Quelques semaines après ma virée torride a Chambery, je roulais sur l’A43 entre Lyon et Chambéry, l’asphalte brûlant sous mes pneus, une envie féroce me consumant de l’intérieur. Cette nuit où je m’étais livré, corps et âme, à un inconnu, tournait en boucle dans ma tête. Dans ma caisse, ma main glissait sur ma cuisse, frôlant ma queue déjà tendue, attisant une tension brute, vorace.
— Une pause, ça te branche ? me suis-je murmuré, la voix rauque, la bite palpitante.
— Coiranne, près de Bourgoin. Ça va être une putain de fournaise, ai-je grogné. Le soleil couchant embrasait l’horizon, jetant des éclats dorés sur l’aire de Coiranne, isolée, promettaient un terrain de jeu.
À peine garé, j’ai repéré un camion, phares éteints, planqué en retrait. Une silhouette massive se détachait dans la pénombre, adossée à la cabine. C’était lui. Ce routier, croisé dans une autre nuit de débauche, ailleurs, dans un délire tout aussi cru. Torse baraqué, barbe drue, et un regard de braise qui criait : "Je vais t’exploser."— Toi ici ? a-t-il grogné, un sourire carnassier aux lèvres, sa voix grave faisant vibrer l’air tiède.
— Le destin, mec, ai-je répondu, le cœur en feu, ma queue prête à craquer mon jean. Pas de bla-bla. On s’est éclipsés au fond de l’aire, dans une clairière cachée où l’odeur de résine se mêlait à celle de nos corps en rut.
Le routier, massif, a arraché sa chemise, dévoilant un torse taillé, poilu, luisant sous la lumière mourante. Ses pecs bombés, ses abdos sculptés, et cette ligne de poils plongeant vers son entrejambe m’ont fait saliver. J’étais affamé, prêt à me faire démonter jusqu’à en perdre la tête. Mes mains ont plongé sur lui, griffant sa peau, palpant ses muscles durs. Les ceintures ont claqué, les jeans ont valdingué, libérant sa queue massive, épaisse, veinée, déjà luisante de désir. J’ai grogné, la bouche sèche. À genoux, j’ai englouti son engin, mes lèvres glissant sur chaque centimètre, ma langue taquinant son gland, goûtant son goût salé. Ses mains puissantes ont empoigné mes cheveux, me forçant à l’avaler plus profond, ma gorge s’ouvrant à lui dans un râle étouffé. Ses gémissements rauques résonnaient, mêlés à mes grognements, dans la clairière silencieuse.
Il m’a relevé d’un geste brusque, me plaquant contre un arbre, son corps massif écrasant le mien. Ses doigts calleux ont écarté mes fesses, crachant sur mon trou pour le préparer. D’un coup de rein brutal, il m’a pénétré, sa queue ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur