Il pouvait voir qu'elle était sous son contrôle, elle frissonna un peu et s'efforça de garder ses cuisses écartées, son appréhension ou sa peur était tangible alors qu'ils avançaient sur les routes boisées.
Elle essaya en vain de faire la conversation, mais il lui dit sévèrement de se taire, tu peux voir que je conduis. Puis elle laissa ses mains glisser de derrière son cou et il la rappela à l'ordre. Lui disant qu'il était préférable qu'elle fasse ce qu'on lui disait pour cette séance photo, sinon il risquait de perdre un contrat important, et elle devait comprendre cela. Ce à quoi elle accepta et confirma qu'elle ferait de son mieux.
Encore une fois, avec la température fraîche, elle commença à frissonner légèrement et rapprocha ses cuisses pour se réchauffer, et il lui dit de ne pas changer de position. Il la mettait de plus en plus sous son contrôle.
Il déplaça sa main vers elle et ajusta son soutien-gorge, effleurant ses doigts sur sa poitrine, ses mamelons durcissaient, il aimait ce qu'il voyait.
Ils s'arrêtèrent à la ferme et roulèrent dans la cour avec le chien enchaîné qui aboyait après eux et il se gara juste à côté de lui comme pour l'effrayer et l'empêcher de sortir de la voiture. Il mit des bottes en caoutchouc qu'il avait derrière lui, sortit sans oublier de récupérer sa robe en chemin en l'emportant avec lui. Il alla chercher son matériel photo dans le coffre et continua jusqu'à la grange pour s'installer. Après quelques minutes, il revint et ouvrit la porte pour qu'elle puisse sortir même si elle avait peur du chien, elle se glissa pieds nus sur le chemin boueux et glissa le long du côté de la voiture pour fermer la porte, le chien lui aboya dessus, elle hurla légèrement, et il lui dit de simplement rester immobile, les mains sur la tête, et d'attendre que le chien s'éloigne et il attrapa la chaîne du chien et le tira loin d'elle et lui permit d'avancer vers la grange. Elle eut du mal à marcher dans la boue et trébucha légèrement, mais elle parvint en toute sécurité jusqu'à la grange et il libéra le chien et la suivit. Il a très astucieusement fait en sorte qu'il soit impossible pour elle de retourner à la voiture sans lui et l'a verrouillée, pour faire bonne mesure.
Il l'a trouvée en train de se rincer les pieds dans un seau d'eau qu'elle avait trouvé sur le côté. Il l'a donc laissée finir puis l'a appelée pour le rejoindre au centre de la grange, l'encourageant, lui disant à quel point elle était belle, et il avait le béguin pour elle, attirant son attention sur le renflement de son pantalon. Elle a ri nerveusement mais lui a souri gentiment et s'est léché les lèvres lentement et complètement.
"Elle était vraiment sexy maintenant", m'a-t-il dit, je pouvais la voir balancer ses hanches et bouger ses seins de haut en bas, elle adorait ce bikini, et croyez-moi, Esclave, je sais reconnaître une bonne salope quand j'en vois une."
Mister John avait l'intention de m'humilier autant que possible, m'expliquant chaque détail de sa domination sur ma propre mère dans le but de la transformer en une pute sexuelle polyvalente à haut rendement exploitable.
"Alors, que penses-tu qu'il s'est passé ensuite, esclave ?" J'ai compris ce qu'il voulait de moi en tant qu'esclave et j'ai répondu : « Monsieur John, je pense que ce qui s'est passé, c'est que vous l'avez mise dans un enclos à cochons comme moi. »
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