Après cette relation, j’ai toujours le désir ardent de savoir ma femme aimée et désirée par un autre homme, mais ma position de mari, même « cocu » comme l’a déclaré Jean-Paul, doit faire part égale avec l’amant.
Mais après cette relation, je pense avoir ré-ouvert la boîte de pandore avec mon épouse, il me faut manœuvrer finement, sans manipulation, avec amour, humour et une complicité sincère et bienveillante…C’est elle qui désire, c’est elle qui consent…Je comprends maintenant, pourquoi elle ne souhaitait pas avoir des relations libertines.
Caroline veut très vite que nous retrouvions un autre partenaire.
Je lui propose encore son « ex-amant » qu’elle a rencontré à l’âge de vingt-cinq ans, et avec lequel elle a eu des relations lors de ses trois mariages précédents.
Mais elle me dit ne pas être prête à le revoir. Nous progressons tout de même.
Nous réactivons notre annonce sur le site de rencontre. Notre recherche est plus précisément définie. Nous recherchons un homme bi actif, exclusivement, et je souhaite participer activement à la relation.
Nos points de vue et nos envies sont similaires, non seulement, elle accepte cette nouvelle expérience, mais elle est très impatiente de la vivre.
Nous nous mettons donc en quête d’un amant pour satisfaire notre envie.
Après avoir consulté les fiches des nombreux volontaires, et bien que nous souhaitions un homme entre cinquante et cinquante-cinq ans, nous nous arrêtons sur un jeune homme de trente et un ans, en nous disant qu’il n’a peut-être pas l’âge mais qu’il aura au moins la vigueur.
Brun, yeux clairs, peau mate, très grand et musclé, il est pas mal d’après nos avis respectifs, il très séduisant pour Caroline.
Il a surtout l’avantage d’être bi actif et qu’il est prédisposé à cette pratique.
Aussi face à l’engouement et l’impatience de Caroline, et malgré son jeune âge nous décidons de vraiment correspondre sur nos boites mail privées.
Caroline est séduite par le style littéraire d’Alexandre, jeune ingénieur, travaillant dans l’électronique embarquée, ils multiplient les rendez-vous pour correspondre.
Caroline est de plus en plus excitée, après ses correspondances, ce qui me procure de belles soirées animées sexuellement.
Puis Caroline lui donne son numéro de portable, elle souhaite entendre sa voix, elle est aussi très sensible aux voix des partenaires.
De nombreux rendez-vous téléphoniques remplacent les échanges par mail.
L’excitation de Caroline est encore plus forte, s’imaginant dans les bras de ce beau brun, elle est plus qu’hypersexuelle, vraiment très active.
Alexandre habite à une centaine de kilomètres de notre domicile, nous ne voulons pas renouveler l’erreur de Jean-Paul qui était finalement une connaissance, donc nous avons écarté la recherche à un autre territoire.
Il nous donne un premier rendez-vous pour faire connaissance, nous voulons fixer nos limites respectives, hygiène, santé et le côté pratique. Alexandre est très beau jeune homme, célibataire, bien bâti.
Il est sous le charme de Caroline, et nous décidons tous les trois d’un rendez-vous dans un hôtel chic de Rouen, quelques jours plus tard.
Pendant ces quelques jours, nous séparant de la rencontre, l’état d’excitation de Caroline ne faiblit pas, bien au contraire.
J’ai l’impression que Caroline s’oblige un entrainement comme une sportive de haut niveau. Mais c’est une baiseuse de très haut niveau. Pendant cette période, nous avons des relations multiples, fellations, sodomies et même doubles pénétrations avec son plus gros god, que nous surnommons « Gigibé », c’est le petit nom de son ex-amant.
Le jour J arrive enfin, Caroline est impatiente, dès notre arrivée et avant d’accéder à notre chambre, en fait une belle suite réservée par Caroline, nous prenons un verre au bar de l’hôtel, histoire de se désinhiber.
Caroline, s’est habillée de façon à nous exciter. Elle a une tenue très osée, trop osée à mon gout, une robe bien transparente, bas noirs, décolleté bien profond, des talons hauts et surtout elle ne porte pas de sous-vêtements.
Elle a l’habitude, elle aime provoquer, surtout en public, elle affiche fièrement son envie du moment et n’hésite pas à ouvrir ses jambes pour offrir son sexe à la vue des autres.
La clientèle du bar, en grande majorité masculine, semble apprécier, la lumière tamisée du lieu se prêtant particulièrement bien à son exhibition.
En ce qui me concerne, je suis habitué, et j’apprécie ces moments particuliers, où les regards des hommes sont braqués sur l’intimité de mon épouse.
Mais j’observe avec intérêt, notre futur amant, qui est très réceptif à l’attitude de Caroline, au regard d’une certaine « excroissance », plus que visible au-dessous de sa ceinture.
