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Alex réussit sa première fellation

Publié par : alexis69 le 13/08/2022

Alex réussit sa première fellation, ébranle les convictions d’un hétéro et trouve une alliée en la personne d’une adorable lesbienne...

Au début de ma première année de fac à Lyon j’étais un peu perdu, je ne connaissais personne. Jusqu’alors je venais en vacances chez des cousins chaque année au mois d’août, mais Paulo le cousin qui m’avait si bien baisé (voir « Alex se fait bien remplir par son cousin ») venait de prendre sa retraite et de s’installer à Vals les Bains en Ardèche. Paulette et lui quittaient la ville au moment où je venais m’y installer pour plusieurs années… J’aurais pu habiter chez eux à Perrache et Paulo aurait pu continuer à se vider les couilles et moi à en jouir…
Paulo avait grandi à Lyon, Paulette native de Vals n’aimait pas Lyon et ne l’avait jamais aimée. Et Paulo le gentil, Paulo le frustré, Paulo à la belle queue avait fini par céder aux exigences de Paulette. Paulette que le sexe n’intéressait pas et dégoûtait peut-être. Dans les conversations, quand nous faisions allusion au sexe, Paulette nous disait « Vous ne pouvez pas parler d’autre chose ! Vous êtes vraiment des obsédés...» et on répondait en choeur « Ben ouais... ». Elle tournait la tête de droite à gauche en guise de réprobation « Pfff !.. ».
Je pensais à lui qui allait s’enterrer dans une petite maison à la sortie de Vals en direction d’Antraigues… Paulette allait continuer à lire ses magazines et à rêver d’une autre vie par procuration. Paulo allait passer ses journées à pêcher dans la Volane et à ronger son frein… Il ne profitera d’ailleurs pas longtemps de sa retraite et mourut d’un cancer quelques années plus tard.

Dans les premiers jours de la rentrée, on s’interrogeait entre étudiants, « Tu es d’où toi ?.. ». Nous étions moins d’une dizaine d’ardéchois garçons et filles dans la même section et nous nous sommes regroupé tout naturellement. On se voyait le soir en général et plutôt en fin de semaine. On se retrouvait dans le petit appartement de Laure, une des étudiantes ardéchoises, rue Chevreul, proche de la fac.
Chacun apportait à boire et à manger. Les soirées étaient bien arrosées.
Ce samedi soir là on était tous bien imbibés. En me levant pour aller aux toilettes, je me suis pris les pieds dans un tabouret et je suis tombé à genoux. Projeté vers l’avant, je me suis retrouvé la tête entre les jambes d’un gars. Gros éclats de rire général ! Laurent (c’était son nom), les yeux un peu dans le vague me dit « Suce moi ! » et les autres de reprendre « Suce le ! Suce le ». Je finis par retrouver un peu de dignité et là Laurent me regarda bien droit dans les yeux « T’es pas cap’... », repris évidemment en chœur par les autres. Sans le quitter du regard, j’ai défait sa ceinture et déboutonné son pantalon. Je lui ai dit de se lever et j’ai baissé l’ensemble pantalon et slip, offrant à la vue de tous un magnifique spectacle… Laurent était très bien membré, une verge longue d’épaisseur moyenne, de belles couilles. Je soulevai son membre de la main et me mis à lui lécher les couilles avec gourmandise.
Je baisais depuis trois ans déjà et pourtant je n’avais jamais pratiqué de fellation…
Avec Yann (voir « Alex on dirait une fille ! ») on était ignorant de ces pratiques quant à mon cousin Paulo, il m’avait souvent sucé mais n’avait jamais voulu que je le touche.
C’était donc la première fellation que je pratiquais et de plus en public. Je ne pouvais pas me rater…
Le contact de sa peau, de ses couilles, la sensation de son membre qui était en train de se redresser… tout ça m’excitait énormément. Je le léchais lentement de bas en haut puis je recommençais le mouvement plusieurs fois et quand il fut bien raide, je saisis son magnifique gland à pleine bouche. Là il poussa un long gémissement. Ma langue s’activa tout autour du gland pendant que je le masturbais doucement tout en lui caressant les couilles.
Plus personne (à par moi) n’ouvrait la bouche, le silence s’installa, tout le monde me regardait sucer avec délectation le sexe de Laurent qui me caressait doucement (et sans doute inconsciemment) les cheveux en gémissant et en fermant les yeux…
Il se raidit brusquement, rouvrit les yeux, fut prit d’un long spasme avant de pousser un cri et de jouir abondamment dans ma bouche. Il poussait de petits gémissements à chaque jet. Je léchais bien son gland et lui caressais une dernière fois les couilles avant de me reculer et de remonter son slip et son pantalon. Il était sidéré. Il avait du mal à réaliser ce qui venait de se passer. Les autres aussi d’ailleurs…
Il reprit ses esprits, reboucla la ceinture de son pantalon, se rassit et me dit « Mais tu as fait ça toute ta vie ! ».
« Non c’est bien la première fois que je suce ! » lui répondis je en riant « Par contre j’ai déjà été sucé !». Je n’ai pas parlé du reste et personne n’a posé de questions...
D’un seul coup je venais de prendre des galons auprès de tous mes camarades, mais en même temps tous s’interrogeaient sur ma « nature ». Laurent, beau garçon, bénéficiait de tout l’intérêt des filles et d’une réputation naissante de chaud lapin et nul ne s’interrogeait sur la sienne.
La soirée se prolongea. Certains décidèrent de dormir sur place. Avec Laurent et deux autres camarades on décida de regagner le cité universitaire qui n’était pas loin. Chacun se dit bonne nuit et s’enferma dans sa chambre.

Je me suis déshabillé et me suis allé me doucher avant de me coucher. Certains avaient fumé dans l’appartement et je ne supportais pas l’odeur de tabac sur moi.
Je me suis endormi comme une masse... Tout à coup j’ai eu l’impression qu’on grattait à ma porte. Comme je n’ai pas réagi immédiatement, on frappa de petits coups. A moitié endormi je suis allé entrebâiller la porte, c’était Laurent. Il se faufila dans l’ouverture et referma la porte derrière lui. Il vit que j’étais nu… Il me prit par les épaules et l’air angoissé me dit « Alex je n’arrive pas à m’endormir… Je ne fais que penser à toi... » Je compris immédiatement son dilemme : « Moi le tombeur de filles, je suis attiré sexuellement par un garçon... ». Je le pris dans mes bras, il se laissa faire et me serra contre lui. « Laurent fais ce que tu as envie de faire…et ne te pose pas de questions... ». Il me serra encore plus fort en m’embrassant dans le cou, puis se mit à me caresser frénétiquement le dos, les fesses... Je le repoussai légèrement, lui soulevai le menton et je l’embrassai tendrement sur la bouche. Il me rendit mes baisers tout en gémissant « Qu’est-ce qu’il m’arrive Alex ? ». Je lui caressais les cheveux, le visage. «Tu as envie de faire l’amour avec moi ? ». Il approuva de la tête.  « Viens ! » je le guidais jusqu’au lit et l’aidais à retirer ses vêtements. « Mais c’est pas normal que j’ai envie de toi ! ». Une fois nu je le serrai contre moi, sexe contre sexe. Il gémissait tout en disant « Aah c’est bon... c’est bon... ».
Je commençai à le masturber, à lui caresser les couilles, il était dans un état second, dodelinant de la tête comme s’il était drogué. « J’ai envie de toi Alex… J’ai envie de te faire l’amour... ».
« Alors qu’est-ce que tu attends ? » lui glissai je à l‘oreille.
Il m’embrassa sur la bouche, me serra contre lui « Oui j’en ai très envie ! ». Je lui tournai ostensiblement le dos, me passai un peu de vaseline pour faciliter la pénétration et me mis à quatre pattes sur le lit pour qu’il me prenne en levrette. Il me prit d’abord par les hanches, sa queue était bien dressée. Sans s’aider de ses mains il me pénétra en plusieurs fois, avançant puis reculant et avança ainsi jusqu’à ce que son pubis touche mes fesses. Il découvrait un plaisir inconnu qu’il avait l’air de beaucoup apprécier. Il grognait, prenait visiblement son pied, puis ses allers-retours se firent plus rapides, ses doigts se crispèrent sur mes hanches, je collais au maximum mes fesses contre lui et dans un long râle il lâcha sa semence en moi en longs jets. Je ressentais chaque spasme avec délectation. On resta un moment ainsi puis il se détacha de moi.
Je m’allongeai sur le lit et lui tendis les bras pour qu’il me rejoigne. Il s’allongea, me prit dans ses bras et s’endormit aussitôt. Je ne fus pas long à le rejoindre.

Au matin il se réveilla le premier, m’embrassa sur la bouche et commença à me sucer les tétons. Je gémis, le plaisir montait rapidement. Il commença à me masturber puis prit mon membre dans sa bouche. Il s’interrompit pour me dire « Je ne sais pas faire ». Il reproduisit ce que j’avais fait la veille sur lui. Je me laissais aller et lâchais mon foutre sans chercher à le retenir, à faire durer le plaisir. Laurent avala et me pompa jusqu’au bout. Il releva la tête et me regarda. « Eh bien toi qui ne savais pas faire ! «  lui dis je.
Je remarquai qu’il bandait un maximum et son sexe dressé m’e ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Fellation, Sodomie