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Pur fantasme : visite chez des clients

Publié par : sallynympho le 27/11/2025
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voici un fantasme que j'ai depuis un certain temps... bonne lecture :
La matinée n’avait même pas commencé que Sally sentait déjà le contrôle de Marc sur elle.
Le collier ras-de-cou qu’il lui avait imposé — un cercle noir brillant, orné d’un anneau métallique parfaitement visible — reposait contre sa gorge comme un rappel constant : elle était là pour représenter l’agence, disait-il… mais Sally savait qu’il y avait plus que ça. Il aimait la savoir offerte, visible, exposée, même dans la sobriété feutrée de leur métier.
Elle marcha à côté de lui vers la voiture.
Sa mini-jupe en simili cuir collait à ses hanches, incroyablement courte malgré son absence de fente. Chaque pas faisait glisser légèrement le tissu, comme si cette jupe cherchait à révéler davantage qu’elle ne le devait. Le chemisier blanc, transparent de façon indécente, laissait deviner la douceur de sa peau et la pointe affirmée de sa poitrine. Sans soutien-gorge, tout mouvement devenait un message silencieux.
Sous la jupe, le string en vinyle suivait la courbe de son bassin. Le porte-jarretelles s’accrochait fermement aux bas à coutures, qui remontaient haut sur ses cuisses, ajoutant à la tenue une rigueur presque cérémonielle.
Ses bottes en simili cuir, montant jusqu’au genou, à talons aiguilles de 12 cm, claquaient doucement sur le sol. Leur cambrure extrême redessinait entièrement sa démarche, accentuant la courbe de ses hanches et la souplesse de son bassin. À chaque pas, le cuir brillant captait la lumière, guidant les regards masculins comme un signal irrésistible. Plus d’un homme, dans les couloirs comme dans les bureaux visités, eut ce bref temps d’arrêt — ce micro-silence révélateur — devant la précision cruelle de ces talons et la façon dont ils transformaient chacun de ses mouvements en provocation maîtrisée. Plusieurs hommes durent détourner les yeux une fraction de seconde, la respiration brève, comme surpris par l’élan de désir que sa simple présence déclenchait. Leurs voix se faisaient légèrement plus rauques lorsqu’ils lui adressaient la parole, et leurs gestes, soudain moins assurés, trahissaient l’effet troublant qu’elle avait sur eux.
Marc ouvrit la portière pour elle, un geste parfaitement professionnel… sur le papier.
Mais ses yeux glissèrent sur elle avec une lenteur mesurée, presque clinique.
— Parfait, souffla-t-il. Exactement comme je voulais que tu sois aujourd’hui.
Sally sentit une vague de chaleur traverser son ventre.
Ce n’était pas tant ce qu’il disait que la manière dont il la regardait : un mélange d’autorité et d’assurance, comme s’il orchestrait chaque détail de son apparence pour un ballet invisible aux autres. Elle se glissa dans la voiture, ses bas tendus, la jupe remontant d’un demi-centimètre de plus. Marc referma la porte comme s’il enfermait un secret.
Sur la route vers les clients, son regard se posait parfois sur l’anneau du collier. Toujours brièvement, jamais ouvertement. Mais suffisamment pour que Sally sente ce fil tendu entre eux — une tension délicieuse, électrique, prête à vibrer au moindre mot.
— Chez ce client, on reste impeccables, dit-il calmement. Tu es là pour attirer l’attention, pas pour la provoquer.
La nuance était fine.
Trop fine.
Sally la ressentit comme une caresse. Un défi. Une promesse.
Elle fit glisser une mèche de cheveux derrière son oreille, mettant en avant le collier, sa gorge, la transparence du chemisier.
— Je saurai me tenir, Marc, murmura-t-elle d’une voix posée, presque docile… mais pas trop.
Un sourire discret étira le coin des lèvres de son patron.
Un sourire qui disait : Je sais exactement ce que tu fais.
Et la journée ne faisait que commencer.
