Entre Noel et nouvel an, on s’est branché sur le forum libertin habituel, en recherchant des hommes pour le soir du réveillon.
Les propositions ont été nombreuses, et Franck a sélectionné à partir de photos un homme d’une cinquantaine d’année, bien fait et proportionné.
Il nous avait envoyé une photo de lui en érection et je dois confesser que son sexe était plus gros et plus long que celui de Franck.
J’étais réticente au début mais j’avoue avoir regardé son sexe avec « appétit ».
On s’est parlé par mail comme avec toi, on s’est beaucoup excité tous les trois. Le principe était simple : Il s’occupait de moi et Franck regardait et participait ou non.
La journée à l’attendre fut longue. On a fait l’amour plusieurs fois. Et puis vers 17h j’ai commencé à me préparer avec ces dessous sous une robe rouge très transparente.
Vers 20 h, il a frappé à la porte Je suis allé ouvrir. On s’est salué. Sourires complices et gênés échangés. Je l’ai invité à entrer dans le salon Franck nous attendait, les yeux pétillants et sensuels.
Je me suis assise à côté de lui dans le canapé, Franck en face de nous dans le fauteuil.
On a discuté tout en sirotant du champagne et quelques amuse gueule puis il a posé sa main sur ma cuisse en me complimentant sur ma tenue.
Je n’ai opposé aucune résistance et l’ai remercié de ses compliments.
Il s’est enhardi, encouragé par Franck qui se demandait tout haut si je n’avais pas oublié de mettre une petite culotte et proposant à Pierre (notre inconnu) de vérifier
Il obtempéra bien sur et commença à me caresser tout en faisant glisser les bretelles de la robe et relevant le bas pour dénuder le haut de mes cuisses.
Il me palpait les seins, les fesses, encouragé par mon mari tout en m’embrassant, je le laissais faire.
Hum ! Elle est vraiment bonne ta femme ! Elle a vraiment de beaux seins, dit il à Franck.
Puis il commença à descendre sur mon ventre, ses mains l’une en bas, l’autre en haut se rejoignirent sur mon clitoris Je gémissait de plaisir.
Il me fis écarter les cuisses pour que Franck puisse profiter du spectacle, et commença à me doigter.
Cela dura tout un moment, il entra d’abord un doigt, puis deux. Il se léchait les doigts et me les faisait lécher. –
Ca te plairait que ta femme me suce, demanda t il à mon mari ! Hein tu vas me sucer ma petite chienne !
Je m’exécutais, baissais son pantalon. Il se retrouva nu, son sexe tendu vers le ciel. Je le pris en main tout en regardant Franck, puis commença à le pomper. Il me tenait la tête et appuyait à chacun de mes mouvements.
- Elle est bonne ma bite hein ?
Oui elle est bonne. Bien grosse, je suis toute mouillée.
- Je vais bien te baiser après ?
- Oh oui, tu vas la baiser dit Franck avant que je ne réponde la bouche remplie de sa queue, t’es là pour ça !
Je hochais la tête en signe d’assentiment et continuais de le sucer un moment en me regardant de temps en temps dans la glace de la penderie.
Il me fit mettre à 4 pattes, me doigta la chatte et lécha l’anus. Je me laissais faire, les yeux fermés.
Il commença à approcher sa queue de ma chatte et m’empala d’un coup sec.
- Oui baise moi fort ! Défonçe ma petite chatte ! Oh c’est bon comme ça !
- Tu aimes ça salope te faire défoncer ?
- Oh oui elle adore ça, répondit Franck ; vas y défonce la
- T’as envie que je t’encule, me dit il ?.
- Je ne sais pas, répondis-je !
- Mais si encule la répliqua Franck, elle aime se faire prendre par derrière, vas y doucement au début, tu es plus gros que moi lui dit il.
Ce qu’il fit ouah ca été dur au début puis je me suis sentie remplie comme jamais.
Je ne sais pas combien de temps, Pierre fit des aller et retour de plus en plus amples entre mes reins, mais à ce rythme, je me dis qu’il n’allait pas tarder à me balancer sa purée.
Je suis un peu déçu car, s’il jouit tout de suite, je risquais de rester sur ma faim maintenant que j’étais bien chauffée et remplie et ne gardera pas un bon souvenir de cette aventure de la Saint Sylvestre.
Pierre ne faiblit pas et j’entendis maintenant les cris de mon époux qui l’encourageais.
Il se mit à m’invectiver dans des termes crus qui eurent pour effet de me stimuler encore plus.
— Petite salope de bourgeoise. Tu cachais bien ton jeu devant ton mari, alors que j’avais deux de mes doigts enfoncés dans ta moule et que tu lui faisais tes petits sourires. Tu vas prendre ce que tu mérites et t’as pas intérêt à faire la mijaurée.
— Continues, ça vient, je vais jouir. Baises plus fort, je t’en prie. Secoues-moi avec ta grosse bite. Mets la moi bien profond. C’est trop boooooooonnnnn.
— Et t’as pas encore vu celle de mon pote Amir, je vais l’appeler et on va te baiser comme tu le mérites, tu vas voir ce que c’est qu’une bite d’arabe.
La ce fut un blanc pour moi, pas prévu au programme ou alors Franck m’avait fait des cachotteries.
Je me tournais vers lui mais au même moment fut prise d’un orgasme anal très fort. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh.
Il m’a laissée récupérer un peu, se contentant de faire coulisser sa grosse queue dans mon cul, histoire de garder une forme olympique.
T’es vraiment une salope, toi. J’en reviens pas comme tu aimes la bite, j’appelle Amir, de toute façon, c’est convenu avec Franck.
Je n’étais pas en état de répondre. Je me laissais insulter sans réagir. Je vis Pierre, fouiller dans la poche de sa veste. Il en sortit un téléphone et, sans deman ...

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