Soir de ma signature de contrat.
Cette signature de contrat m'avait perturbée, je ne réalisais pas encore ce que ça allait impliquer et quelles seraient les contraintes. L'inconnu a son charme mais là, quel allait être ce nouveau monde pour moi. Je raisonnais en soumise oubliant que j'avais signer une sorte de contrat d'esclavage. Je n'en avais absolument pas conscience.,je conduisais pour rejoindre le domicile d'Alpha sur un petit nuage...J'avais eu le courage de signer un contrat d'appartenance, en fait pour moi, à ce moment, le plus dur était fait et la vie normale allait reprendre ses droits. J'en oubliais que j'étais en travesti dans ma voiture, en fait, inconsciemment, j'étais femme , je ne me souciais plus des regards des chauffeurs des voitures qui me regardaient aux feux rouges...J'étais femme et j'allais retrouver mon Maître, c'est tout. Tout était simple...
Plongée dans mes pensées, le trajet me sembla très court, je me gare, prends mon sac à main et sonne au portail d'Alpha, fière de moi.
C'est Martine qui m'ouvre et m'accueille.
« Bonsoir Aline,rentre déshabilles toi, tu restes en sous vêtements et tu viendras sur la terrasse quand Monsieur te le dira »
Le temps passe, je suis dans l'entrée et curieusement ma tenue ne me gène pas, je me sens bien.
Martine revient et m'accompagne sur la terrasse ou Monsieur est assis à la table de jardin, Martine me demande de me positionner à un endroit précis et de mettre mes mains derrière le dos. Monsieur n'a même pas levé les yeux sur moi, honnêtement je m'attendais à ce qu'il me félicite pour cette première prestation de jour en travesti et pour la signature de mon contrat...Rien...
Sur la table, un ordinateur, stylo et un bloc de papier à la place de Martine, Monsieur et Martine discutent, Martine prends des notes, les qualificatifs me concernant sont pute, salope, ordure, minable, pd etc etc, je ne m'en inquiète pas plus que de raison, cela doit faire partie du jeu.
Monsieur se lève et vient vers moi, me regarde dans les yeux et immédiatement me balance une gifle qui me fait tomber, ma perruque tombe, je suis par terre à 4 pattes, il me donne un coup de pied dans le ventre et m'ordonne de me remmetre debout.
« Conasse,tu n'as pas compris ton nouveau statut ? Tu as signé et j'ai droit de tout sur toi, je vais te dresser moi ! »
Il se retourne vers Martine et lui dit « Elle n'a fait que des conneries cette salope, je l'ai vu avec la caméra de surveillance dans la salle d'attente chez le notaire, elle était assise avec les cuisses écartées, tu lui a bien dit que c'était interdit non ? , en sortant elle a voulu fumer une cigarette roulée, c'est un comportement de gonzesse ça ? Et la cerise sur le gâteau, elle a renaudé pour aller acheter des clopes de filles au bureau de tabac...Ça fait beaucoup non ? » Martine a approuvé en ajoutant que ça commençait très mal et qu'il allait falloir resserrer les boulons.
Monsieur s'avança vers moi, là j'avais peur, « Tu vas devoir commander de nouvelles tenues de femelle, Martine va prendre tes mesures et elle te tiendra au courant de ce que nous aurons décidé. Tu devras avec moi et dans n'importe quelle circonstances,être en permanence en femme et c'est le rôle de Martine de faire tout ce qu'il faudra pour ça. Pour ton information, je n'est aucun respect pour toi, je ne supporte pas les lopes comme toi, vous n'êtes ni mec ni femme, aucun intérêt sinon le plaisir de te dégrader le plus possible. Tu vas payer cher. Au fait, tu viens de prendre une baffe...Dans le contrat j'ai supprimé cette demande que tu m'avais faite, tu aurais dû bien relire sale pute.Ou es ton tél ? » j'ai dû répondre dans mon sac, Monsieur parti dans le salon et Martine commença à prendre mes mensurations. Ce faisant, Martine me dit « Fais attention, Monsieur ne te pardonnera rien, là il est en colère contre toi, il va te démolir si tu continues, tu n'es rien pour lui ,juste négligeable,tu vas payer pour toutes les lopes travs dans ton genre . Ceci dit, je ne t'aime pas non plus»
De retour , Monsieur posa mon tél sur la table en me précisant qu'il avait installé un logiciel de surveillance et qu'il avait désormais accès à toutes mes données et tous mes échanges.
« Tu as fini Martine ? Bon, conduis la au local et prépare la» Martine me demanda de la suivre. Nous traversons le salon, un escalier,un couloir et une porte en fer...Surprenant...Elle ouvre et nous rentrons, c'est surnaturel...Poulies, carcan, caméras sur trépieds, appareil photo, un grand écran, des chaises tout autour, une panoplie impressionnante de fouets, cravaches, puddles et autres accessoires. Martine me passe une barre avec des bracelets, me positionne sous le palans, accroche la barre aux chaînes et lentement je suis soulevée jusqu'à ce mes pieds ne touchent plus le sol . Elle positionne enfin une barre entre mes chevilles (Petit détail cette barre est très large et j'ai les jambes écartées au maximum).Cela fait je la vois mettre sous tension les caméras et les régler. Quelques instants plus tard, Monsieur arrive « Martine tu veux rester ? »
« Avec plaisir je ne voudrais pas rater ce test,on va voir ce qu'elle a dans le ventre »
« Martine, donnes lui du sucre, avec le stress et le reste je ne voudrais pas qu'elle nous fasse une crise... »
Monsieur tourne autour de moi lentement, il a le sourire, il est derrière moi et d'un coup je reçois un coup de cravache sur les fesses qui me fait crier tellement il était fort.
« Ah tu es bien une gonzesse » et il me pose un bâillon boule pour m’empêcher de crier.
« Aller, Martine , pour un début, combien de coups ? »
« Martine me sourit, je pense que 20 ça serait bien »
« Tu as branché les caméras ? Ok fais des photos aussi Au fait tu veux l'entendre ou pas ?»
« Honnêtement j'aimerais bien l'entendre cette pute »
Monsieur m'enlève le bâillon en trouvant que ce sera bien pour le son sur les films.
J'étais habituée à la cravache mais là ça a été une avalanche sans aucun arrêt entre chaque coup, je m'entendais crier, je n'avais jamais eu si mal.
« Martine branche l'écran »
Me voilà apparaître sur le grand écran suspendu en sous vêtements, Martine passe avec une caméra derrière moi, et je découvre mes fesses, la peau est éclatée et un peu de sang perle. Jamais je n'avais eu ça. Je m'affole et Monsieur s'en rend compte, se poste devant moi en me regardant dans les yeux. Une nouvelle énorme gifle. « Tu n'a même pas les bases sale conne , ne me regarde jamais dans les yeux » il s'éloigne et revient avec des pinces japonaises, je connais c'est très douloureux. Il relève mon soutien gorge et m'en pos ...
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