Nous continuons d’échanger, en buvant nos coupes de champagne, Caroline semble très pressée de passer aux choses sérieuses, tandis qu’Alexandre semble prendre beaucoup de plaisir dans cet endroit, flattant Caroline pour sa beauté et jouant avec elle, en lui demandant de prendre des positions de plus en plus osées.
Arrivés dans la suite, Caroline s’absente pour faire une petite toilette et se préparer.
Pendant ce temps, Alexandre et moi, nous nous asseyons pour finir notre bouteille de champagne, et ouvrir la seconde, remontée du bar.
C’est à ce moment que Caroline fait son apparition dans la chambre entièrement nue avec pour seul « vêtements ou accessoires », ses bas et ses talons hauts de dix centimètres.
Dans cette tenue, elle me semble très grande, c’est vrai qu’elle mesure un mètre soixante-quatorze, et avec ses talons et l’atmosphère de la pièce, cette impression est renforcée.
Elle est un peu surprise, car Alexandre semble scotché, tétanisé, il ne fait que lui répéter :- Que tu es belle, ce n’est pas possible, tu es vraiment belle…- Tu ressembles à…Caroline lui demande alors à qui, elle ressemble, elle est habituée…- Sharon…Oui tu ressembles à Sharon Stone, dans cette tenue…C’est fou…Cela amuse Caroline, mais elle s’impatiente et nous propose de se déshabiller et de venir la rejoindre.
Pendant que nous nous dévêtissons, Alexandre est plus rapide que moi, je jette un œil sur son sexe.
Ma première pensée est positive, car Alexandre a bien été pourvu par la nature, il y a bien longtemps que je n’ai pas vu de sexe d’homme.
Depuis ma rencontre avec Caroline, il y a maintenant six longues années, j’ai mis de côté ma bisexualité pour assouvir l’énorme besoin de sexe de ma belle hypersexuelle.
Je me dis également qu’une double pénétration de Caroline devrait également lui faire plaisir au vue des entrainements de la semaine passée.
Nous rejoignons Caroline, qui allongée sur le lit, ne nous a pas attendu, et se caresse déjà.
Nous nous installons de chaque côté de Caroline, qui brule de désir, nous commençons quelques attouchements et caresses et Caroline commence à nous embrasser rageusement à tour de rôle.
Les caresses d’Alexandre sont de moins en moins timides, ma belle Caroline semble apprécier ce traitement.
Après quelques instants, je suis toujours allongé sur le dos et Caroline me présente son sexe, c’est une pratique qu’elle affectionne.
Elle aime s’asseoir sur mon visage, permettant ou forçant typiquement le contact oral-génital, afin de contrôler, à des fins d'excitation sexuelle, ma respiration, je suis alors totalement dominé.
Alexandre en profite pour se lever et vient présenter son sexe au niveau de la bouche de Caroline, elle l’engloutit littéralement d’un seul coup, avant même que le pauvre Alexandre soit en position.
Elle semble se régaler avec cette bonne bite bien jeune, fraiche et bien raide.
Alexandre apprécie le travail de « bonne pipeuse » de ma belle.
Puis après un certain temps, Alexandre vient se positionner au pied du lit et me demande de relever mes jambes.
Caroline semble surprise, mais je m’exécute sans trop savoir à quoi m’attendre.
Ou plutôt si, j’espère secrètement qu’il va bien s’occuper de moi.
Alexandre m’attrape les cuisses et m’avance brusquement et virilement vers le bord du lit.
Caroline se repositionne immédiatement, elle s’assoie de nouveau sur mon visage, pour que je puisse continuer la pratique de son désir. Nous sommes à ce moment, l’un et l’autre dans un état d’excitation maximal.
Alexandre s’agenouille, et s’empare de mon sexe pour le sucer avidement.
Le garçon est doué, il sait magnifiquement bien jouer avec sa langue.
C’est aussi quelqu’un de parole, il respecte mes exigences relationnelles, lors de notre entente préalable. J’avais des exigences car je ne souhaitais pas renouveler la trahison de Jean-Paul, qui était soi-disant « bi », mais qui s’était servi exclusivement de Caroline devant moi.
J’avais enfin cette relation bisexuelle, tant attendue, je me suis laissé faire, mais je suis très affairé à donner du plaisir à ma belle Caroline, la seule petite frustration, je ne vois pas la personne qui me pratique cette fellation caché par le beau corps de ma miss.
Mon sexe gonfle de seconde en seconde sous les aller et venue de cette nouvelle bouche gourmande et de cette langue douce qui s’attarde sur le frein de ma verge, mais aussi, et brièvement, autour de mon anus. Ce n’est pas facile de se concentrer sur son propre plaisir quand on est bien occuper à en donner. Je caresse Caroline, qui se tortille de plus en plus, et m’empêche de respirer.
Après quelques instants il me demande :- Tu aimes…Éric ?
- C’est très agréable !!! Lui répondis-je, alors que Caroline semble jouir sur mon visage.
Ale ...

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