Seconde rencontre avec Maitre Alex en l'espace de 8 jours (voir Retrouvailles avec un dominateur (1)
Comme la première fois, rdv donné à l'entrée d'un parc. A la différence, que cette fois-ci je n'avais rien sous mon pantalon suivant ses ordres. Après quelques minutes d'attente dans le froid il est venu à ma rencontre et m'a fait signe de le suivre dans le grand parc. Là encore il m'a fait passer devant lui en m'indiquant que je devais monter sur une bute. Connaissant désormais la route, je n'ai pas hésité et il n'a pas eu à me donner de plus amples instructions. Mais arrivé au sommet il m'a fait bifurquer vers un promontoire et m'a ordonné de baisser mon pantalon. Contrairement à la semaine précédente, cette fois-ci je ne sentais pas le lieu, trop dégagé entouré de chemins alors qu'il y avait malgré le froid pas mal de promeneurs et de joggers. La fois dernière nous étions 10 mètre plus loin mieux dissimulés malgré les arbres dénudés par l'automne et je n'avais pas hésité après un regard circulaire. Alors j'ai refusé, il a insisté, j'ai argumentai qu'il y avait du passage, il m'a répondu un "c'est entendu" que j'ai cru dans un premier temps comme un "puisque tu ne veux pas obéir, restons en là" mais en fait il dit cela car il avait vu venir quelqu'un confirmant mes craintes. Donc nous avons continué notre promenade, je l'ai suivi cette fois-ci ignorant tout de notre destination.
Après un certain temps de marche pendant lequel nous discutions de mon amie domina et de son soumis 24/7 sous contrat (situation qu'il trouvait très intéressante, envisageant des rencontres multiples), il m'a fait passer par un grillage éventré au dessus duquel il est indiqué "entrée interdite" lieu sous surveillance pour entrer dans une ancienne école des années 70 totalement abonnée. Là, petite séance photo torse nu et pantalon baissé à genou sur une chaine trouvée là. Le lieu est un formidable décor pour des nus esthétiques dans des usines désaffectées couvertes de graffitis. Bien que pas très rassuré, j'étais aux anges de poser dans un tel lieu. Puis rhabillage et nous sommes partis pour aller chez lui.
Comme toujours à peine entrés je dois me mettre entièrement nu et l'attendre à genoux. Il est revenu avec quelques accessoires... Un bâillon à boule pleine qu'il m'a fermement fixé (première fois que j'en portais un), puis masque pour me bander les yeux, puis bondé avec une corde. Il a fait une sorte de harnais en serrant bien, je commençais à ne plus en mené bien large (sourire).
Enfin je sens qu'il m'attache un gros collier au cou duquel pend une lourde chaîne.
Et hop direction à l'aveugle dans une autre pièce que je devinerai plus tard être sa chambre. Là il m'a ligoté les couilles avec une corde. Ca m'a fait un peu mal au moment où il me saucissonnait mais ensuite tout allait bien. Il me fit m'allonger sur le ventre sur son lit. Dans cette position, je commençais à me débattre car depuis plusieurs minutes, le bâillon m'empêchait de déglutir, mais avec le visage tourné vers le bas, j'avais l'impression de me noyer avec ma salive qui ne dégoulinait pas tellement la boule était fermement fixée. Après avoir tenté de moins serrer il finit à ma demande de le retirer complètement.
Fessé à la baguette de bambou et au martinet, puis à 4 pattes sur lit il a commencé à me travailler le cul avec doigts gantés puis à me fourrer avec des des plugs ou godes aucune idée. Le froid, le manque d'entrainement de ces derniers temps, l'appréhension, je devais être serré et ça m'a fait un peu mal (j'ai continué à avoir les 2 jours qui ont suivi) Par moment je gémissais, d'autres je me raidissais. Puis enfin il a laissé un long gode dans mon intimité avant de passer à d'autres manipulations, me faisant changer de postures, s'amusant à tirer sur la lanière qui étranglait mes couilles, il m'a souvent fait sucer ses doigts, etc.
Par moment il stoppait et me laissait comme un pantin sur son lit pour aller pianoter sur son PC. (j'entendais le bruit de son clavier et les cliques de la souris) je me demandais s'il rédigeait une fiche sur moi ou s'il dialoguait avec d'autres en parallèle. En fait, c'était un peu des deux car après plusieurs allers retours entre ses manipulations pour me tourmenter et son PC, il m'a fait me relever et m'a dit que je passais en direct sur le site où nous nous étions retrouvés. Il m'a aussitôt rassuré précisant qu'il filmait en dessous de la tête, ce qui n'était pas bien grave car mon bandeau sur les yeux était doublé d'une sorte de cagoule qui cachait mes cheveux jusqu'au oreilles. seule ma bouche, mes joues et mon menton étaient visibles, ce qui garantissait un certain anonymat ;-)
J'étais donc exhibé en "salle privée". Il m'a demandé si ça me plaisait, je lui ai répondu que oui, lui rappelant que je lui avais parlé de mon attirance partagée avec une amie soumise pour les ventes d'esclaves. Il a accentué le côté présentation en me faisant tourner et en m'annonçant le nombre de spectateurs, 4, 6, 7 pour arriver à 8. Certains donnant leur commentaire comme me travailler ...
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