Dimanche… je rentre de faire de la peinture au black, j’ai un petit moment, donc je vais trainer du côté de la rue Bayard, de la place de Belfort qui étaient à l’époque des lieux biens fréquentés pour la prostitution toulousaine. Mais un dimanche après-midi, pas grand monde, pas beaucoup d’activité.
Oupssss , une adorable jeune femme ! 35/40 ans, blonde, mince, robe légère à fleurs, pas du tout l’air d’une pute…. Mais il faut bien se rendre à l’évidence, elle est à l’angle de Bayard et Stalingrad et ne peut faire autre chose à cet endroit-là. Je m’arrête et, effectivement, elle m’annonce ses tarifs qui se révèlent tout à fait modiques… ok… par contre elle me dit travailler à l’hôtel, sans supplément mais il faut y aller en voiture… pas de problème, on file et elle me guide vers une sortie de la ville, direction Balma… ça fait 10/15 minutes pour un dimanche, sans circulation… pas commode pour elle, mais ça laisse le temps de papoter…. Elle revient travailler en ville, parfois, en « extras » ok… on dirait vraiment une occasionnelle…
Nous arrivons à l’hotel et là, je constate que c’est vraiment une occasionnelle… déjà, elle prend son temps pour se dévêtir… rien de très sexy dans sa tenue, la robe légère glisse et dévoile des sous-vêtements blancs, sage mais assez réduits… je m’approche d’elle et commence à la caresser, faire glisser doucement les bonnets de son soutifs… mes lèvres s’approchent de sa nuque, commencent à l’embrasser… elle frissonne… se laisse faire… je n’en reviens pas, elle ne peut pas déjà simuler…
Je dois me rendre à l’évidence, ce n’est pas une pro, et la suite va me le prouver, car elle se laisse faire lorsque je la porte vers le lit, puis fais glisser sa minuscule culotte et commence à la lécher… elle bascule son bassin, s’ouvre à ma langue… apprécie… quelques minutes après, je suis quand même bien exité et cherche à en profiter moi aussi…
Je me redresse et elle pivote, prend mon sexe en main, et l’engloutit assez rapidement… elle me branle, s’occupe de mon gland, le lèche, l’aspire, joue avec sa langue… me branle…ma main se porte à sa nuque, immobilise sa tête et je pousse lentement avec mes reins, pénétrer plus profondément sa bouche… elle se retire… me regarde et me dis qu’elle est désolée, mais que je suis trop gros pour elle, elle veut bien continuer un peu comme elle faisait, amis pas plus… ok…
Bien excité, je me relève, la regarde et lui fais signe de s’allonger… non, pas comme ça, je veux te voir, voir ton cul ( qui, entre nous était quand même phénoménal… un 34/36 admirablement dessiné…) et je la prends donc en levrette après avoir enfilé une capote… très serrée la miss… j’adorrre ! elle cambre ses reins, je me regarde dans le miroir ( j’ai oublié de vous dire que je connaissais ce fast’hotel que je fréquentais parfois entre midi et deux avec une amie, à cause justement de ces petits plus, discrétions, tarifs et miroirs dans les chambres) et je me vois la ...

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