Me voilà arrivé sur place, des mois que j'hésite à me lancer pour de bon, moi qui ait toujours été hétéro, mais m'y voilà, mes mains tremblent un peu.

Je gare la voiture sur une petite place bitumée en lisière de ce bois dont la réputation n'est visiblement plus à faire. Je sens monter une excitation mêlée de questionnement, derrière moi plusieurs voitures de sport se garent aussi, je regarde les plaques qui sont Allemandes. Je me dit que c'est bien ma veine, pour la première fois je me décide à faire quelque chose de concret, et c'est justement le jour et l'endroit qu'on choisi ces touristes pour s'arrêter là.
Qu'à cela ne tienne, je ne prends pas de risque à aller me promener un peu plus loin. Je sors de la voiture, allume une cigarette et monte le long du chemin qui s'enfonce dans les bois, nonchalant. Mon excitation m'a donné envie d'uriner, je m'éloigne encore un peu et sors ma bite pour relâcher la pression. Alors que je n'avais rien vu jusque là, je tourne la tête au bruit d'une branche qui craque. C'est là que je le vois, souriant et l'air bon enfant, un cinquantenaire en jean et veste de cuir passe à côté de moi sans se priver pour jeter un œil à ce que je tiens entre les mains et s'éloigne un peu.
Je le vois à quelques mètres presque immobile, de dos, la main droite filant vers son entrejambe. Je me lance sans plus réfléchir et viens me placer à sa hauteur, un sourire aux lèvres, sans un mot je le regarde se masturber. Sa queue n'est pas tout à fait dure mais elle est déjà de bonne taille et je ne peux en détourner le regard. « Quel age as-tu ? » me demande-t-il d'une voix douce, je lui réponds que j'ai trente ans, et alors il me réponds « ha, tu pourrais être mon fils... ». Malgré cette phrase un peu déplacée dans le contexte, je vois sa queue enfler brutalement pour devenir un prodigieux pieu élevé et infaillible. Je comprends que cette différence d'âge l'excite et approche doucement la main pour commencer à le branler, il lâche aussitôt un râle de satisfaction et cambre légèrement le bassin pour me laisser pleinement accéder à son membre. Remarquant les touristes à travers les branches, il me dit « tu veux que l'on s'éloigne un peu ? On pourrait nous voir... ».
Mais ces conducteurs sont assez loin et trop concentrés sur leurs bolides pour nous remarquer. Je serre alors un peu sa queue dans ma main en accélérant le mouvement et réponds « Non, on est très bien ici... ». Il laisse ...

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