Je vous livre ici, le plan le plus hard que j’ai fait, en espérant, avoir réussi à vous faire partager l’intensité de cette baise…

Une fois de plus, je traînais sur différents sites pour parler cul et éventuellement pour trouver de bons plans.
Nous sommes lundi, il est déjà 23 heures et l’idée de faire un plan réel s’éloigne petit à petit lorsque je suis contacté par un mec de 25 ans, d’origine allemande qui me dit chercher une rencontre le soir même.

Beaucoup de mythos sur ces sites, son français littéraire est approximatif, je reste donc méfiant, mais, au fil de nos échanges tout devient de plus en plus réaliste, et je suis vraiment très excité...

Ce mec a donc 25 ans, d’origine allemande, il est mesure 1m80 pour 65 kg, et, d’après ses dires, il a une queue de 19 cm assez fine (3 ou 3.5 cm maximum). Il me dit qu’il est plutôt dominateur et qu’il veut juste du sexe très direct pour bien prendre son pied.

Tout me convient, je suis très chaud et malgré l’heure tardive et l’idée qu’il puisse s’agir d’un « lapin » je décide de me rendre à ce rendez-vous uniquement guidé par mes pulsions de salope.

A proximité du début de la rue où nous avons convenu de nous rejoindre je vois un mec qui correspondant à la description de mon interlocuteur. Une fois à sa hauteur, nous nous saluons très brièvement et nous assurons bien de ce pourquoi nous sommes ici. Avec un fort accent allemand il m’indique qu’il y a un parking un peu plus bas où nous pourrons être tranquilles.

Après avoir parcouru quelques mètres, nous arrivons entre deux immeubles dans une cour privée entourée d’un vieux mur et de garages. Jusque-là tout va bien, mais, si ce n’est pas éclairé, je ne vois aucun coin vraiment totalement abrité des appartements donnant sur l’endroit où nous sommes…. Je suis donc très hésitant sur le lieu pour ne pas dire que je suis sur le point de refuser le plan et partir tellement ça n’est pas rassurant.

Malgré tout, je suis le mec qui s’arrête presque au milieu du petit parking. Je tourne nerveusement la tête vers les logements éclairés et dans tous les sens pour vérifier qu’il n’y a personne d’autre car j’ai vraiment peur d’être vu. Lorsque je me retourne pour faire de nouveau face au mec je vois qu’il n’a pas perdu de temps et qu’il ne s’est pas posé de question puisque son pantalon est baissé et qu’il la queue à l’air.

Je reste extrêmement nerveux et hésitant, mais avant que je ne décide quoi que ce soit, il me saisit très fermement la nuque et dans un geste un peu brusque il me force à me baisser et me dit d’une voix très autoritaire : « Allez suce moi la bite grosse pute !!! ».

Interloqué par le geste et ses mots auxquels je ne m’attendais pas, je m’exécute, m’agenouille à ses pieds et prends donc sa queue directement en bouche. Elle assez longue, fine mais surtout super dure et je me dis que bandé comme il l’est, il ne va pas tenir longtemps si je le suce bien.

Je m’applique donc du mieux que je peux, j’alterne les va et vient rapides et lents, je le lui tête le gland sans jamais arrêter de le branler énergiquement. Plus je suis rapide plus sa queue se raidie encore et plus il m’insulte en me traitant de « salope et de petit PD qui aime la queue ».

Il se retire rapidement de ma bouche, me frappe le visage avec sa bite et en avançant vers moi il m’appuie fortement sur la tête contre ses couilles qu’il m’ordonne de bouffer. Je les lèche frénétiquement comme le ferait un chien et j’arrive même à les prendre en bouche l’une après l’autre ce qui continue de l’exciter toujours plus.

Après quelques minutes de ce bouffage de couilles et bite, il se recule, me fait relever, m’ordonne de me retourner et de baisser mon pantalon.

J’obéis immédiatement sans dire un mot, je laisse tomber mon pantalon au bas de mes chevilles et je lui présente mon cul vêtu d’un string vinyl ouvert. Il me tripote rapidement en me malaxant fermement les fesses puis il m’inflige une bonne claque très sèche sur les fesses et lorsque je me raidis sous la douleur il me met immédiatement un doigt bien profond dans le cul.

Putain le mec sait ce qu’il veut, je suis à chaque fois surpris ce qu’il me fait ; il est vraiment dominateur et je suis bien là pour être baisé !!!!

Il remonte son pantalon et me pousse énergiquement vers les garages. Ils ne sont pas très loin, mais, comme j’ai le pantalon sur les chevilles et qu’il me bouscule, j’ai beaucoup de mal à marcher et je me sens humilié de devoir me déplacer ainsi.

Il me plaque ensuite dans l’angle des portes d’un garage et du mur puis il m’administre encore quelques claques cuisantes sur le cul.

Il enfile une capote et se met derrière moi. Il me colle tell ...

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