Comme vous savez si vous suivez mes histoires qui sont toutes vécues et réalisées, je m’appelle Marie, j’habite dans la région de Béthune, dans le Nord de la France. Je suis directrice d’une agence immobilière sur la région de Béthune et j’adore le sexe, si j’osais, je dirais que je suis « folle » de sexe. Il me faut pour mon équilibre du sexe régulièrement, j’en ai besoin pour mon bien être. Tout le monde me dit que pour mes 50 ans je suis une superbe femme. Il faut dire du haut de mes 1,76 m pour 52 kg et mes petits seins 85 B qui sont très fermes pour mon âge, attirent très souvent les envies des hommes et couples.

Ce matin du matin 26 novembre j'étais (comme d'habitude) nue en prenant mon petit déjeuner avant d’aller bosser, comme tous les jours, et surtout j’aime me balader nue dans la maison avant ma douche. Cette posture est assez excitante et sortant d’un rêve érotique, j’étais excitée comme une puce et en chaleur comme un volcan en pleine explosion. Je dors totalement nue, au cas où il faudrait où il faudrait être opérationnelle, on ne sait jamais. Étant seule à la maison, mon homme étant en déplacement pour quelques jours, et, comme tous les matins j’aime flâner à la maison avant le rush du boulot. Je sais que mon voisin dont sa chambre donne sur mon séjour est voyeur et que régulièrement il me mate par sa fenêtre, mais je l’en fou, je suis chez moi et je fais ce que je veux, et en plus j’ai toujours ce côté exhibe et j’adore allumer les hommes…

J’étais en train de finir mon café tranquillement quand la sonnette de la maison retentie. Il était un gros 09 heures, en plus j’étais déjà en retard. Par le visiophone je distinguais notre facteur. J’ouvrais le portail pour qu’il rentre dans la propriété.

En quatrième vitesse je prends ce qui me passe sous la main en courant pour ne pas ne pas me présenter nue devant lui. J'ai mis un long tee-shirt de mon homme qui trainait dans la lingerie, beaucoup trop grand pour moi, et lui ouvre la porte d’entrée sans sous-vêtement mais ça ne se voit quand même un peu, mais tant-pi .

Il était là devant moi, un beau black avec son ensemble bleu de la poste, pantalon, chemise, veste et sa casquette, bref la panoplie complète du postier. Chouette, les uniformes m’ont toujours fait craquer. Après un échange de sourire, je le fais entrer dans la maison il fait tellement froid dehors, nous sommes en fin novembre.

Je pensais que c’était pour un recommandé, mais non il ne venait pas pour cela. Comme tous les ans à cette période (Bien que cette année je trouve cela tardivement), c’était pour le calendrier de l’année prochaine. Pendant que je signais son reçu je l’informe que je vais lui donner 10 € et que je vais chercher l’argent dans mon porte-monnaie.

Et je vais chercher de la monnaie pour le petit calendrier, pourri certes mais c'est pour la bonne cause. J’avais déjà remarqué pendant notre bref échange que son regard me dévisageait de haut en bas avec un petit sourire envieux et qui sait, il avait peut-être une idée à la fois dans sa tête mais aussi dans son pantalon.

Pendant que je cherchais de la monnaie je le vois me mater encore… Hooo un coquin je pense alors. Mon porte-monnaie était dans mon sac sur le sol proche de l’entrée. Volontairement je me baisse pour le prendre lui dévoilant mon postérieur. Je sais qu’il me regarde. Je fais semblant de chercher les pièces pour rester le plus longtemps possible comme cela devant lui. Au bout d’une petite minute, je me relève et me rapproche de lui. Il a eu largement le temps de me découvrir surtout l’arrière.

Au moment de lui donner l’argent, de la main à la main, 2 pièces tombent par terre à nos pieds. J’ai toujours été un peu maladroite mais là le coup était prémédité. Les deux corps se rapprochent, tendus l'un vers l'autre dans un geste naturel. Les mains maladroites se touchent autour de la monnaie à terre. Chacun se penche et se retrouve déséquilibré. Nous n’avons plus d'autre choix que d'agripper fortement pour éviter la chute. Sous l'effort, le tee-shirt s’entrouvre et révèle définitivement tout mon contenu à sa vision. Je fais semblant d’être confuse. Lui de son côté il devait être heureux d’avoir vu le haut après m’avoir maté le bas. Nous restons ainsi debout, sidérés par tant d'impudeur.

Plusieurs secondes passent ou nous ne cessons de se détailler l'un l'autre. Le facteur se sent encore plus gêner et ne sait plus que faire. Il bredouille « je suis désolé ».

