, il n’y a aucune raison qu’elle revienne à l’improviste. Je me précipite dans ma chambre, récupère la clé du petit cadenas acheté il y a quelques jours et me rue dans la chambre de ma mère. J’ouvre son armoire, fouille dans le bas et en sort son petit coffret secret. Bien évidemment, ma clé ne s’adapte pas dessus mais, en y regardant de plus près, je me dits que je dois pouvoir ajuster la forme de ma clé à celle de la serrure du cadenas du coffre. Compte tenu de l’heure qui tourne, je ferai cela en rentrant ce soir.

Puisque je suis devant l’armoire de ma mère, je décide d’en profiter et de lui emprunter un peu de lingerie. Je choisis ce que j’aime bien, referme l’armoire et je fonce dans ma chambre pour m’habiller. C’est un régal d’enfiler les bas noirs auto fixants sur mes jambes avant de mettre le petit string blanc et noir Simone Pérèle. Me regardant dans le miroir fixé derrière la porte de ma chambre, je me dis que c’est vraiment dommage de ne pas avoir plus de pectoraux car j’aimerais bien tester le port d’un soutien gorge ou d’un body.
Rien que le fait de mettre cette lingerie sur moi m’excite au plus point et je pense alors à Jean75 qui m’a demandé de faire quelques photos. Il va aussi falloir que je m’en occupe bientôt. Mais pour l’instant, je m’allonge sur mon lit et me masturbe rapidement en pensant à cet homme qui m’a caressé et masturbé dans la cabine du sexe shop à Pigalle. Je regrette vraiment d’avoir joui trop vite ce jour là car c’était vraiment le pied de m’offrir à lui en lingerie. Une fois que je me suis bien branlé, j’enfile mon jean et mon polo et me voilà parti pour la fac.

Ma journée d’études se passe normalement et je profite des pauses entre les cours, comme j’en ai maintenant pris l’habitude depuis quelques semaines, pour aller me faire une petite branlette dans les toilettes. Parfois, tandis que je me masturbe dans la cabine WC, j’entends discuter les mecs qui viennent aux urinoirs. Leurs conversations ne volent pas très haut et sont parfois très graveleuses. Cela m’excite et je me dis qu’ils seraient bien surpris de me voir avec les dessous que je porte.
L’après-midi, j’ai deux heures de cours consacrés à la philosophie antique avec l’étude d’œuvres de Platon et Aristote. Au bout d’une heure, je décroche un peu et je décide de surfer sur internet pour passer le temps. Compte tenu du nombre d’étudiants dans l’amphi et de ma place dans les rangées du milieu, je suis tranquille ! Après quelques minutes, je tombe sur un site appelé « Lieux de drague » qui répertorie les endroits coquins sur Paris et leur fréquentation. En affinant ma recherche par types de lieu (sexe shop, sauna, cinéma, club, …) je découvre qu’il existe un cinéma pornographique rue de la ville neuve près du cinéma Le Grand Rex juste à côté du métro Bonne Nouvelle. En lisant les commentaires, je découvre qu’il est surtout fréquenté par des hommes murs, à majorité bisexuels, adeptes de caresses discrètes entre adultes consentants. Je note l’adresse sur l’une de mes pages de cours, à toutes fins utiles.

