Eté 2014.. la suite au camping naturiste de Montalivet...
Il est presque minuit et je sors de ma tente pour aller au RV fixé aux toilettes de la zone Ecureuil. Je suis juste vêtu d'un tee-shirt mais il fait encore assez doux, et j'ai un rouleau de PQ pour faire comme si ! J'arrive au bloc, il est bien éclairé, je fais le tour et trouve la cabine handicapée. J'entre, elle est assez spacieuse pour baiser à plusieurs mais un peu sombre, juste éclairé par la lumière extérieure qui passe sous et au-dessus de la porte. J'enlève mon tee-shirt pour être entièrement nu comme m'a demandé le type de la dune et j'attends assis sur le cabinet, un petit peu stressé d'être dans cette situation risquée.
Je patiente en me tripotant le sexe qui durcit un peu et au bout de quelques minutes, mon gars rentre à son tour, habillé lui d'un polo et d'un bermuda. Je me lève et comme sur la plage, il commence par me serrer contre lui en me mettant les mains sur les fesses et m'embrasser avec sa langue épaisse (l'apéro a du être bon, il empeste la bière) et j'en profite pour lui caresser son sexe bronzé et veineux à travers le tissu. Je m'aventure pour lui baisser la braguette et sort son sexe à moitié gonflé pour le masturber. Quand il est bien dur, il quitte ses habits et s’assoit sur le chiotte.
J'ai compris ce qu'il veut : je m'accroupis devant lui, écarte ses jambes et commence à lécher ses bourses rasées, en remontant vers son nœud que je décalotte pour bien le sucer. Je le pompe en aspirant son gland violacé et lui caressant les couilles quand il soulève un pied, et le glisse entre mes jambes. Comme je suis accroupis, le cul vers le sol, il n'a aucun mal à frotter son orteil contre mes couilles, mes fesses puis à se stabiliser juste en-dessous de mon trou, j'esquisse un petit mouvement pour que son orteil soit bien centré sur mon anus, il le remarque et me glisse :
- « Tu aimes ça aussi, salope ? »
- « Oui ... »
Il replie alors sa jambe et me présente son orteil devant la bouche, je l'humecte alors de salive puis il recale son pied entre mes fesses, et fouille avec son orteil pour trouver l'entrée de mon trou, je l'aide en m'affaissant légèrement quand je sens le contact sur ma rosette et l'orteil pénètre alors doucement mon anus qu'il branle avec de petits mouvements pendant que je continue à le pomper. La situation a l'air de faire bander grave. Il m'ordonne alors :
- « Tourne toi un peu sur la droite et mets toi à genoux »
Je m 'exécute, et comme sur la plage, il humecte un doigt avec ma salive et l'enfonce dans mon anus déjà entrouvert par son orteil, il fait lentement deux-trois va-et-vient puis le retire, et cette fois ci, ce sont deux doigts qui sont dans ma bouche. Pour faciliter l'intromission, j'écarte mes fesses avec mes mains. Il rentre les deux doigts baveux assez facilement, fait quelques rotations, et après m'avoir craché sur l'anus pour augmenter la lubrification fait de lents mouvements de pénétration. Il décide d'aller plus loin, m'enfourne dans la bouche les deux doigts qui sortent de mon cul et en rajoute un troisième. Je les graisse bien de salive car je n'ai pas envie d'avoir mal tout de suite. Il m'enfile ses trois doigts serrés, exerce quelques rotations douces du poignet puis délicatement il les déplie à plat et je sens mon anus se distendre, il entreprend alors de petits gestes d'avant en arrière.
J'ose un « C'est bon »... enhardi par cette confession, il décide d'aller plus loin et me fais alors lécher ses quatre doigts qu'il introduit comme les trois, bien serrés, progressivement, puis les déplie doucement dans mon rectum. C'est un plus difficile à passer mais patiemment et en rajoutant ses propres crachats, il fait entrer sa paume jusqu'à la base du pouce. J'ai alors doit à un gentil compliment :
- « Ton trou est comme une vraie chatte maintenant. Lève toi ».
J'obéis, il se recule au fond du siège et me dit : « Viens t'asseoir sur moi »
Je me pose doucement sur ses cuisses et je sens alors sa bite bien raide dans le bas de mon dos, à la naissance de la raie des fesses ; il m’agrippe alors par les hanches et me tire vers lui, je sens peu à peu son gland glisser le long de ma raie jusqu'à se présenter au contact de mon anus. Mon bonhomme commence alors de petites ondulations verticales et peu à peu son gland écarte l'entrée de mon œillet déjà distendu et lubrifié à la bave, jusqu'à y rentrer entièrement.
- « Tu aimes ? »
- « Oui »
- « Retourne-toi pour me sucer »
Il continue à me tester : je me lève et met en bouche le gland qui vient de me pénétrer le cul. Puis, il me reprend par les hanches et me fait rasseoir sur lui, directement sur sa queue bien humide qui pénètre alors plus profondément dans mon anus, quasiment au tiers de sa verge, puis il glisse ses mains sous mes fesses, les écarte, ondule et je m'empale un peu plus sur son pieu épais.
- « Suce moi encore »
Je me retourne, et regarde sa queue ; elle est bien gluante cette fois-ci ; je la prends quand même en bouche et entièrement car il appuie de sa main sur ma tête. Puis il me fait rasseoir sur sa queue et m'écartant de suite les fesses de mes deux mains, je m'empale à nouveau et tournoie de la croupe pour bien l'exciter. Il glisse alors ses mains sous mes cuisses et les soulève : mes ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur