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Séminaire du 05 au 06 Aout 2025

Publié par : couplebi62400 le 06/08/2025

Le fameux séminaire d’entreprise d’avant les vacances. Il était programmé sur 2 jours et 1 nuit. Quand on nous a annoncé la tenue d’un séminaire à la fin du mois de juillet, dans un grand gite avec piscine intérieure… J’ai su exactement comment ça finirait. Pendant les jours qui ont précédé le départ, mes sentiments étaient contradictoires. Un mélange d’excitation et d’excitation très forte d’envies. J’ai plusieurs fois pensé à annuler. À annoncer à mon grand chef que j’étais malade, que j’avais un empêchement familial, faire cela 2 semaines avant mes congés d’été. Et puis en réfléchissant, en accord avec mon homme ou il est déplacement pendant cette période, j’ai donc décidé de m’y rendre quand même.

Comme vous savez, en lisant mes histoires, des histoires vraies et vécues, je m’appelle Marie et je suis directrice d’une agence immobilière sur la région de Béthune pour une enseigne bien connue en France Métropolitaine. Les séminaires obligatoires pour faire le point du marché et des ventes se font 2 à 3 fois par ans.

Le point de rassemblement était à 10 heures sur site. Le temps de prendre la chambre, le café, autant vous dire que la 1ère matinée, je me suis faire chier. Repas du midi sur place, et à 13 H 30 début des hostilités. Chiffre, avis, rentabilité, etc. pour les 6 premiers mois, rien de bien nouveau. Pour chercher à motiver les gens, pas vraiment la bonne méthode, c’était même plutôt chiant. A la fin de cette première partie du séminaire, à 18 H 30, le directeur régional nous informe que la soirée se terminera à 20 H au restaurant. Rendez-vous ½ heure avant sur le parking.

C’est comme à chaque fois, un repas au restaurant qui se termine pour ceux qui ne veulent pas rentrer de suite, dans une boîte de nuit. L’un des avantages d’un gite sur la côte d’opale en pleines vacances, c’est que l’on trouve toujours un établissement d’ouvert. Après le repas, de fil en aiguille, l’heure avançant, nous nous étions retrouvés en boite de nuit du TOUQUET à une quinzaine de kilomètres du gîte. Pas tous et toutes, seulement ceux et celles qui avaient encore un peu d’énergie après une journée épuisante.

Nous étions une petite dizaine, tout au plus. Il était minuit passé et l’alcool aidant, les conversations s’étaient forcément axées sur le sexe. Les collègues masculins étalaient leurs conquêtes allant même jusqu’à donner des détails intimes de soirées qu’ils avaient passées avec une femme. Si tenté que tous soient vrais.

Moi, j’observais et ne disais rien. Les conversations d’adolescents du genre me passaient au-dessus de la tête. Certaines semblaient intriguées et curieuses et relançaient la machine à paroles sur les fantasmes de ces messieurs présents. Ils décidèrent d’aller danser sur la piste, ce que je refusais. Je restais là, au fond de la table seul.

Enfin, non, je vis que l’un de mes collègues était resté là. C’était William. Il avait été nommé directeur pour une agence sur la région de Lille il y a deux mois et je n’avais jamais eu l’occasion de discuter avec lui.

Il scruta dans ma direction. Nous n’étions plus que tous les deux attablés pendant que les autres se trémoussaient sur la piste. Je ne dis rien et je le regardais aussi.
- Pas d’anecdotes croustillantes sur l’une de tes conquêtes Marie ? Me lança-t-il.
- Vous semblez presque déçue, vous n’êtes donc pas rassasié ? Lui répondis-je.
Il sembla interloqué. Je ne saurais dire si c’était à cause du vouvoiement ou du fait que je ne saute pas sur l’occasion pour me laisser draguer ?

C’était un homme sur de son physique. Il faut dire qu’il était pas mal, grand, facile 1,90 m et pas gros comme j’aime et ses bras visibles en dehors de sa chemisette laissait à penser qu’il était un peu muscle . Je pensais que si son sexe était en rapport avec sa taille on devrait bien s’amuser avec.
- Non j’ai… ma dose d’histoires cochonnes pour la soirée. Si tenter qu’elles soient vraies…
- Là, je ne peux qu’acquiescer.
- Je vous est déjà croisée plusieurs fois lors d’une réunion de groupe, mais nous n’avions jamais discuté.
- Oui. Vous étiez avec ces mêmes collègues, souvent en train de rire d’ailleurs.
- Je vois…

De là commence une discussion des plus banales de personnes faisant connaissance. On parle de nos postes respectifs, de travail forcément, de nos loisirs, un peu de notre passé, les villes visitées, nos voyages. Nous accrochons bien intellectuellement. Elle me plaisait bien physiquement, mais je n’envisageais rien, enfin pas si certaine que cela. C’est une collègue de travail. Est-ce l’alcool ou la fatigue, mais je décelais des comportements de séduction.