Il est 16h30 lorsque je sors de la fac et je saute dans le métro pour prendre la direction de la station Bonne Nouvelle où j’ai envie d’aller en repérage. A Opéra, je prends la ligne 8 et me voici arrivé. Avant de sortir de la station, je me repère sur le plan et c’est avec un peu de difficulté que je trouve la rue de la ville neuve. Pareil à un touriste qui déambule dans le quartier, je remonte le boulevard puis emprunte la rue pour passer devant Le Béverley. Je ralentis devant l’entrée, le lieu a l’air calme. J’hésite, j’y vais ou j’y vais pas ?? Pas facile de se lancer même si j’ai la secrète envie de tenter l’expérience. Un homme arrive dans la rue en face de moi, il semble être un habitué des lieux. Il présente bien et ressemble à un cadre quinquagénaire qui vient de quitter son boulot et mais s’accorde une petite pause avant de rentrer chez lui où sa femme et les enfants l’attendent certainement. J’hésite encore une minute et je me lance ! Je me présente à la caisse vitrée derrière laquelle se tient le gérant des lieux. Je lis une petite affiche qui indique « 12 euros ». Je lui donne le compte et il me donne un ticket d’entrée comme dans un cinéma normal. Je pousse la porte qui donne sur l’unique salle de projection et m’arrête quelques secondes pour que mes yeux s’habituent à l’obscurité.

Une fois que j’arrive à voir l’intérieur, je constate qu’il s’agit d’une petite salle. Il doit y avoir une dizaine de rangées de six ou sept fauteuils chacune. A l’avant de la salle, dans un recoin sur la gauche de l’écran, il y a deux autres rangées de quatre fauteuils. A l’écran, une belle bourgeoise mature est en train, semble-t-il, de faire des achats dans un magasin de lingerie. Je repère une place libre facilement accessible au centre de l’une des rangées au milieu de la salle. Je me faufile entre les sièges et je m’installe pour regarder l’écran. Il doit s’agir d’un vieux film car l’image saute un peu et la pellicule semble piquée. Mais il semble y avoir une histoire et je préfère cela à une succession de gros plans érotiques. La femme a choisi une parure de lingerie et entre dans une cabine pour procéder aux essayages. C’est alors qu’un jeune homme, caché jusque là parmi les rayons, se dirige vers la cabine et demande
- Madame, tout va bien ?
La femme lui répond
- Je crois que j’ai quelques soucis pour retirer le corset que j’ai mis ce matin. Mon mari a dû faire un nœud que je n’arrive pas à défaire.
On voir alors le jeune homme pénétrer dans la cabine, aider la femme à retirer son corset puis il se met à genoux derrière elle pour lui caresser les jambes.
Jetant un œil autour de moi, je constate qu’il doit bien y avoir une vingtaine de spectateurs dans la salle, que des hommes ; la moyenne d’âge est relativement élevée et je suis certainement le plus jeune dans la salle. Lorsque je parle de spectateurs, je dois tout de même reconnaître qu’il y a quelques acteurs dans la salle ! Certains, confortablement installés dans leur fauteuil, se masturbent en solitaire en regardant la bourgeoise se faire caresser les seins et dévorer la chatte dans la cabine d’essayage. D’autres, se masturbent ou se caressent mutuellement en duo et je remarque même, dans le recoin à gauche de l’écran, que quelqu’un est penché sur le bas-ventre de son voisin de droite pour lui prodiguer très certainement quelques caresses buccales.

Ce qui est surprenant et marrant, c’est qu’il y a un ballet incessant dans la salle ; certains vont ou sortent des toilettes situées du côté du recoin gauche, d’autres changent régulièrement de place tandis que ceux qui quittent la salle sont vite remplacés par de nouveaux arrivants.
Alors que je suis captivé par la belle bourgeoise offerte en bas au jeune vendeur, un homme vient s’asseoir à ma droite. Au bout de quelques minutes, il pose sa main sur mon genou droit et laisse sa main immobile. Depuis mon expérience dans la cabine du sexe shop, je sais qu’il faut laisser faire. Encouragé par mon manque de réaction, la main remonte sur ma cuisse et se cale au niveau de ma braguette. Mon voisin doit être un redoutable chasseur - expert de l’approche silencieuse du gibier - car, après encore quelques instants d’attente, il commence à aller et venir sur mon jean puis ouvre ma braguette et, après une nouvelle pause, glisse sa main dans mon pantalon. Il semble surpris de rencontrer la douceur de ma petite culotte empruntée ...

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