Je bosse comme agent EDF , et ce jour-là, mon patron m’envoie dans la banlieue de Lyon pour checker une baraque qu’un client . Je prends le bus TCL direction La Guillotière, un quartier chaud de Lyon. Arrivé là-bas, je sors mon phone, lance Google Maps, et en cinq minutes, je me retrouve à traverser une cité qui pue la testostérone. Des mecs traînent en bas des tours, capuches relevées, clopes au bec, et leurs regards de prédateurs me scannent de haut en bas.
Je finis par sortir de la cité et atterris devant un pavillon miteux, coincé entre des barres HLM , le proprio, un vieux de 60 piges, m’ouvre la porte, pantoufles aux pieds, sourire niais. Il me file un café dégueu, et je fais semblant de m’intéresser à ses histoires de quartier pour détendre l’ambiance.
À peine je remets un pied dans ce coupe-gorge que deux lascars, ceux qui m’avaient déjà maté à l’aller, me repèrent. Ils m’interpellent direct, voix rauques, ton sec. Je les salue, poli mais nerveux, et ils me font signe d’approcher. Je m’exécute, la gorge sèche. “Salut messieurs,” je lâche, un peu coincé. “Putain, t’es sapé , toi !” rigole le premier. “C’est le taf qui veut ça,” je réponds, jouant les innocents. Je les détaille rapido : Amin, le rebeu, 25 ans max, peau mate, yeux perçants qui te transpercent, cheveux ras, corps sec mais nerveux sous son jogging gris. César, le renoi, la trentaine, plus trapu, cheveux crépus ultra-courts, moustache épaisse, lèvres charnues, peau d’ébène luisante. Mon regard chute malgré moi sur leurs entrejambes. Amin, c’est une putain de bosse obscène : une bite épaisse, longue, qui dessine un arc parfait dans son froc, posée sur des couilles massives qui tendent le tissu à bloc. César, plus discret mais pas en reste, exhibe un paquet lourd, un gland énorme qui bombe son survêt à gauche, des burnes qui pendent comme des prunes mûres. Pas de caleçon pour ces deux-là, c’est clair, leurs queues sont libres, prêtes à bondir.
Je relève les yeux, mais trop tard. Amin capte mon regard, un sourire vicieux étire ses lèvres. Il tend la main : “Moi, c’est Amin.” “Et moi César,” ajoute le renoi.
On se serre la pogne, et d’un coup, Amin me tire vers lui. Mon corps heurte le sien, et je sens sa queue raide comme un manche à balai se dresser sous son jogging, une barre brûlante qui se plaque contre ma cuisse. “C’est ça que tu veux, hein ?” murmure-t-il à mon oreille, son souffle chaud me faisant frissonner. “Oui,” je bredouille, la voix tremblante, déjà à sa merci. Il me relâche, hilare. “Une vraie chienne, ce mec !” lance-t-il à César. “On va chez toi ?” propose son pote. “Ouais, suis-nous à distance,” m’ordonne Amin.
Je hoche la tête, docile, et les regarde s’éloigner, leurs culs musclés roulant sous leurs frocs.
Ils entrent dans une tour crasseuse, je les suis, discret. Dans l’ascenseur, l’ambiance est électrique. L’espace est étroit, leurs corps frôlent le mien, leurs odeurs de transpiration et de mâle m’enivrent. Amin appuie sur le 5, et pendant la montée, je sens leurs souffles dans ma nuque, leurs regards qui me déshabillent. Je suis une proie, et putain, ça me fait bander comme jamais. Au cinquième, ils me guident dans un appart miteux, porte claquée derrière nous. César me pousse à genoux sans ménagement, Amin baisse son jogging d’un coup sec, libérant une bite molle mais déjà imposante, marron clair, veinée, avec des couilles comme des œufs d’autruche. César plaque ma bouche dessus, et Amin m’attrape la tête à deux mains, me forçant à l’engloutir. Sa teub gonfle direct dans ma gorge, s’allonge, épaissit, écartant ma mâchoire à m’en faire mal. César sort la sienne, noire, courbée, 20 cm de chair lourde avec un gland rose énorme, et se branle en matant. Il pose une main sur mon crâne, impose le rythme, me transforme en pompe à bite.
Ils me passent de l’un à l’autre, Amin me défonce la gueule pendant que César me caresse la tête comme un clebs, puis inversement. Leurs queues sont des monstres : celle d’Amin, tellement épaisse que mes doigts se touchent pas autour, un tronc veiné, des couilles marron foncé qui pendent bas ; celle de César, longue, recourbée, avec des burnes noires poilues et ce gland démesuré qui cogne mon palais. Ils me baisent la bouche en gorge profonde, alternent les claques et les insultes. “T’es une bonne suceuse, salope !” grogne Amin en m’enfonçant un mollard sur la tronche. César me pilonne, ses couilles claquent contre mon menton, et Amin me fesse la gueule : “Avoue que t’aimes ma grosse teub, petite pute !” “Putain, oui, j’adore !” je gémis entre deux assauts.
Au bout de dix minutes, Amin passe derrière moi, arrache mon froc, dévoilant mon cul lisse et bombé. “Donne ton cul, maintenant !” ordonne-t-il. Il crache un gros glaviot sur mon trou, me doigte brutalement avec deux doigts, élargissant mon anus encore vierge de la journée. “J’vais lui exploser sa chatte !” lance-t-il à César, qui approuve : “Vas-y, défonce !” Sans capote, Amin m’enfile d’un coup sec, sa bite monstrueuse me déchire, ses couilles plaquées contre mes fesses, son pubis velu qui gratte ma peau. Il m’attrape les hanches et me pilonne, pendant que César continue de me baiser la bouche. Je suis empalé des deux côtés, une vraie salope à double usage. Amin me lime comme un marteau-piqueur, ses cuisses musclées claquent contre mon cul, ses grognements rauques rythment ses coups. “Cette pute kiffe la bite, sa chatte est trop bonne !” beugle-t-il. César me démonte la gorge, ses 20 cm me font baver comme une fontaine.
Quelques minutes plus tard, Amin me fait basculer sur le carrelage froid, me bourre encore plus fort, puis cède la place à César. Le renoi m’enfonce sa queue d’un trait, profitant de l’ouverture laissée par son pote. Ses coups sont profonds, secs, son gland cogne ma prostate, me faisant gémir comme une chienne. À l’improviste, Amin présente sa bite à César, qui la gobe direct, suçant son re ...
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