Atlas première sous traitement PREP (histoire vécue – septembre 2020),


Après moulte péripéties, j'ai enfin eu ma prescription pour le traitement PREP. Après ces mois incertains, cette ordonnance m'avait soudainement transformée en "affamée". Il fallait que "j'arrose" cela malgré le COVID et avant que tout soit définitivement clos pour plusieurs mois. Le seul endroit ou j'étais certaine de me mettre à l'épreuve c'était l'Atlas. Mise à l'épreuve est le mot juste car passer d'une sexualité "safe" au fait d'accepter le no capote est un pas très compliqué. Surtout que le traitement ne t'immunise pas aux autres maladies

En ce dimanche après midi, un doute me prend alors que je viens de garer ma voiture rue Lallier à quelques 500m du cinéma. Est-ce que je vais réussir à faire abstraction de mes 30ans de conditionnement au préservatif et oser les risques annexes ? Heureusement j'ai un remède, une bouteille d'alcool, et dans mon sac à main du poppers.

Après avoir ingurgité la presque totalité de ma bouteille et sniffé quelques dose de poppers, me voila remontant le Boulevard de Clichy. Il est 14h. L'alcool commence a faire de l'effet et je suis plus détendue que d'habitude. A chaque pas qui me rapproche de l'ATLAS, je me sens une peut plus planner. Je prends plaisir à me déhancher légèrement en remontant le Boulevard. Comme d'habitude certains regards me déshabillent. Les Bas resilles font toujours leur effet. Apres cette petite balade, j'arrive à la caisse complètement excitée. J'y pose mon manteau et traverse le hall. Comme toujours, l'arrivée d'une travestis déja habilée en femme attire les regards.

Je sais ce que je veux et que la première demie heure est la plus exacerbée pour moi. La salle du bas contre le mur à l'entrée et le recoin est mon premier objectif. Mais si je veux profiter, je ne peux pas y arriver comme cela. Alors je pousse la porte de la grande salle et m'arrête au bas de l'escalier. Je retire mon string, déboutonne mon chemisier pour laisser apparaitre ma guépière, remonte ma jupe pour laisser voir le haut de mes bas, puis enduit copieusement de gel la partie de mon corps que je suis venue inaugurer. Ma bouteille de poppers à la main, je ressort pour aller vers la salle du bas. Dans mon état la descente de l'escalier est moins évident que d'habitude et certaines mains en profitent.

Je pousse la porte et j'arrive à un moment qui a l'air bien chaud. Dans la salle je vois plusieurs travestis se faire prendre et devant moi, vers le recoin, une grappe d'hommes. Voila ce qu'il me faut. Un grosse bouffée de poppers et je me dirige enivrée, vers cette grappe humaine. Je me frotte aux premiers mecs et j'aperçois dans le coin un trav qui se fait défoncer contre le mur et, sur un siège un autre qui râle des coups du butoir qu'elle reçoit. Cela fait bien longtemps que je n'avais pas vue autant de sodo. Il faut dire que le masque interdit pas mal d'autres choses.
Des mains commence immédiatement a caresser mes fesses, puis d'autres m'attirent dans cette grappe. Ca y est, ça va commencer. Je suis folle d'excitation et je plane. Une dose de poppers. Je sens des mains qui tire sur mon pénis, des doigts qui entre en moi, le haut de ma guépière est tirée et des mains attrapent mes tétons. Le droit étant hyper sensible, la moindre caresse me fait vite "partir". On m attire a droite, puis a gauche , les mains se déchainent, je me sent molle comme un bout de viande qu'on se redonne de mains en mains. On me pénètre mais cela ne dure jamais car on me tire et retire. Je sens qu'on me suce , puis on me plaque au mur et je suis de nouveau pénétrée. Le mec s'active. Je pense alors au préservatif. J'ai peur. Mais trop tard pour reculer. En plus alcoolisée comme je suis je n'arriverai pas a me défiler de la situation. Je dois faire confiance au traitement. J'oublie tout et me laisse faire. Des fioles de poppers passent sous mon nez, des giclées de sperme arrosent mes bas, les caresses accèdent à tout mon corps et les pénétrations s'enchainent. Je suis tellement ouverte que tout arrive à entrer facilement. Les sensations de mes 14/15ans, à une époque ou je "gangais" me reviennent ce qui augmente mon envie.
20mn, 30mn, plus ? Je ne sais pas mais c'est intense et je fatigue. J'arrive à sortir de la grappe. Mais là un h me projette sur le dossier d'un siège et me prend. Ca recommence.
J'arrive enfin a me dégager et me dirige vers l'avant de la scène pour me reposer sur un siège. En marchand je sens le sperme qui sort de moi et coule.

L'excitation me reprend surtout que je viens de voir une travestis qui me plait aller dans le coins de la sortie de secours. Alors je continue mon chemin pour la rejoindre.
Ici c'est plus calme. Je me pose contre le mur a coté d'elle. En haut de l'escalier un travestis se fait prendre. ...

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