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Premiers émois dans la nature - 1977 – histoire vécue

Publié par : sabine78 le 29/10/2022

Premiers émois dans la nature - 1977 – histoire vécue

En cette année ou j’entrais au Lycée, j’avais enfin eu l’âge d’avoir une mobylette. Cela m’avait ouvert de nouveaux espaces et enfin envisagé une sexualité plus diverse que de simple masturbation.

Durant l’hivers j’avais acheté des revues et romans-photos érotiques. J’avais eu de la chance car j’avais trouvé un petit libraire qui, malgré mon âge, me laissait feuilleter certaines revues et en acheter.
Parmi elle, je me rappels très bien un roman-photo ou les histoires était toujours pareilles. Une belle jeune femme si retrouvait dans une situation ou un homme abusait d’elle, quand surgissait super-lesbienne qui la délivrait de se malotru. La belle remerciait ensuite super-lesbienne en lui offrant son corps. Aujourd’hui cela semble puéril mais à l’époque c’était pour moi envoutant de voir pour mes première fois 2 femmes entre elles.

Avec le temps, il devenait risqué de cacher ces revues dans ma chambre. Le printemps avançant, je m’étais mis en quête d’un petit coin de nature discret ou je pourrais cacher celles-ci et aussi me masturber tranquillement et qui sait, croiser une femme, pure fantasme de jeunesse. A cette époque tout ce que je connaissais des corps des femmes c’était ces revues, la poitrine d’une jeune voisine d’avant notre déménagement et les poitrines vues sur les plages en ce début de démocratisation du monokini sur les plages d’aquitaine.

Je trouvais ce petit coin durant le printemps. Un coin, assez prêt de la route pour y accéder avec ma mobylette mais pas au bord d’un chemin pour éviter d’être dérangé par les promeneurs et suffisamment bien caché. Ce qui m’avait plus c’est que sur place il y avait des restes de revue érotique et porno pas trop dégradé. C’est la première fois que je voyais une chatte. Quand je dis voir c’est un bien grand mot vu les pilosités à l’époque. En plus un tas d’habits féminins plus ou moins usés jonchaient le coin ce qui faisait vagabonder mon imagination.

Régulièrement j’y venais y déposer de nouvelles revues dans le sac plastique que j’avais enterré sur place et aussi pour me faire de longs moments de masturbation. J’étais même devenu un expert en masturbation. Déjà dans mes déplacements, les vibrations de ma mobylette en roulant pouvait me faire jouir quand je m’y asseyais dans une certaine position. Et en ce lieu, après quelques temps je me suis enhardis à me mettre nu, puis à me balader nue dans la forêt sexe en érection, à me masturber en marchant ou en courant, à enlacer des arbres en m’y frottant jusque la jouissance et même à revêtir ces vieux habils de femmes. J’allais même parfois me cacher au bord de la route guetter discrètement les femmes dans les voitures qui passaient.

Mais mon petit manège a dû être aperçu car un jour, un homme a commencé à roder dans le coin ou j’étais. Et régulièrement je trouvais des choses déplacés. J’ai donc décidé de changer d’endroit avec mon petit sac de revues.

Je suis partit en quête d’un autre endroit que j’ai rapidement trouvé dans une petite maisonnette en bois abandonnée dans un petit bois à proximité d’un croisement.

J’y ai rapidement pris mes marques. J’entrais ma mobylette dans la cabane. je déterrais mes livres et Je m’allongeais nu sur un vieux matelas et je me masturbais. Rapidement je me suis ennuyé. Alors j’ai repris mes explorations nue.

Ce jour-là j’avais poussé au-delà de la route. En retraversant celle-ci pour retourner à la cabane, j’ai été moins vigilant et je me suis retrouvé nez a nez avec une voiture. Une femme était au volant ce qui m’a terriblement excité. Mais ce que je n’avais pas vu, c’est qu’un peu plus loin, une autre voiture se garait.
Quand je m’aperçus qu’un homme en sortait et se dirigeait vers la cabane, toute mon excitation s’envola et des images de moi devant rentrer nue chez moi parce que cet homme m’avait tout voler me fit prendre mes jambes à mon coup pour rejoindre la cabane avant lui. Et j’y arrivait. Je rassemblais rapidement mes habils pour me revêtir quand il entra.

Il s’est approché, a ...

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