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Première fellation ...

Publié par : elena75 le 05/03/2021

Nous sommes samedi matin et je fais la grasse matinée. Ma mère est déjà partie à l’hôpital depuis un bon moment car elle est de garde jusqu’à demain dimanche 08h00. Je vais pouvoir mener tranquillement mes investigations.
Il est 10h00 lorsque je termine mon petit-déjeuner et je suis encore en caleçon et tee-shirt. Comme il fait beau, je décide d’aérer ma chambre et j’ouvre grand la fenêtre qui donne sur les appartements de l’autre côté de la cour de l’immeuble. Ensuite, je file vers la chambre de ma mère. Une fois le coffre sorti de l’armoire, je prends ma clé et je savoure l’instant. La clé que j’ai bien limée rentre dans la serrure, tourne facilement et le cadenas s’ouvre. Gagné !
J’ouvre le coffre qui est grand comme une boite à chaussures et j’en sors le contenu en faisant attention à bien mémoriser la manière dont c’est rangé. Surprise ! Il y a là trois godemichets de différentes tailles, des boules de geisha dont certaines me semblent vibrantes, un double gode, un tube de gel lubrifiant, une boite de préservatifs, un bandeau noir pour les yeux, un collier en cuir avec un anneau métallique, une paire de menottes, des petites pinces qui doivent être pour les tétons et un tout petit livre de Kamasutra. Je suis surpris de cet inventaire à la Prévert et je me dis que cela doit certainement dater d’avant le décès de mon père. Tous ces accessoires et gadgets érotiques devaient sans nul doute servir à pimenter leurs jeux dans l’intimité de la chambre conjugale.

Je prends en main l’un des godemichets et je me dis que l’objet est assez réaliste avec ses nervures bien dessinées et le gland bien sculpté dans la matière rigide mais douce au toucher. Ayant lu que de nombreux hommes prennent plaisir à se faire masser la prostate avec un tel objet, je décide de tenter l’expérience. Pour compléter mon test, je fouille dans les affaires de ma mère et je prends un superbe body rouge en dentelle qui s’ouvre à l’entrejambe ainsi qu’une joli porte-jarretelles et des bas noirs. Une fois dans ma chambre, je me mets à poil, enfile le body puis les bas. Je m’allonge sur mon lit, le soleil inonde ma chambre par la fenêtre que je n’ai pas refermée. C’est un régal de sentir à la fois la chaleur du soleil et la douceur de la lingerie sur mon corps. Je prends le godemichet et enfile un préservatif par-dessus pour des raisons d’hygiène. Je suce bien l’ustensile puis tente de le glisser dans mon petit cul. Au début, certainement par pur réflexe masculin, je serre les fesses refusant d’être ainsi pris. Je décide donc de me détendre et de penser à autre chose. J’imagine que c’est ma mère qui utilise ce sexe toy et qui se donne du plaisir. Cela fonctionne ! L’objet pénètre en moi centimètre par centimètres et le voici enfin bien planté au fond de mon intimité. Au bout de quelques secondes, j’actionne le bouton qui commande les vibrations et une douce chaleur monte en moi. Je commence alors à me masturber mais je dois avouer que j’ai un peu de mal à bander. Je me mets alors à repenser à ma sortie au Béverley et à ces hommes qui profitaient de moi. Cela fonctionne car ma queue se dresse et les mouvements de ma main sur ma hampe conjugués aux vibrations du godemichet entre mes fesses me procurent des sensations très agréables. Au bout de 10 minutes de ce traitement, je jouis longuement et mon foutre se répand sur la dentelle du body rouge.
A midi, toute trace de cette expérience inédite, mais oh combien jouissive, a disparu. Le godemichet est bien rangé dans le coffre, refermé à clé et planqué où il était. Le body souillé est jeté au panier de linge sale. Je garde sur moi sur mes fringues de mec le porte-jarretelles, les bas et un string. Pour me remettre à des choses plus sérieuses, je révise un peu mes cours pour profiter encore un peu du soleil puis je ferme ma fenêtre et rejoins la cuisine pour me préparer un léger déjeuner.

Vers 14h00, je décide de sortir prendre l’air pour profiter du soleil. Je traîne du côté de la place du Tertre où les artistes peintres et autres vendeurs de souvenirs sont assaillis par les nombreux touristes. Je poursuis vers les jardins en dessous du Sacré-Cœur et m’installe sur les marches pour bronzer un peu en profitant de la vue unique sur Paris avec les principaux monuments historiques dans mon champ de vision. Il doit bien être 15h00 lorsque je décide de prendre le chemin du retour. Il faut dire que je commence à avoir un peu chaud avec la lingerie, surtout les bas, que je porte sous mes vêtements.
Alors que je redescends la rue Ramey et que je vais m’engager dans l’impasse où nous habitons, je tombe nez à nez avec monsieur Dubout, un quinquagénaire célibataire qui vit dans notre immeuble mais pas dans notre bâtiment. Comme avec ma mère nous avons toujours habité là, je connais quasiment tous les occupants de l’immeuble à l’exception de ceux ayant emménagé récemment.
Je salue monsieur Dubout qui me répond
- Bonjour David. Tu vas bien ? Je crois que ta mère travaille aujourd’hui car je l’ai vu partir de bonne heure ce matin.
Je lui réponds
- Oui et elle est de garde cette nuit.
Il poursuit
- Pourrais-tu me rendre un petit service. J’ai un problème avec mon ordinateur que je n’arrive pas à reconnecter à ma nouvelle imprimante.
Je lui réponds que cela ne me pose pas de problème et c’est ainsi que nous poursuivons ensemble la route jusqu’à notre immeuble.

Comme il habite au cinquième étage, nous prenons l’ascenseur et nous voici chez lui. Il me propose de boire quelque chose avant de me montrer son ordi et j’accepte sa proposition. Une fois que cela est fait, il m’entraîne dans son bureau où est installé son matériel informatique. En moins de quinze minutes, je réussis à installer sa nouvelle imprimante qu’il a depuis déjà une semaine mais qu’il n’avait pas réussi à faire fonctionner. Je lui explique qu’il fallait télécharger le logiciel pilote sur internet car il n’y a plus de CD d’installation de fourni. Je lui précise par ailleurs qu’il peut la faire fonctionner en bluetooth car elle est beaucoup plus moderne que son ancienne. Il me dit
- C’est parfait, je voudrais bien faire un test en imprimant une photo prise ce matin. Tu ne le sais peut-être pas mais je suis photographe amateur.
Il s’installe derrière son ordinateur, ouvre son gestionnaire de fichiers et quelle n’est pas ma surprise lorsqu’il affiche une série de photos de moi en body rouge et bas me masturbant sur mon lit. Je rougis et ne sait plus où me mettre ni quoi dire.
Il se tourne alors vers moi et me dit avec un grand sourire
- Regarde par la fenêtre, tu verras que j’ai une vue plongeante sur ta chambre et celle de ta mère. En voyant ce matin le joli spectacle que tu offrais, je n’ai pas pu m’empêcher de faire quelques photos avec mon téléobjectif.
Puis il poursuit puisque je suis incapable de lui dire quoi que ce soit
- Sois certain que j’ai apprécié. Tu es très sexy en lingerie sexy. C’est celle de ta mère ?
Sans trop relever la tête, je lui réponds
- Oui monsieur Dubout, en cachette !

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