Avant de monter dans le train, je remarque une jeune femme attirante, l’air très libéré avec percings et cigarette à la bouche.
Je m’installe côté couloir et de l’autre côté du couloir, est installé un jeune noir à la plastique magnifique à mes yeux. Je ne peux pas admirer son cul mais sa bouille m’attire. Je sais bien que je suis resté sage pendant une semaine mais de là à être attiré par tout ce qui bouge ! Et là, arrive la nana qui fumait à l’extérieur de la gare. Elle fait se déplacer le jeune et la langue m’en tombe comme celle d’un loup dans un dessin animé : il a un cul à faire bander un eunuque ! elle s’installe et allume son ordinateur portable tandis que lui, se regarde une vidéo sur son portable avec les écouteurs aux oreilles.
Je ne peux m’empêcher de le mâter, surtout au niveau de son entrejambe : fait-il partie de ces noirs à la bite énorme ? Je remarque que la nana à côté de lui se pose la même question. Je l’imagine lui mettre la main sur le paquet pour obtenir réponse à sa question mais elle n’est pas si effrontée que ça. Elle me regarde de temps en temps et me fait comprendre qu’elle a remarqué mon manège et un échange de regards complices s’instaure entre nous.
Au bout d’un certain temps, le jeune se lève et je vois qu’il s’est rendu dans les toilettes car le voyant indique qu’elles sont occupées. Ni une ni deux, je me lève et la nana me regarde avec l’air de dire que je suis en train de la doubler mais elle l’accepte avec fair play, m’adressant un large sourire.
J’attends derrière la porte des toilettes et lorsqu’il ouvre la porte, je le coince avec un sourire charmeur et le repousse à l’intérieur, en m’engouffrant avec lui. Je referme la porte et je constate que sa surprise fait place à une acceptation de mon audace. Je regarde son paquet et constate qu’une jolie bosse s’y dessine. Je lui demande s’il vient de se branler et avec un air confus, il me fait signe de la tête que oui. Je passe ma main sous ses frusques pour effectuer un état des lieux et sa bite demi molle est d’un gabarit très impressionnant. Je sens qu’il n’a pas éliminer les dernières gouttes et je me penche pour les avaler. Je m’en régale et une fois son pieu bien nettoyé, je rentre son sexe dans ses vêtements et approche mon visage du sien et nous nous embrassons avec beaucoup de volupté. Ses mains restent timidement sur ma nuque tandis que je vérifie le tonus de ses fesses. Là encore, il ne se montre aucunement farouche, au contraire : il remue légèrement du bassin et sa langue se dynamise sensuellement contre la mienne.
Les toilettes ne sont pas un lieu très confortable et je lui propose d’en rester là pour l’instant. Mon train étant une étape de mon périple, j’ai réservé une chambre d’hôtel et je lui demande s’il accepte de m’y accompagner à l’arrivée en gare. Il me sourit d’une façon charmante et accepte. A mon tour de me montrer fair play et je lui demande s’il accepterait que sa voisine de trajet se joigne à nous. Il prend un air surpris et je lui demande s’il n’a pas remarqué à quel point elle bavait sur lui et à quel point elle se montrait curieuse de son entrejambe. Il me répond qu’il avait bien ressenti quelque chose et qu’elle lui paraissait très attirante même si sa timidité lui avait interdit de la regarder davantage ou de tenter quoi que ce soit. J’insiste sur ma requête et il m’indique qu’il serait ravi d’une partie à trois, que ce serait une première pour lui, qu’il est aussi attiré par les hommes que par les femmes. Nous échangeons nos prénoms : il s’appelle Camille.
Je lui adresse une nouvelle galoche et lui demande d’attendre quelques minutes avant de reprendre son siège. Je quitte les toilettes et vient m’assoir à sa place, à côté de la nana. De suite, elle me sourit avec malice et me dit que nous avons mis beaucoup de temps. Je lui demande son prénom : Corinne. Je lui explique ce qu’il s’est passé dans les toilettes et comment Camille et moi serions ravis qu’elle se joigne à nous dans ma chambre d’hôtel. Elle accepte non sans demander un léger aperçu : elle prend ma bouche et m’embrasse avec ferveur tandis que de sa main, elle vérifie l’effet qu’elle provoque au niveau de mon entrejambe.
Camille arrive et met fin à cette chaude galoche. Je lui cède la place en lui fait signe que l’affaire est conclue. Vu que Corinne est chaude comme la braise, je me dis qu’elle va se jeter sur Camille mais elle n’a le temps que d’entamer la discussion car nous arrivons en gare.
Nous sortons tous les trois et nous nous dirigeons vers l’hôtel. Une fois dans la chambre, je mets la bouilloire en marche pour partager une boisson chaude et Corinne passe dans la salle d’eau, nous laissant Camille et moi seuls à regarder la bouilloire. Je n’attends pas longtemps avant de demander à Camille comment il se sent et il me répond qu’il est chaud bouillant et que son cœur bat la chamade. Je lui réponds que je suis tout comme lui et je pose ...

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