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Soumise présentée

Publié par : bimurcirc le 04/06/2024

Candauliste, j’apprécie, provoque et encourage les expériences de mon épouse, Nyssia. C’est ainsi que j’ai été contacté par Paul X. après qu’il ait vu la page racoleuse placée sur un site spécialisé intitulé La Bourgeoise Soumise :
Bourgeoise mûre à gros seins, toujours accompagnée de son mari candauliste, Nyssia exhibe et laisse palper ses mamelles pleines, lourdes et sensibles. Elle aime qu’on les lui tripote et qu’on les lui tète. Elle se fait aussi tirer les bouts maintenant qu’elle assume sa grosse poitrine après en avoir été très complexée pendant fort longtemps.
Ses gros seins de salope sont fermes et sont sa fierté : elle aime se les caresser en regardant vos excitations monter! Complètement docile, elle se laisse "travailler" ses gros pis.
Docile, elle est dotée d'un superbe cul avec de magnifiques longues jambes gainées de bas noirs et de hauts talons! Elle est parfaite pour servir d'hôtesse lors de vos soirées! Elle peut faire la soubrette chez de vieux pervers distingués et aime être traitée comme une bonniche par de vieux messieurs autoritaires au langage cru : vous pouvez ainsi passer une soirée entre amis avec une jolie et docile traînée, bien et fortement bustée.
Nyssia cherche donc des admirateurs mûrs, voire très mûrs (plus de 60 ans), raffinés, voyeurs et pervers pour être une vraie pute, excitante et salope. Bien sûr, vous devrez être corrects, avec du savoir-vivre et une hygiène irréprochable, et pouvoir recevoir dans un cadre agréable, si possible inhabituel.
Ce monsieur, manifestement sévère et habitué à l’obéissance sans restriction, vivait seul dans une maison bourgeoise située en dehors de l’agglomération lyonnaise. Il m’avait contacté après la lecture de cette annonce délicate et m’avait dit avoir été séduit par la plastique et le port de ma femme. J’en avais déduit assez sommairement que ce monsieur, au caractère manifestement trempé, souhaitait vérifier que son autorité s’exerçait toujours, y compris à l’égard de bourgeoises mures à lourdes tétasses, libertines à leurs heures...
Rendez vous avait donc été pris pour un Mardi soir, à 21 heures, à son domicile.
Conformément à ses instructions particulièrement précises, mon épouse ne portait pas de slip, un soutien gorge laissant ses appâts libres, des chaussures à hauts talons ainsi que des bas noirs, et, pour couvrir le tout, une robe chic et simple d’apparence, de couleur noire mais très décolletée avec une fente lacée au niveau de la raie.
Pendant le trajet en voiture le silence de Nyssia traduisait son inquiétude et son appréhension.
Arrivés à destination, je suis descendu sonner à l’interphone de la grille du jardin. Avant même que j’y parvienne, le mécanisme s’est mis en route et les vantaux se sont ouverts : nous étions à l’évidence attendus et guettés.
Sitôt la grille passée, celle-ci s’est refermée et les phares de la voiture nous ont fait découvrir au milieu de la nuit noire une maison bourgeoise de la fin du XIXé, sans grand intérêt architectural mais dont la taille et la qualité des matériaux manifestaient le statut social de son occupant.

