À l'époque (années 90) j'étais au lycée, je venais d avoir 18 ans. Étant interne, je rentrais uniquement le vendredi soir, chez mes parents. Environ 1h30 de bus, alors parfois pr rentrer plus vite je faisais du stop.
Hétéro, j'aimais les filles mais commençais à avoir des envies de me travestir, j essayais de temps à autre des vielles affaires de mes grandes sœurs stockées à la cave. De plus en plus souvent j'étais sans sous-vêtements au quotidien, cette nouvelle sensation m'excitait beaucoup.
Ce vendredi soir à la fin des cours, décidé à rentrer en stop, je pris à pied la direction de la sortie de ville. Un arrêt au wc de la gare pour enfiler un jean tout déchiré aux jambes et même quelques ouvertures aux fesses, laissant apparaître la couleur chair de mon cul. Un tee-shirt long pour dissimuler un peu et hop sur la route le pouce levé. Cette petite prise de risque, la sensation de l'air qui s'engouffrait sous mon jean, caressant mon intimité, suffit à me mettre en tension sexuel.
Un espace Renault, un taxi au repos ne tarda pas à me prendre comme passager. À l'époque, j'avais les cheveux mi-long qui tombaient environ à hauteur d omoplate. Fine, on me prenait régulièrement pour une fille en me disant bonjour mademoiselle, dans les commerces par exemple. L'homme qui conduisait, un quadra, me dit pour entamer la conversation :

- j'ai cru que t'étais une sourie

- ça m'arrive souvent

- ça m'étonne pas, tu mets une robe on voit pas la différence toi, tu serais superbe.

Cette réflexion jeta un trouble dans l habitacle; encore jeune et tendre je ne su quoi répondre. Le silence retomba me laissant seul, dans une atmosphère tendu qui augmenta l'humidité tropicale qui régnait entre mes cuisses. Je ne savais pas trop pk ms cet homme avait une sorte d'emprise sur moi et il me vint à l'idée de lui faire deviner ma nudité. L'air de rien je tournai un peu plus les hanches direction la fenêtre, découvrant les ouvertures déchirées sur mon ...

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