J’avais particulièrement fantasmé pour les blacks « bien montés ». Je n’arrêtais pas de me demander si « c’était vrai » que les blacks avec un gros membre. À vrai dire, malgré une première expérience passée, j’avais l’impression que c’était plus une légende urbaine qu’une vérité absolue. Plus je lisais des récits (et regardais quelques pornos aussi), plus je me posais la question cela m’obsède. Là l’occasion était trop belle, il était devant moi, chez moi… Je me doutais bien que s’il se passait des trucs entre lui et moi, personne ne s’en venterait…

Afin de m’excuser de ma maladresse je lui propose un café. Il refuse mais j’insiste. Je me dirige vers la cuisine l’obligeant presque à me suivre. Je fais assoir sur l’un des tabourets hauts de la cuisine et je prépare nos cafés lui tournant le dos. Une fois terminé, je ramène les 2 tasses sur la table haute et prends place juste à côté de lui. Volontairement alors que je le servais, nos corps se sont touchés et en m’asseyant à côté de lui, j’ai volontairement remonté mon tee-shirt afin qu’il découvre mon sexe tout lisse ce qu’il n’a pas manqué de faire.

Petite discussion, travail, horaires, etc. et je lui dis qu’étant facteur il devait en voir des belles chez les personnes et que sûrement quelques fois il devait prendre du plaisir. Et la conservation forcément s’oriente vers le sexe. Je lui dis que j’adore le sexe et les imprévus… cela fait apparaitre un large sourire sur son visage. Il avait compris là où je souhaitais en arriver.

Il lâche : Madame que tu es belle!! C’était parti… Je lui réponds, si tu as envie de me prendre ne te gêne pas, je suis tout à toi…

Il se lève et se rapproche de moi, ses mains touchent mes épaules, m’agrippent, m’oblige à me lever et me tirent vers lui, j’avance comme dans un rêve, je me décide à me rebeller ? non… Je suis en couple, j’adore le sexe et l’un de mes fantasmes va sans doute se réaliser. Et en plus j’aurais encore une belle histoire à raconter à mon homme Louis.

J’ai appris qu’il s’appelait Youssef, il était grand, environ 1,90 m, pas gros et le reste j’allais le découvrir… Légende ou réalité…

Il continu sa manouvre et je me retrouve collée à lui, sa bouche prend la mienne et je sens sa langue prendre possession de moi et ma résistance faiblir. Sentant que je deviens consentante, il s’enhardi, et ses mains glissent derrière mon dos, le caresse un moment s’attarde sur mon tee-shirt, l’enlève et le fait tomber de façon que je me retrouve nue devant lui.

Il recule d’un pas pour m’admirer… Ma poitrine, ferme et tendue l’attire. Ses mains prennent possession des mamelons qu’il pétrit, sa langue revenant se ficher dans ma bouche, ses lèvres étouffant mon éventuelle rébellion. Dans un sourire, insolemment nue, je m’avance vers lui et le prend tendrement dans ses bras. Il referme les siens et je commence doucement à lui caresser la nuque, le dos, le bas des reins puis, s'enhardissant, les adorables fesses frémissantes.

Apparemment soulagé de sa non-réaction, je risque une main hésitante vers ses cuisses et la glisse délicatement à l'intérieur du son pantalon presque jusqu'à l'aine. L'autre soulève sa chemise et s'intéresse délicatement au bas du dos. Nous restons ainsi pendant de longues minutes, caressants et caressés, le souffle court, le cœur battant. Lorsque le postier ose glisser un doigt entre mes fesses offertes et prendre possession de son anus, je frémis violemment. Sa caresse devient plus imprécise. Je saisis la ceinture de mon partenaire qui s'ouvre comme par magie, je fais glisser son pantalon vers le sol, même pas étonnée de ne trouver aucun obstacle vers son intimité.

Je lève alors la tête, attire celle de celui qui semble devoir devenir mon coup du matin, et l'embrasse à nouveau avec une fougue non équivoque. Dans la lutte passionnée des langues, les bouches sont pénétrées tour à tour, alors que mes mains s'affolent sur toutes les surfaces libres de peau. Là je découvre enfin son anatomie en pleine forme.

Après ce long baiser, notre facteur passe sa chemise par-dessus sa tête alors que je le libère prestement ses pieds de son pantalon, son caleçon et de ses chaussures. Il était nu devant moi, sa queue à l’air déjà très excitée, sans rien dire ni même le moindre mouvement de révolte. C’est sûr, je dois l’exciter et je suis certaine qu’il a envie de me posséder. Là je découvre enfin son anatomie en pleine forme, sexe tendu et disproportionné avec ce que je connaissais, mon homme étant pourtant bien membré, mais là sa bite tendue fait au moins 25 à 30 cm pour 5 ou 6 cm de diamètre, toute noir velouté, ses couilles, très grosses et lourdes. Conscient de sa supériorité, il me laisse admirer son engin. Alors Madame, je n’avais pas raison ? tu vas aimer ! Je n ...

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