J’ai stationné notre voiture au pied du perron, au moment où une accorte jeune fille, habillée en soubrette traditionnelle, est venue nous accueillir.
- Monsieur vous attend, dit-elle courtoisement.
Nous précédant, j’en profitais pour la détailler : environ vingt-cinq ans, des nichounets de petite taille recouverts par un chemisier blanc suffisamment fin pour que l’on puisse deviner qu’il ne cachait pas de soutif, des jambes gainées de bas de voile noir, une jupe courte en jersey galbant ses fesses, et des chaussures à talons.
Je laissais passer Nyssia devant moi pour entrer dans le salon, la soubrette s’effaçant également. Nous étions à l’entrée d’un grand salon meublé classiquement, avec nombre de tableaux et objets aux murs : au centre, trônait une table basse qui séparait deux canapés profonds en velours, placés symétriquement de part et d’autre.
Le propriétaire des lieux se leva à notre entrée mais à ma grande surprise ignora mon épouse et se dirigea vers moi pour me saluer. Nyssia resta debout les bras ballants, peu habituée à un tel manque de courtoisie.
- Agathe, laissez nous pour l’instant.
- Bien Monsieur.
Paul me proposa de le suivre et de m’asseoir à côté de lui dans le canapé dont il venait d’émerger.
- Excusez moi, mais je ne vous ai pas présenté ma...
- Ne vous excusez pas, m’interrompit-il. Il s’agit d’une pute.
J’étais prêt à répliquer, mais notre hôte s’adressa alors à ma femme :
- Va à la cuisine nous chercher du champagne !
Médusée, Nyssia sortit de la pièce, restant sans voix et sans réaction devant tant d’impudence.
- C’est la règle du jeu, me dit mon hôte. J‘ai demandé une pute soumise d’excellente éducation : vous me l’avez amenée. Elle gardera ce statut toute la soirée.
De fait, je n’avais pas prêté attention, lorsque nous nous étions parlé au téléphone, à cette demande : j’en avais maintenant la traduction concrète.
Nyssia apparut alors sur le seuil du salon, portant un plateau avec une bouteille de champagne et trois coupes. Je tentais de lui faire un signe pour la rassurer et lui faire comprendre que tout se passait comme convenu : je m’en suis alors voulu de ne pas l’avoir suffisamment affranchie des termes de notre accord, mais, après tout, c’est elle qui ne veut pas savoir ce qui l’attend pour ne pas être trop inquiète avant nos petites séances.
- Pose-le sur la table.
La pute s’approchait. Elle allait s’accroupir pour poser le plateau sur la table basse.
- Mais non, reste les jambes tendues!
Elle ne comprit pas sur l’instant. Mais s’exécuta. L’emprise de notre hôte commençait à se faire sentir. Jambes tendues, elle dut se pencher en avant et ainsi donner à la vue le haut de ses loches que découvrait largement le décolleté de sa robe. Les mamelons tendaient le tissu. Paul appréciait manifestement : il aimait le lourd...
Alors qu’elle était penchée et avant qu’elle ne se relève, il lui intima l’ordre de rester dans cette position, les mains appuyées sur la table. Ce qu’elle fit. Il sortit alors, de la profondeur des coussins garnissant le canapé où nous étions assis, une longue badine avec laquelle il s’amusa à explorer les contours des pis de Nyssia au travers de son chemisier. Exercice humiliant. Puis, du bout de la badine, il écarta le chemisier au niveau des deux gros globes pour en avoir une meilleure vision.
- Belle paire, dit-il élégamment. Redresse-toi.
Du bout de la badine, il commença à remonter lentement le bas de sa courte jupe, manifestement pour s’assurer que ses ordres vestimentaires avaient bien été suivis.
- Ecarte les cuisses, tiens-toi droite, les mains dans le dos !
Cette position était particulièrement avantageuse, compte tenu de l’anatomie de Nyssia : ses tétines dardaient et tendaient sa robe à l’en faire exploser. Sa jupe remontait doucement, sa respiration s’accélérait : il ne la quittait pas de yeux, observant ses réactions au fur et à mesure de la montée du tissu.
Arrivé à la lisière des bas, il l’interpella :
- Ecarte bien. Je dois m’assurer que tu ne portes pas de slip. Et je serais intéressé de savoir dans quel état tu es déjà. Es-tu encore une femme du monde ou es-tu déjà une salope, la chatte trempée ?
Ma femme rosit immédiatement. Si elle n’avait pas de slip, par contre elle était forcément déjà très mouillée. Je n’avais pas de doute : c’est une femme-fontaine qui pisse sa mouille...
- Bien. Je pense avoir la réponse donc... Une petite salope qui se cache sous des airs de sainte-nitouche.
La badine poursuivait son chemin : la fente aux limaces bien gonflées apparaissait, libre de tout tissu mais manifestement bien humide. Ayant vérifié ce qu’il souhaitait, Paul laissa brusquement retomber la courte jupe, déstabilisant ainsi encore un peu plus mon épouse.
Du bas, il repassa au haut en recommençant à lui caresser le tour et le bout des nibards de sa badine : les doudounes étaient gonflées comme jamais et les bourgeons, naturellement très érectiles, durs. Il s’en amusait.
- Tu aimes cela, salope. Tourne toi et présente moi ton cul.
Nyssia fit demi-tour sur place et attendit.
La badine cingla sa fesse droite. Elle sursauta en retournant le haut du corps vers nous.

- Je t’ai dit de me présenter ton cul : tu te penches en avant, tu relèves ta jupe pour dégager tes globes et tu t’écartes la raie avec tes deux mains. Tu ne bouges pas jusqu’à ce que je t’y autorise.
L’exécution ne tarda pas, de crainte que la fesse gauche ne reçoive la même ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Hétéro, Mûrs, Soumission/domination, Européen(s), Marié(e)s