J’essaye de rester courtois et distant, ce qui sembla le frustrer. Finalement, il entreprit de partir sur un sujet direct :
- Tu ne m’a pas dit si tu avais quelqu’un dans ta vie ?
- C’est une proposition ?
- Euh…non. Non !
- Pourquoi poser la question alors ?
- Simple curiosité.
- Je n’y crois pas vraiment.
- Donc…si ce n’est pas de la curiosité ?
- J’aime les hommes qui disent clairement leurs intentions. On a plus 20 ans.

Là Il se penche à mon oreille et me murmure :
- J’aime qu’une femme me soit soumise, j’aime sentir en elle la frontière entre la crainte, la douleur et le plaisir.

Je n’en dis pas plus et m’adosse de nouveau à la banquette en la regardant dans les yeux.
- Ok on verra ce soir de retour à la chambre.

Le reste de la soirée, nous parlions de tout et de rien, sachant très bien au fond de nous comment ça se terminerait. Le temps avançant, je me suis levée, déclarant à William que je repartais et que j’allais rentrer à la chambre . Lui aussi. Chacun à sa voiture, direction le gîte pour dormir sans doute pas, pour faire autre chose surement. Nous sommes entrés ensemble dans le bâtiment, lui très courtois et attentif me tenant les portes de l’établissement. Pour aller dans sa chambre, il passait devant la mienne. Alors quand je suis arrivée à ma porte, j’ai juste dit :
- Viens.

Et il est entré parce que c’était la chose évidente à faire. J’ai agi comme si tout était normal, expliquant que je voulais me débarrasser de l’odeur de la sueur de la journée. J’ai enlevé ma robe devant lui, dévoilant directement mon corps ne portant jamais de sous-vêtement (je n’aime pas en porter). Je le voyais baver des yeux, s’imaginant déjà me prendre envoyant ma nudité.
- Tu es une superbe femme…Il en a de la chance tes partenaires.
- Tu fais comme moi, tu te déshabille et tu viens me rejoindre

Je suis entrée dans la salle de bain et il m’a suivie. C’était une salle de bain avec une douche sans porte, dans un coin. J’ai allumé le robinet et l’eau a coulé sur mes cheveux. Il s’est approché, je l’ai serré contre moi, nous nous sommes embrassés.

L’envie était trop forte depuis trop longtemps. J’ai pris ses fesses dans mes mains à travers son caleçon et je l’ai descendu doucement. Son pénis, beau pointait déjà légèrement. Il a précipité sa bouche sur mes seins. Nous étions nus tous les deux à nous serrer l’un contre l’autre. Toute cette attente, ce désir accumulé, je n’en pouvais plus…

A quelques centimètres l'un de l'autre et je sens son souffle chaud sur mon visage. Ses joues sont rouges, les miennes aussi d'ailleurs. Pendant ce temps, ma main continue à glisser sur sa queue.
" Tu as envie de me toucher et de me prendre, mais je ne te laisse pas faire pour l’instant c’est moi qui te contrôle, je vais te branler, te masturber, te sucer à n’en plus finir "

J’avais envie de recevoir son sperme en moi, humm quel délice, rien que d’y penser. Et je continue à prendre sa queue délicatement entre mes doigts et entame un très léger va et vient," tu aimes, oui j'adore".

Je sens sa queue qui gonfle de plus en plus sous l'effet de mes caresses, je continue doucement, lentement, je la sens fléchir, je la sens grossir. J’ai très envie de le sucer, j’ai envie d'approcher ma langue de sa queue, elle a l’air si bonne, je continue à t'embrasser tout en descendant sur ton corps, j’arrive à l'orée de son sexe. Encore une fois je le regarde avec es yeux de gourmande, elle me plait, elle est une invitation à la débauche, fièrement dressée, j’y dépose un baiser, puis un autre, je le lèche enfin de bas en haut, appuyant ma langue à l'extrémité, je le sens chaviré, " "Tu sens enfin mon haleine sur ta verge, tu sens ma langue te lécher comme il se doit". Je caresse sa queue de ma joue, lui lèche ses couilles, les prends dans ma bouche, mes doigts caressent ses cuisses, les écartes un peu, pour y passer un doigt, il apprécie vraiment ce que je te fais car j’entends ses gémissements, ses râles.

Mon majeur s’insinue légèrement dans son anus , il se laisse f ...

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