Comme vous savez si vous suivez mes histoires qui sont toutes vécues et réalisées, je m’appelle Marie, j’habite dans la région de Béthune, dans le Nord de la France. Je suis directrice d’une agence immobilière sur la région de Béthune et j’adore le sexe, si j’osais, je dirais que je suis « folle » de sexe. Il me faut pour mon équilibre du sexe régulièrement, j’en ai besoin pour mon bien être. Je vie maritalement depuis 10 ans avec mon homme Louis que j’aime à la folie, il me donne toutes les bonnes choses que j’ai besoin, et j’aime bien de temps en temps me faire plaisir sexuellement avec son accord lors de ses absences. La seule chose qu’il demande c’est d’être au courant quand, avec qui, et surtout de me raconter comment cela s’est passé et mon avis. Moi idem, je l’encourage dans ses écarts qui peut entreprendre sans moi. C’est vraiment le ciment de notre couple.

En effet, mon mari est souvent en déplacement pour son travail, des fois pour une semaine, voire deux. Son nouveau départ pour une grosse semaine ce lundi 29 septembre tôt, va me permettre de profite ressortir l’uniforme de la séductrice pour des petites escapades sexuelles. Faut dire que je m’entretiens suffisamment pour encore faire envie aux hommes, avec une poitrine encore ferme et naturelle, des hanches fines, un corps bronzé au soleil encore de nos vacances, une jolie paire de fesse bien fermes et un sexe totalement épilé, tout cela à 50 ans. Et surtout très très gourmande de sexe.

J'ai toujours aimé le sexe et j'ai toujours tout fait pour assouvir cette soif. Mais je dois bien avouer que ce mercredi matin j'ai peut-être été un peu loin. Ce jour-là, ayant aucun rendez-vous en agence et étant totalement libre de ma matinée, étant directrice de l’agence je n’ai aucun compte à rendre à personne, j'avais une envie folle de sentir un corps sur moi et un sexe me défoncer bien fort. Mon homme était parti depuis le lundi matin, certes, il s’était bien occupé de moi pendant tout le week-end, mais il me manquait déjà et mes envies étaient insistantes.

Pour assouvir mes envies, sans vraiment réfléchir (J’aurais dû, quoique) j'ai décidé de me rendre dans un quartier chaud (quartier que l’on va dire très difficile) pas trop loin de chez moi et d'allumer un type qui voudrait de moi, pour me payer un loubard, peut être sale, qui me ferais jouir d’une façon différente par rapport à ce que je connais. Un truc bien hard quoi. J’en avais tellement d’essayer ce genre de relation.

Avec mon physique, je pensais déjà qu'il n'y aurait pas grand problème mais pour assurer le coup, je décidais de m'habiller très sexy, assez court et visible, histoire d’attirer les regards d’un homme volontaire pour me baiser.

J'enfilais donc des bas et mon porte-jarretelles, d’une jupe courte et moulante, pour le haut, un chemisier noir un peu transparent et d’une petite veste, sans sous-vêtement je n’en porte jamais, poitrine et sexe dénudé, des hauts talons histoire de ressembler à une bourgeoise en chaleur et c'était partie pour la chasse.

J'arrivais donc dans le quartier. Beaucoup de jeunes personnes, on dit toujours que les jeunes sont fougueux cela était à mon arrivée excitant. Qui allait pouvoir me baiser. Je pouvais déjà voir des regards pleins de désir se poser sur moi, quelques sifflets et des appels. Je me diriger vers un garçon devant une cage d'escalier qui me semblait à mon goût. C'était un jeune maghrébin d'une vingtaine d'année, assez grand et pas trop mal physiquement, mais comme beaucoup de jeunes de son âge, vêtu d’un survêtement. Je sais cela fait cliché, mais il était habillé comme cela. Avant même que j'arrive, il me proposait sans aucune retenu de venir avec lui pour tirer un coup si cela me disait. Super début, c’est cela que j’attendais. Vu que j'étais venue pour ça, je n'allais pas refuser mais il me fallait un motif pour le suivre.

