Dans la forêt



Cette histoire véridique va rappeler des souvenirs à ceux qui connaissent le coin.

Lorsque je suis arrivé en Vendée, j’ai découvert la plage naturiste de Sauveterre. Je ne me doutais pas qu’elle serait à majorité masculine.
Pour la rejoindre à partir du parking, au début, j’ai suivi la grande allée principale qui rejoignait le blaukos, avant de me déshabiller.

Au début j’ai commencé par enlever mon maillot dans l’eau, puis j’ai commencé à sortir de l’eau en mettant mon maillot devant mon sexe pour rejoindre ma serviette et m’allonger nu sur le ventre. Cette position m’empêchait de voir les gars nus et si je me mettais sur le dos, mon érection incontrôlable se serait vue, alors j’ai commencé par me mettre assis en serrant les jambes.
Petit à petit, j’ai osé par aller dans l’eau nu en essayant de contrôler mes érections. L’eau froide me permettait de rejoindre ma serviette sans problème. Ma confiance grandissait et je ne craignais plus d’aller et revenir nu de l’eau même si la distance était plus longue si marée était basse. J’appréciais même lorsque mon sexe était détendu et ballotait lorsque je marchais.
Cette confiance m’a permis de suivre de loin depuis le parking un gars qui a pris un chemin sur la gauche. J’ai découvert un tas de petits chemins où des bosquets occupés par des garçons, seuls ou en couple et d’autres se baladaient nus. Je restais parfois assis à regarder ce spectacle.
Arrivé à la plage, j’avais une sacrée bosse dans mon short. Cela ne m’empêchait pas de me changer discrètement sauf que je n’avais pas remarqué qu’un bonhomme à moitié dissimulé par un muret de galets que chacun refaisait après les hautes marées se caressait son entre jambes en me matant.
Au fil du temps, je n’avais plus peur de profiter d’éventuelles rencontres. J’ai décidé d’explorer cette forêt et cette plage à différents moments. J’ai commencé par rester plus tard le soir. Il ne se passait rien je n’étais pas rassuré de traverser la forêt à la tombée de la nuit.

Au début de printemps lorsque certaines journée était ensoleillée, qu’il n’y avait pas encore l’affluence des touristes, j’avais décidé d’aller voir un jour de semaine ce qu’il se passait dans la forêt. Le parking était presque vide. J’ai posé ma serviette dans une petite clairière assez discrète mais visible. Je me suis déshabillé ne gardant que mon caleçon. Allongé sur le dos, je surveillais les alentours. Je croyais ne rien voir lorsqu’au loin je remarque deux retraités qui me regardaient. J’ai commencé à mettre ma main dans mon caleçon. Quand j’ai vu qu’ils s’approchaient, je me suis complètement allongé les yeux fermés, les bras derrière ma tête, les jambes légèrement écartées.

J’ai commencé à frissonner lorsque j’ai senti deux mains me caresser le torse, le ventre, les tétons. Quand deux autres mains ont commencé à me caresser les jambes, l’intérieur des cuisses, je ne pouvais plus cacher la bosse au niveau de ma braguette. Une voix m’a demandé si il pouvait regarder. J’ai répondu oui.

J’ai senti deux mains de chaque côté de mes hanches saisir l’élastique de mon caleçon pour le faire glisser et me le retirer. Mon sexe libéré se redressa. J’ai entendu : « elle est belle ! » J’aimais mon sexe de 16 cm bien droit, lisse dont le gland pouvait être décalotté sans difficulté.
Avec la chaleur, mes boules étaient distendues, le bout de mon gland luisant de mouille dépassait de son prépuce. Des mains ont écarté mes jambes au plus possible pour faire rouler doucement les boules dans l ...

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