Le premier client les accueillit dans un open space lumineux. Sally sentit aussitôt plusieurs regards effleurer sa silhouette — des regards qui ne se contentaient pas de la voir, mais la parcouraient avec une intensité presque palpable. Marc la laissa légèrement en avant, comme pour jauger l’effet qu’elle produisait, et l’effet fut immédiat : un léger flottement dans la pièce, un silence infime, imperceptible pour qui ne savait pas écouter. Ses bas impeccables, la ligne stricte de la couture, l’anneau au collier… tout semblait attirer l’œil sans un mot, mais avec une charge électrique indéniable. Alors, consciente de l’attention brûlante qu’elle provoquait, Sally accentua subtilement chacun de ses gestes pour pousser les hommes au bord du trouble. Elle fit glisser un pas lent, très lent, laissant le talon aigu de 12 cm résonner sur le sol ; puis elle redressa légèrement la poitrine, faisant jouer la transparence du chemisier autour de ses seins nus. Les respirations masculines changèrent aussitôt : plus courtes, plus heurtées. Un jeune cadre déglutit bruyamment. Un autre tenta discrètement de dissimuler le début d’une érection derrière un dossier qu’il tenait un peu trop haut. Sally, parfaitement consciente de leur état, fit mine de consulter sa tablette… mais fit exprès de se pencher juste assez pour que la courbe de son sein se dessine nettement sous le tissu. Un souffle rauque s’échappa de quelque part derrière elle — minime, mais impossible à manquer. Elle resta calme, posée, professionnelle, mais intérieurement ravie de sentir les hommes autour d’elle au bord de perdre totalement leur maîtrise, leurs souffles soudain plus courts, plus lourds, trahissant l’érection qu’elle cherchait précisément à provoquer.
Chez le deuxième client, un cabinet d’architecture, l’ambiance était plus feutrée. Marc parla chiffres et concepts, tandis que Sally, assise à ses côtés, croisait lentement les jambes. Le frôlement subtil du simili cuir contre sa peau fit vibrer la couture de ses bas. Dès qu’elle sentit l’excitation contenue de l’associé principal — ses mains crispées sur le dossier, sa respiration devenue plus courte, ses yeux rivés sur la ligne parfaite de ses jambes — Sally intensifia volontairement son jeu. Elle glissa son pied légèrement en avant, tendant la pointe de sa botte à talon aiguille, puis recommença à croiser et décroiser ses jambes avec une lenteur délibérée, offrant une vue brève mais brûlante sur son string en vinyle sous la mini-jupe. Chaque geste était calculé pour lui vriller le ventre, pour attiser la tension dans son pantalon. Elle se pencha ensuite légèrement vers lui sous prétexte de regarder une note sur la tablette, son chemisier transparent effleurant presque son bras, laissant ses seins visibles juste assez pour le faire basculer dans un trouble plus intense. L’associé déglutit difficilement, essayant de masquer le gonflement évident qui commençait à se former sous la table. Marc le remarqua aussi, sans un commentaire, simplement un infime mouvement de tête, comme pour souligner silencieusement que l’effet de Sally était exactement celui attendu.
Le troisième rendez-vous fut plus dynamique : un showroom en pleine activité. Sally suivit Marc entre les présentoirs, son pas sûr et précis sur ses talons de 12 cm. À chaque pas, ses bottes attiraient les regards et provoquaient un trouble visible chez les commerciaux : un rougissement, un geste interrompu, un souffle plus court. Deux commerciaux se figèrent une demi-seconde en la voyant passer, les yeux trahissant leur excitation et leur trouble face à sa présence magnétique. Alors Sally accentua volontairement son déhanchement, laissant vibrer la mini-jupe sur ses hanches. Elle ralentit un pas, puis un autre, faisant claquer le talon aigu sur le sol. Tout en avançant, elle glissa discrètement ses doigts le long de sa cuisse, soulevant très légèrement le bord de la jupe pour offrir une fulgurance de son string en vinyle — juste assez pour déclencher un sursaut de désir chez les hommes. Et comme elle sentit sa propre érection pousser fermement contre le vinyle tendu de son string, elle ne fit rien pour la dissimuler : au contraire, elle accentua la cambrure, laissant la bosse parfaitement visible sous la jupe moulante. Les regards masculins s’y accrochèrent aussitôt, fascinés, affamés, incapables de s’en détacher. Marc continua de parler comme si de rien n’était, mais Sally sentit sa main frôler doucement son dos, une direction silencieuse vers la posture qu’il souhaitait.
Le midi, Marc invita le client à déjeuner en compagnie de Sally. Durant tout le repas, Marc glissa des allusions subtiles sur le fait que Sally était à sa disposition, sans jamais le dire clairement. Au fil des conversations, le client comprit peu à peu le sous-entendu et se retrouva incapable de détacher son regard des seins de Sally, parfaitement visibles à travers son chemisier transparent. Devant le regard insistant du client, Sally défait lentement un bouton de plus à son chemisier déjà largement ouvert, laissant entrevoir un peu plus de sa poitrine. Elle prend son temps, ses gestes sont précis et fluides, chaque mouvement calculé pour capter et maintenir l ...

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