Après une courte réflexion, je lui dis : « Merci c’est gentil, mais je suis agent immobilier et je suis venue pour répertorier le nombre de caves dans l’établissement ». Un motif qui pouvait être plausible, quoi que…

Sa réponse était très attendue de ma part. « Pas de problème ma belle, je vais vous montrer le chemin »…

J'acceptais donc et je commençais à le suivre, d’abords dans les escaliers qui nous conduisaient au sous-sol et dans un dédale de couloirs qui nous amenaient vers les caves. Pendant le trajet, il me complimentait sur mon physique, me demandant si j’étais clitoridienne ou vaginale, si j’avais le sexe rasé, si j’aimais me faire défoncer, etc. A toutes ses questions je répondais sans me cacher, espérant qu’il allait me baiser en finalité.

L’endroit était assez lugubre, mais bon pas venue pour faire une visite des lieux. J’avais tellement envie de sexe hard avec une personne « de banlieue » qui me prendrait comme une chienne.

Devant une cave dans le couloir, mon guide, sort une clé de sa poche et ouvre la porte en me disant « comme cela vous verrait la dimension de la cave ». Avec courtoisie (Mon œil) il de demande de rentrer en premier.

Dans la cave où il y avait une sorte de chambre aménagée. Après avoir refermé la porte, Il me m’ordonna avec virulence de me déshabiller entièrement ou il allait me les arracher avec force pour me baiser. Je m'exécutais sans broncher pour me mettre nue devant lui. Humm super départ, j’’étais venue uniquement pour cela. Je me suis effeuillée devant lui, en ne gardant que mes bas et mon porte-jarretelles devant son excitation, lui se caressant sa queue sur son jean.

Il s'approcha de moi et m'embrassa tout en me caressant avec fougue mes seins et mes fesses. Moi qui avais attendue longtemps des caresses depuis le matin, je n'en perdais pas une miette, et je commençais à me frotter à lui. Sa langue se perdait sur mes seins et mes tétons qu’il lécha longuement, et pour lui permettre d’aller plus loin, j’ai écarté mes jambes pour lui ouvrir mon sexe. Il ne se fit pas attendre. Il se baissa et me lécha ma chatte déjà très humide.
« tu es déjà toute mouillée ma salope. Je vais te prendre et te faire monter aux rideaux salope de bourgeoise. Je vais te baiser comme jamais ton PD d’homme ne t’a jamais baisé ». Toute en délicatesse mon lascar… J’espère qu’il sera aussi bon baiseur que diseur.

Il se déshabilla aussi, m'allongea avec une certaine force sur le matelas et il se mit sur moi. Je pouvais sentir son sexe dur sur mon ventre. Il se souleva un peu et mit son membre à l'entrée de ma chatte. Je pouvais sentir son gland imposant plaquer contre mes lèvres. Puis le gland commença à écarter mes lèvres et à se faire un chemin dans mon vagin. Il était gros et long. Il s'enfonça entièrement, puis il commença, aussi lentement à le faire ressortir, puis me repénétra.

Il commença à bien me pistonner et moi j'étais folle de joie intérieurement, je voulais un loubard avec un gros sexe en moi et je l'avais. Je passais mes jambes autours de ses hanches pour bien emprisonner mon partenaire en moi et le sentir me prendre comme un bête. Après une bonne dizaine de minute, oui il a été performant par ces coups de queue, j’avais déjà pris mon pied à 2 reprises tellement qu’il était gros et performant. Il me faisait l’amour comme une bête. Il se laissa aller en moi et je sentis son sperme envahir mon sexe. Il avait joui en moi en poussant un cri de jouissance que je ne suis pas près d’oublier. Après avoir ressorti de moi, il continua à ce branler sur mon ventre, histoire de terminer les dernières gouttes se son plaisir. Il remit ses vêtements et me dit de l'attendre ici 5 minutes, de rester comme cela sur le matelas, puis il partit en refermant la porte à clés derrière lui. J’étais comblée de cette scène de sexe qui me faisait fantasmer depuis des années, et restant allonger sur le matelas avec une sensation de trop court. Ma main sur mon sexe et mon clitoris me faisant penser que c’était intense, très intense, mais avec un gout de trop peu. J’en aurais voulu encore. Mon petit cul était vierge de cette pénétration et lui aussi aurait bien voulu être servi.

Un peu moins de 5 minutes plus tard, il revint dans la cave mais accompagné de 3 types (1 maghrébin et 2 noirs). Il me dit alors qu'il était un peu juste en finance et qu'il avait trouvé un truc, j'allais lui servir de ...

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