Je vais vous raconter la première fessée de Sylvie, telle que je l’ai vécue, sous l’angle de vue du fesseur que je suis.
J’ai fait la connaissance de Sylvie fin des années 2000 par le biais d’une annonce que j’avais postée sur un site internet qui n’existe plus à ce jour, Kijiji pour ceux qui l’ont connu. J’habitais dans la région nantaise à l’époque. Je ne me souviens plus exactement du contenu de l’annonce mais son titre est suffisamment explicite pour comprendre de quoi il s’agissait : « Madame, votre première fessée ». Je me proposais d’initier à la fessée toute femme candidate à une première expérience.
Suite à cette publication, j’avais reçu bon nombre de réponses émanant quasi exclusivement d’hommes, qu’ils soient gays ou bi parfois même trav. En clair, pas vraiment le public que je visais, mais pourquoi pas. Une brève réponse néanmoins ressortait du lot (je recopie intégralement cette réponse que j’ai encore dans mes mails) : « 1m60 50 kg 41 ans premiere expérience mais très motivée si vous cherchez encore j'attends de vos nouvelles ».
En première lecture je pensais qu’il s’agissait à nouveau d’un homme candidat, l’adresse mail confirmait cette impression, elle commençait par « sylvio » (sylvioxxxx@yyyyy). Mais « motivée » au féminin, la taille ainsi que le poids contredisaient cette première impression. J’appris ensuite de la bouche de Sylvie que « Sylvio » était bizarrement le surnom que ses amis lui donnaient.
Nous avons communiqué par mail dans un premier temps. En les relisant aujourd’hui, je trouve que les échanges écrits permettent d’aller à l’essentiel simplement, sans appréhension ni retenue pour celui qui rédige. Nous avons rapidement communiqué par msn (oui, msn ça fait un peu ancêtre aujourd’hui mais c’était bien pratique à l’époque) pour enfin nous fixer rendez-vous pour mieux faire connaissance devant un verre. Elle habitait La Baule et moi Nantes. Le lieu de rendez a été choisi à mi-chemin, rendez-vous fixé après nos heures de travail en fin d’après-midi. Nous étions au mois de juin, les journées sont longues et ce jour-là il faisait un temps agréable. Point de rencontre le parking d’un supermarché, je dois repérer une twingo dont je ne me souviens plus la couleur, mais qu’importe.
Après m’être trompé de supermarché et quelques sms pour corriger le tir, j’arrive enfin au bon endroit où, à côté d’une twingo, attend un petit bout de femme, habillée d’une jupe longue et d’un chemisier blanc, chaussée de nu-pieds à semelles compensées. Je sors de ma voiture et vais à sa rencontre, nous nous faisons la bise (pas de covid à cette époque non plus). Je lui propose d’aller boire un verre, le bourg est petit avec pas grand-chose pour nous accueillir mais la présence d’une gare et de l’incontournable café en face nous sauve la mise. C’est donc là que nous choisissons d’entrer.
Un coup d’œil à gauche, un coup d’œil à droite, je tente de repérer un endroit de la salle suffisamment retiré pour que nous puissions discuter tranquillement et aborder des sujets qui n’intéressent que nous. Chance, il y a une arrière salle plus petite, ça ira très bien. Petit souci, à une des quatre ou cinq tables est installé un enfant d’une dizaine d’année qui fait ses devoirs. Le fils du patron ou d’un employé certainement. Pas le choix on s’attable de notre côté et passons commande. La discussion s’installe spontanément, nous sommes à l’aise elle et moi. Elle me parle d’elle. Mère d’une fille d’une vingtaine d’année, séparée depuis longtemps du père de celle-ci, elle vit aujourd’hui seule et travaille aux alentours de La Baule dans un métier assez physique (chapeau Sylvie !). Elle me parle de ses gouts, ses loisirs et de son travail aussi. En retour j’aborde les mêmes sujets pour me présenter même si, à l’esprit, je n’ai qu’une envie qui me brûle : mettre à l’ordre du jour ce pour quoi nous sommes là, la fessée, sa première fessée. Mais le jeune garçon est toujours là, à portée de voix, même à voix basse la discussion serait audible, donc je n’aborde pas le sujet.
Elle me le confiera par la suite, son désir de fessée vient d’un évènement auquel elle a assisté lors d’une soirée passée avec un couple d’amis. En fin de repas, le couple s’est disputé. Fin de repas veut dire que l’apéritif avait été pris, que les vins accompagnant les plats faisaient aussi leur effet, bref l’exubérance était de mise et l’homme a menacé sa femme de la corriger. Ce qui fut dit fut fait, peu de temps après la femme se trouvait en travers des genoux du mari qui, relevant la jupe, lui asséna une fessée à travers la culotte. Sylvie n’a jamais su si cette scène avait été spontanée de la part du couple ou planifiée, toujours est-il que, gênée par la situation, elle les avait quittés rapidement pour rentrer chez elle.
Tout cela remonte à quelques années mais le souvenir de cette soirée reste bien présent dans sa mémoire. A chaque évocation, elle ressent intérieurement le trouble qui fût le sien au moment de cette fessée dont elle ne fut que spectatrice. Progressivement, ce trouble récurrent devient pour elle une évidence, elle veut vivre l’expérience, elle veut être fessée et connaitre enfin le plaisir tel qu’elle l’imagine dans son fantasme, plaisir teinté d’humiliation et de désir.
Mais pour le moment, nous sommes au café en face de la gare. Nous n’avons qu’abordé des sujets ...
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