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Soirée surprise

Publié par : missboobs le 15/06/2024

Dans la cinquantaine, cela faisait déjà un certain temps que j’étais offerte par mon mari, candauliste, à d’autres hommes (et femmes), le plus souvent en groupe, tandis que lui me regardait en train d’être prise, avant de me mettre à son tour en public.
Un soir, deux amis sont venus nous chercher à la maison et nous ont emmenés «nous distraire», ont-ils dit.
Après un trajet en voiture d’environ une demi-heure, nous sommes entrés dans ce qui me paraissait être un cabaret classique, mais l’air étonné de la caissière me fit penser que ce lieu devait être fort peu fréquenté par les femmes.
En effet, en entrant dans la salle en demi-pénombre, je constatais que la trentaine de fauteuils qui y était installée n’était occupée que par des hommes.
Nous nous sommes assis, mon mari d’un côté, et moi entre nos deux amis.
Beaucoup de regards se tournaient vers moi. J'étais un peu gênée : j’étais en mini-jupe assez courte, ne portant dessous que des bas et ni slip ni même un string pour dissimuler ma motte fournie ; mon chemisier était légèrement transparent et l’on devinait par conséquent les aréoles de mes gros seins, seulement soutenus par un soutien-gorge ouvert. J’essayais de m‘asseoir en tirant un peu sur ma jupe pour apparaître normalement habillée, et ne pas trop dévoiler mes jambes.
Puis le noir s’est fait dans la salle et la petite scène surélevée s’est éclairée.
Est apparu alors un couple dans la trentaine, en peignoirs très courts.
La fille, face au public, entreprit de l’ouvrir lentement, dévoilant totalement son anatomie : des nibards refaits, donc bien plantés avec de petits bouts clairs, une chatte lisse et un beau cul tout blanc.
Puis se tournant vers son partenaire, elle a glissé les mains sous son peignoir dont la petite taille permettait à une partie de la verge et du gland de dépasser bien qu’encore au repos : on devinait qu’elle était en train de la caresser.
Ce qui s’est confirmé lorsqu'elle l’a débarrassé à son tour de ce qui masquait son corps. Il exhibait une belle érection qu’elle continuait à entretenir avec ses mains, massant la queue bien raide avec constance.
Au bout de quelques instants, je commençais déjà à être échauffée à la vue de ce spectacle, lorsqu’elle s’est mise à genoux - de profil pour nous offrir une vue imprenable sur ses nichons et le beau braquemard - et a commencé à lui tailler une pipe.
La bite dans sa bouche, elle l’a ressortie en léchant le gland violacé avant de le reprendre dans sa bouche tandis qu’elle caressait les couilles du mec qui lui tenait la tête à deux mains, guidant ses mouvements et l’obligeant à engloutir son engin tout entier.
Il la fit alors mettre à quatre pattes, toujours de profil, et se cambrer : les fesses étaient ainsi bien présentées, la raie écartée, la moule ouverte, le tout étant quasiment au niveau des yeux des spectateurs.
L’étalon se mit à genoux derrière le cul de sa pouliche et, la tenant par les hanches, la pénétra lentement jusqu’aux couilles.
Les spectateurs retenaient leur souffle en matant ce pieu gonflé et dur aller et venir.
L’homme prenait son temps, entrant et sortant sa queue luisante de mouille. Puis le mec accéléra le mouvement, sortit sa pine et gicla sur les fesses de la fille.
La lumière s’éteignit. La tension était palpable dans la salle.
La scène s’éclaire à nouveau.
Entre un nouveau couple déjà entièrement nu.
Le contraste est saisissant. Le mâle est un grand africain baraqué, la femelle une asiatique menue aux petits seins. Le black est déjà en érection : une queue énorme et arquée avec un champignon bien gonflé.
Pas de préliminaire : il soulève la fille et l’empale brutalement sur son mandrin dressé puis la fait monter et descendre, elle tournant le dos au public qui regarde ce pieu noir s’enfoncer puis ressortir de la chatte de l’asiatique.
Au bout d’un long moment, le mec râle et la poule se met à crier. Du jus s’écoule de sa chatte, laissant une petite mare de nectar sur le sol.
La lumière s’éteint : on devine le couple sortant de scène pendant qu’un assistant nettoie la petite flaque.
Puis, à nouveau, la scène s’éclaire.
Un homme est là en kimono très court. A voir la manière dont celui-ci est déformé, on devine qu’il est en érection. Il l’ouvre, exhibant effectivement un chibre de taille impressionnante, en érection, cambré.
- Y-a-t-il une femme dans la salle intéressée par ceci?
Lorsque mes amis me prennent chacun par un bras pour me faire lever, je comprends tout à coup à la fois que ceci s’adresse à moi, étant la seule femme dans la petite salle et ce à quoi ils pensaient en évoquant une «distraction»...
Ils me conduisent à l’arrière de la scène où deux marches permettent d’y accéder. L’homme s’approche, nu, la bite dans la main.
- Montez, chère Madame!
Il me fait monter sur la scène. Je ne vois rien de la salle, éblouie par les projecteurs. Les spectateurs applaudissent et commentent à voix haute...
Il me fait avancer, me plaçant de profil en me dirigeant les mains vers sa bite monstrueuse. Je ne peux m’empêcher de la caresser, pendant qu’il commence à masser doucement le bout de mes grosses boîtes à lait qui se mettent à durcir. En effet, mon soutien-gorge seins nus laisse libres mes tétons et ceux-ci sont excités au contact du mince tissu de mon chemisier.
Pendant que je continue à m’occuper son dard que je sens frémir, il ouvre un à un les boutons de ma blouse. Mais, il ne fait que l’entrouvrir, cachant encore mon 90F naturel aux spectateurs.
Puis, me faisant faire face au public, il me l’enlève, me tirant un peu les bras en arrière ce qui fait saillir encore plus mes loches qu’il apprécie manifestement.
Je suis toute étourdie : je suis en train de m’exhiber devant quelques dizaines d’hommes que je ne vois pas (mais que j’entends...).
Le mec continue à me caresser les lolos et je sens à travers ma mini-jupe sa gaule se frotter contre ma raie.
Puis, se reculant, il relève l’arrière de ma jupe et découvre que je ne porte pas de culotte.
- Madame a oublié quelque chose à la maison !
Il la remonte plus haut et là, je sais que les spectateurs découvrent mon cul blanc, ma raie bien marquée et ma toison très fournie.
Il me prend par le haut du buste et me soulève une jambe, montrant au public ma chatte touffue et déjà baveuse : je suis femme-fontaine et commence à être sérieusement humide.
Il me repose le pied à terre, dégrafe ma mini-jupe qui tombe au sol.
Je suis quasiment nue face aux spectateurs, uniquement vêtue de mes bas et de mon piège à nichons ouvert. Il me fait accroupir face au public, cuisses largement écartées et me met son bâton dans la bouche.
Je me tiens à ses jambes pour ne pas perdre l’équilibre et entame une bonne pipe. Je suis toute excitée à l’idée de m’exhiber ainsi devant tant d’hommes.
Il me tient la tête et guide lui-même le rythme de la fellation.
Enfin, il me met à genoux, toujours de profil, et, me prenant par les hanches après avoir présenté son noeud entre les lèvres de ma chatte, me pénètre lentement jusqu’au fond du con. Sa pine, longue, grosse et dure, me remplit presque totalement.
Une fois entièrement pleine, je vois arriver sur la scène le noir du tableau précédent, à nouveau matraque dressée.
Il se met devant moi, me présente son gland que je prends en bouche. Les va et vient commencent. Je vais d’un gourdin à l’autre. Quand celui qui m’enfile en levrette s’enfonce en moi, je reçois la longueur de la dague de l’autre dans ma bouche.
Mais, pour ...

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