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Bukkake en forêt

Publié par : erwin067 le 03/11/2025
** NEW **

C’est une belle journée en ce début d’automne.
Les arbres sont encore habillés de leur feuillage et l’odeur du sous-bois est fort agréable.
Je viens de me garer sur le petit parking de terre, relativement bien caché de la route départementale. Il y a assez de place pour garer une bonne dizaine de voitures, juste après la lisière de la forêt. Pour l’instant, il y en a cinq ou six.
C’est un lieu de rencontres, presque essentiellement entre hommes, mais il arrive qu’une femme en quête de sexe s’y aventure aussi.

Je me suis garé de façon à ce que ma portière donne sur la forêt, et non vers l’intérieur du parking.
Je porte un pantalon et une veste en jeans, et un sweat, vu que malgré le soleil, la chaleur estivale a fait place à une fraîche douceur automnale.

J’ai ouvert ma portière en grand, déboutonné mon pantalon et sorti mon sexe, déjà en demi-érection. Je me masturbe doucement. Je sens les frémissements du désir. Les hommes qui marchent sur le parking se doutent bien de ce que je fais. Mais pour voir, ils contourneront les voitures et approcheront par la forêt.
Je bande de plus en plus fort et je vois un jeune homme qui approche entre les arbres. Il masturbe un bien bel engin. Bien dur apparemment.

Les cheveux à ras, légèrement roux, assez clairs, et un fin duvet sur les joues.
Sa veste en simili cuir est ouverte sur une chemise déboutonnée en bas, et son pantalon en jeans clair est complètement déboutonné, laissant à son sexe tout l’espace dont il a besoin pour grossir. J’ai d’ailleurs juste le temps de voir un beau gland gonflé surmontant une logue tige fièrement dressée, ainsi que de belles grosses couilles bien pendantes, quand, sans un mot il met sa main sur mes couilles et les malaxe un peu. J’arrête de me branler et j’enlève ma main, lui laissant le champ libre.

Il me caresse doucement, et tout en poursuivant sa masturbation, il se penche vers moi et commence à lécher mon gland. De petits coups de langue, tout autour du gland, sur le frein, puis sur toute la longueur de ma belle bite bien bandée, jusqu’aux couilles, qu’il enfourne brusquement dans sa bouche.
Mon Dieu, j’ai failli jouir.
Je n’en reviens pas. Il a mes deux testicules dans sa bouche !
Et il les malaxe avec sa langue contre son palais, les mordille de temps en temps tout en tirant légèrement dessus, comme pour les arracher. Je mouille comme un beau diable.
Ma queue durcit encore et il doit sentir que je suis au bord de l’orgasme, car il relâche les boules et enfourne tout mon sexe jusqu’à la garde.
Une gorge profonde !

Ce type est très doué et ça va être dur de faire mieux. Je n’aurai pourtant pas le choix si je veux l’appâter.
Il recule en ne gardant que le gland entre ses lèvres. Puis remet mon sexe entièrement en bouche. Il le fait plusieurs fois très lentement, puis commence à accélérer.
Je mouille comme un fou et il avale tout sans ralentir.
Mon désir est à son paroxysme, mon érection maximale. Ma respiration s’accélère et je ne peux m’empêcher de gémir.

-Je vais jouir.
J’ai presque crié. Ma voix est rauque. Mes mains se ferment sur le tissu du siège.
Il continue. Donc, il veut récupérer mon sperme en bouche.
Le plaisir explose dans mes reins, dans mes couilles, dans mon gland. Mon pénis se contracte plusieurs fois violemment. Je sens que l’éjaculation est puissante. Il continue ses allées et venues avec ses lèvres bien serrées sur ma tige, le temps que je me vide entièrement.
Pas une goutte de sperme n’a coulé hors de sa bouche. A-t-il tout avalé ?
Bigre, la concurrence est rude.

Puis il libère enfin mon sexe, qui commence à débander.
Sa bouche est fermée et il approche son visage du mien. Je remarque aussi qu’il a arrêté de se masturber, mais je ne sais pas depuis quand. J’espère qu’il n’a pas encore joui.
Il approche encore son visage, lèvres fermées et même serrées, et je comprends où il veut en venir. Oh oui, avec plaisir.
J’avance mon visage et nous nous embrassons. Il n’a rien avalé et toute la semence que j’ai expulsée est restée dans sa bouche. Nos lèvres se soudent pour ne rien perdre de ce nectar. Nos langues se cherchent, s’emmêlent, faisant circuler mon sperme d’une bouche à l’autre.
Quel goût exquis !

Je garde la totalité de mon éjaculat dans ma bouche et nous nous séparons.
J’avale alors par petite gorgée ce bon jus de couilles.
Il recule un peu. Il a légèrement débandé, mais je ne crois pas qu’il ait joui.
Par contre, il a bien mouillé.
Je me glisse hors de la voiture, m’accroupis et m’adosse contre la carrosserie.
Sa queue est juste en face de mon visage. Il ne bouge pas, ne dit rien.

Je lui saisis les testicules et l’attire vers moi. Il a vraiment de grosses couilles pendantes.
Comme lui, j’essaie de prendre ses deux couilles en même temps dans ma bouche, mais elles sont trop grosses et je n’en prends qu’une à la fois. Pendant que je mordille un testicule, je malaxe délicatement l’autre avec ma man droite, pendant que ma main gauche s’empare de son pénis et le masturbe doucement.
Zut, il a bien débandé. Son sexe reste long, mais a perdu toute sa dureté. Je suis un peu déçu, mais je viens seulement de commencer et tout est possible.

Je continue lentement en ne forçant rien, et je sens sa bite reprendre peu à peu de la consistance. Quand elle est presque dure, je vois une cascade de mouile sortir de son urêtre et je lâche les testicules pour enfourner ce beau sexe dans ma bouche, afin de me gaver de ce liquide si précieux.
Il est temps de lui montrer mes propres talents de suceur.

D’une main, j’attrape la peau de ses couilles, là où elles sont fixées au scrotum. Je serre le poing, poussant ainsi ses boules vers le bas, et je tire, collant ainsi son bassin à mon visage. De l’autre main, je lui malaxe les testicules déjà sous pression à cause de l’autre main. Je serre et desserre le poing, ce qui a pour effet de le faire gémir assez fort, et de le faire bander à fond.

Comme je presse mes lèvres contre son pubis, son sexe est entièrement dans ma bouche. Je le sens grandir et durcir, poussant ainsi un gland de plus en plus gros vers le fond de ma gorge. Je ne reste pas inactif et, pendant que son sexe grossit, je contracte de façon saccadée la base de ma langue, tout en serrant et desserrant la gorge elle-même, masturbant ainsi son gland au fur et à mesure de sa progression vers mon arrière-gorge.
Ses gémissements ont attiré deux hommes qui se masturbent à un mètre de nous, en appréciant le spectacle. Mais je reste concentré sur ma tâche.

Il bande au maximum et je dois reculer mon visage pour pouvoir respirer.
Seule la moitié de son sexe est encore dans ma bouche, et c’est maintenant que mon savoir-faire va faire la différence. Je continue à malaxer ses couilles, et à chaque fois que je serre le poing, je le fais un peu plus fort. Et je fais tourner ma langue autour de son gland comme un masturbateur.
Je presse avec la pointe de ma langue contre son frein, puis je refais un tour complet du gland, en appuyant ma langue de toutes mes forces contre sa peau douce et dure à la fois, et ainsi de suite. Ses gémissements deviennent presque des cris.

Puis je lâche ses couilles d’une main, que je referme sur la moitié de sa queue qui n’est pas dans ma bouche, tout en continuant à malaxer ses couilles de l’autre main.
Savoir qu’il va bientôt jouir me refait bander, et voir les belles bites que les deux mecs masturbent m’excite bien. Je libère ses grosses couilles et commence douc ...

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