Ce récit a été noté : 3.9 / 4

 
( 0 = histoire nulle   4 = histoire TOP )


Ajouter à ma liste
250724 au bois des hâtes en camping-car. 1

Publié par : hsmur le 29/10/2025
** NEW **

Ce jeudi 24 juillet 2025, comme je l'avais prévu sur LDD la veille, je me rends au bois des Hâtes. Comme souvent, je passe devant le petit parking triangulaire qui est vide, vais jusqu'au grand parking et là, je fais demi-tour pour revenir m'installer sur le petit parking triangulaire, le camping-car devant la poubelle. Je tire les occultants côté conducteur et côté pare-brise. Je laisse ouvert du côté passager. J'ai ma tenue favoris, short et rien d'autre. Je retire mes mocassins, puis mon t-shirt, ensuite mon short. Il est environ dix heures et il commence à faire déjà bon. Heureusement, le camping-car n'est pas en plein soleil, il est à l'ombre des arbres.

Finalement, le premier homme qui passe est un cycliste, dans mes âges. Il pose son vélo à l'entrée du bois, puis vient vers moi, le temps que je sorte la marche. Dès qu'il est entré dans mon camping-car, je verrouille la porte derrière lui. Il me saute dessus. Il m'embrasse fougueusement, voire sérieusement, et me tripote les mamelles avec dextérité. Visiblement le type connaît son affaire.
Pendant qu'il s'occupe de ma poitrine, qu'il joue bien avec et qu'il me roule des pelles, j'en profite pour lui baisser son pantalon et son slip, prendre en main une fort belle bite, bien large, certainement longue et qui commence déjà à bander. Elle me fait envie cette queue, j'ai l'impression que je commence à mouiller de l'anus.
Je le déshabille complètement, puisque moi, je suis déjà nu, et on continue à se tripoter et à s'embrasser. À ce moment-là, il me prend sous les bras, me soulève légèrement. il a une force redoutable, ce monsieur, et se met en tête de m'allonger sur le lit, mais la tête aux pieds. Normalement, la tête est au fond du camping-car, le côté biseauté est là où sont mis les pieds. Je suis installé maintenant dans l'autre sens, il se met lui aussi sur le lit et s’empresse de recommencer à me rouler des pelles. Je me jette sur sa queue et le suce encore longuement. Il me lèche le cul, je le doigte, il m'embrasse, me fait une pipe géniale, joue avec mon méat.
Je le branle jusqu'à ce qu'il éjacule sur ma fesse droite, avec une petite tache sur le couvre-lit. Il me dit qu'il est pressé, qu'il faut qu'il s’en aille. Nous nous quittons là, mais je laisse mon numéro de téléphone, j'aimerais bien le revoir. Ce sera d'ailleurs le cas, le mardi suivant, mais pas au même endroit, à Joué-lès-Tours, près du lac.

La deuxième visite, c'est un petit vieux, avec qui j'avais discuté sur LDD et qui m'avait dit qu'il passerait. Je ne pensais pas trop que ça se ferait, parce qu’il y a pas mal de gens qui baratinent sur les sites Internet, qui fantasment et qui ne passent pas à la phase deux. Là, monsieur est venu. Je le fais monter dans le camping-car, alors que j'avais la bite à l'air, mais je gardais mon t-shirt, on ne sait jamais qui peut passer et je retire mon t-shirt tout de suite.
Le type a les couilles attachées avec une sorte d'élastique et vraiment bien attachées. Tandis que je commence à le sucer, il me prend la tête et me fait sucer comme un sauvage. Cette brutalité a un don de m'exciter. Puis d'un coup, il me dit :
- Tu vas me lécher le cul, pouffiasse.
Et joignant le geste à la parole, il se retourne, se penche en avant et écarte ses fesses. Je lui bouffe l'oignon, effectivement, il est propre et n'a pratiquement pas de goût. Alors, je m'enhardis jusqu'à lui rentrer ma langue dans le troufignon. Visiblement, le mec apprécie et il continue à me dire des gros mots. Les grossièretés m'excitent terriblement. Je lui lèche toute la vallée du cul, puis entre le cul et les couilles, ensuite les couilles. Clairement, il a l'air de bien apprécier. Et d'un coup, il se retourne, me prend la tête et fourre sa bite dans ma bouche. Là, il me baise la bouche comme un forcené et finit par juter dedans. C'est très excitant, j'apprécie ce genre de mec qui prend de l'initiative.

La troisième rencontre, est un grand type, de trente-cinq ans environ, bien bâti, qui monte dans le camping-car. Dès que j'ai fermé la porte, je retire presque mon t-shirt et veut me jeter sur sa queue, mais il me dit :
- Non ! Je t'en ai parlé sur le site, je ne veux que me masturber devant toi. Je veux que tu me regardes me branler et jouir.
Aussi, je le regarde se branler, il a une belle bite, puis il jute dans sa main. Je n'ai même pas pu avoir le droit de boire sans foutre. Il fout de sa sauce dans son caleçon et sur son pantalon. Petit nettoyage à la lingette, et il se sauve en me remerciant.
Je suis un peu surpris, mais bon, il avait demandé, effectivement, à pouvoir se branler devant moi. J'avais accepté, donc voilà, tout est bien qui finit bien.

La quatrième rencontre est un chauffeur-livreur qui vient de garer sa camionnette juste à côté de moi, du côté chauffeur. Il est descendu et a allumé une clope. Il fume donc sa clope juste à côté de la portière de son véhicule. Il fait le tour de mon camping-car, et vient devant la porte me détailler du regard. Quoiqu'il soit encore dehors, je sens déjà l'odeur du tabac, il sent très fort. D'un seul coup, une voiture vient s'arrêter juste derrière lui. Là, le chauffeur-livreur tourne les talons et retourne à côté de sa camionnette.
J'en profite alors pour montrer ma bite, puis mon cul et mes nichons au nouvel arrivant en voiture, qui semble faire la gueule, alors, il redémarre son véhicule, fait une marche arrière et s'en va. Visiblement, je ne suis pas son genre, ce n'est pas grave, on ne peut pas plaire à tout le monde.
Le chauffeur-livreur, revient devant la porte de la partie caravane et, comme je suis à poil, maintenant, il me demande :
- Tu suces ?
- Oui, je suce et j'avale… Si tu as du jus à me donner, je suis preneur.
Le mec monte alors, je referme et verrouille la porte derrière lui. Il regarde un petit peu l'intérieur, pendant que moi, je m'occupe de lui défaire sa ceinture et d'ouvrir sa braguette. Je saute directement sur sa queue, pas la peine de perdre du temps avec des fioritures. Le type me demande de pouvoir s'asseoir sur le lit. Finalement, il s'allonge à moitié sur le lit, les jambes devant qui pendent dans le vide. Comme il a fait descendre son pantalon au niveau des genoux, tout de suite, je me penche en avant et prends sa pine en bouche. Il a un bel engin et très vite il bande bien dur. Pendant que je le pompe, il en profite pour me travailler les mamelles, il me pince les tétons, ni trop, ni trop peu, juste ce qu'il faut. Visiblement, il sait y faire avec les mecs. Puis, d'un coup, il me demande :
- Tu veux que je la mette dans le cul, grosse salope ?
Cette façon de parler, cette assurance, ça m'excite, ça me fait mouiller du trou du cul et alors, je lui réponds :
- Oui, j'ai envie de ta bite dans mon cul.
Il me repousse donc gentiment, mais fermement, tant et si bien que je me retrouve sur la banquette latérale, le cul bien relevé, les mains sur l’assise. Je mouille deux doigts et m'enduis l'anus de salive. Puis, je reviens dans la position, fesses écartées, à attendre que mon amant du moment vienne. Il me pointe l'anus. Par la suite, d'un coup sec, pas violemment, mais ferme, rentre toute sa pine dans le même mouvement. Sans hésitation, mais sans non plus précipitation. Ensuite, il se met à me limer le fion. Sa queue est bonne, c'est très jouissif, je commence à grogner de plaisir. Cette bonne baise dure cinq à dix minutes. D'un coup, il ressort totalement sa queue de mon cul, recule d'un pas et m'ordonne :
- Viens me sucer.
Je n'ai pas envie de discuter, je me retourne, m'assois sur le coin de la banquette et prends sa bite dans ma bouche. Elle est propre, j'ai vérifié, elle n’est pas souillée et donc je le pompe. Sensiblement, il débande un peu, mais dans ma bouche, il reprend de la vigueur et recommence à bien bander. je n'ai pas à le sucer très longtemps, que d'un coup il s'écrit :
- Vite ! Retourne-toi, que je la remette dans ton cul, gros pédé.
J’obtempère instantanément, me remets devant lui, un genou sur la banquette, les mains sur l'assise et j'attends qu'il me remette sa bite dans le cul. Il ne perd pas de temps, il m’enfourne son membre dans le rectum et recommence à l'animer. Mais cette fois, encore plus énergiquement. Il me baise comme un démon. Il me pète le cul. D'un coup, il s'exclame :
- Putain ! Salope, tu vas me faire jouir !
Et je réponds, d’une voix bizarre me semble-t-il, déformée par un début d’orgasme :
- Oui, vas-y... Remplis-moi les boyaux ! Vas-y, fous-moi ton sperme dans le rectum…
Et le mec jouit assez vite. Mais tout de même, je vois qu'il a bien apprécié. ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite


Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Fellation, Sodomie