Au cours d'une de mes rencontres coquines dans un de mes lieux favoris, je fis la connaissance d'un Biker, grand amateur de Harley-Davidson et de jeunes hommes graciles. Son look correspondait à sa passion ;cheveux longs grisonnant, barbe entretenue, la cinquantaine bedonnant et quelques difficultés à bander sans doute à cause d'un début d’andropause.
"_Tu viens souvent ici? Me demanda t-il."
J'essuyais mes épaisses lèvres de son liquide pré-séminal avec le mouchoir qu'il me tendait.
"_Non, pas très souvent, cet endroit est un peu trop glauque pour moi.
_Tu as raison. Je préfère de loin aller au sauna même si ça coûte plus cher. Tu connais ?
_Euh, non j'y suis jamais allé. C'est bien?
_il y a un tas de beaux mecs là-bas et il y en a pour tout les goûts. On pourrait se donner rendez-vous là-bas un de ces jours.
_Pourquoi pas!"
Nous nous quittâmes dans l'espoir de nous revoir bientôt en d'autres lieux.
Le lendemain, juste par curiosité, je me rendais à ce fameux sauna libertin, le cœur palpitant chargé d'appréhension. Comment cela allait-il se passer ? Arrivé sur les lieux, une charmante hôtesse m'expliqua le fonctionnement de l'établissement lorsque j'avouais que c'était ma première fois. Il fallait d'abord passer au vestiaire pour se déshabiller et une fois la serviette autour de la taille (mais ce n'est pas obligatoire) on pouvait se rendre au sauna.
Quelques mecs déambulaient nus ou n'ayant pour seul apparat qu'une minuscule serviette pour cacher l'essentiel de leurs intimités. Il y avait comme une ambiance de débauche et cela m'excitait beaucoup. Sur la droite un bar où l'on pouvait se restaurer, en face légèrement surélevé un jacuzzi pour faire trempette et se détendre, à gauche un hammam qui servait aussi de douches (c'est un peu étrange d'ailleurs, ai-je pensé au premier abord, mais après on comprend pourquoi), et le fameux sauna un peu plus loin. C'est par là, que je commençais ma visite.
Le sauna en question était plutôt exigu pour donner son nom à l'établissement. Les deux bancs en bois superposés pouvaient accueillir six personnes maximum. A travers la porte en verre transparente, un seul homme était allongé sur le banc supérieur, en mode douce farniente. J'entrais dans la fournaise et m'assis sur le banc inférieur. L'air était brûlant, sec et étouffant. L'homme ne semblait pas faire attention à moi, il restait immobile, un avant bras sur son front, l'autre contre son flan, sa poitrine se gonflant et se dégonflant au rythme lent de sa respiration, une pellicule sueur enduisait sa peau hâlée. C'était un quinquagénaire mais il avait encore un corps tonique et ferme. Il était vraiment très beau ; cheveux long grisonnant jusqu'aux épaules, yeux gris acier , la serviette autour de sa taille devait cacher monts et merveilles. Mais peut-être voulait-il qu'on le laisse tranquille. Je ne voulais pas l'importuner mais en même temps j'étais venu ici pour une raison bien précise. Après un temps d'hésitation, j'effleurais sa cuisse du bout des doigts scrutant sa réaction. Il resta stoïque, sans réaction, se laissant faire. Je poursuivais à tâtons l'exploration de son corps à l'affût du moindre signe de sa part. Il se redressa un peu et me sourit, me donnant par la même occasion le feu vert pour poursuivre mes investigations charnelles. Mes caresses s'intensifièrent parcourant ce bel étalon sous toutes les coutures, longeant les courbes fermes de sa musculature avant de m'infiltrer sous la serviette. Je tombais sur son gros nœud puissant, son sexe massif était déjà près à recevoir son dû. Je dénouais la serviette pour découvrir ma récompense. Et qu'elle jolie surprise! A genoux sur le banc inférieur, j'enlevais m'a serviette me dénudant totalement montrant ainsi mes fesses aux curieux qui commençaient à s'agglutiner devant la porte vitrée.
Ma langue raclait le bas de son ventre, le haut de ses cuisses goûtant sa peau veloutée perlée de sueur pour finir sur son sexe érigé. Je soupesais ses grosses bourses qui avaient besoin d'être vidées urgemment et me mis à le pomper avec toute la dévotion dont j'étais capable. Ma voluptueuse bouche siphonnait le Priape tendu de mon impassible étalon avec une délicieuse langueur. Soudainement, il se dégagea, dégoulinant de sueur et me proposa de poursuivre dans une cabine prétextant être incommodé par la chaleur.
Nous sortîmes en se frayant un chemin à travers la foule de voyeurs qui s'étaient rassemblés devant la porte et il m'emmena au fond du couloir dans une salle équipée d'une large banquette de couleur pourpre. La lumière rouge produisait une ambiance étrange à ce lieu. Une vitre dans un coin du mur était disposée pour que les curieux puissent se rincer l'œil. Mon beau mâture s’allongea nu sur la banquette sans dire un mot, ni faire un geste pour m'inviter à poursuivre ma fellation. Il se laissait faire, abandonnant son corps à mes désirs. D'un certain point de vue, c'était lui le passif même si je comptais bien récolter le fruit de mes efforts! A quatre pattes entre ses jambes, je repris là où j'en étais resté, le pompant goulûment, mes fesses offertes à la vue de tous. Des amateurs s'étaient rassemblés derrière la vitre pour profiter du spectacle en se masturbant. J'adore être observé de la sorte par d'autres hommes pendant que je fais mes cochonneries. Je dois sans doute être un peu exhibitionniste car cela m'excite toujours beaucoup.
Sans me préoccuper d'autrui, je m'efforçais à sucer cette grosse bite disponible en libre service. C'est alors que je sentis une douce caresse dans la courbure de mon dos et la présence de visiteurs autour de nous. Saperlipopette ! Nous avions oublié de verrouiller la porte et nous étions maintenant rejoint par les badauds les plus téméraires. Sans me départir de ma tache, je poursuivais me délectable succion en faisant abstraction à l'intérêt que nous avions provoqué. Des mains se posèrent sur ma croupe et quelque chose se pressa contre mon anus. Affolé, je me retournais prestement et vis un jeune bear d'une beauté sauvage derrière moi. Il semblait vouloir profiter de cette opportunité pour me sodomiser. Après avoir jeté un coup d'œil pour vérifier qu'il s'était protégé je retournais à ma friandise laissant mon visiteur le choix de faire ce qu'il voudrait de moi. Il ne m'a pas fallu attendre longtemps avant d'être rempli.
A quatre pattes, une queue dans la bouche et une dans le cul, entouré d'inconnus dont je n'avais même pas vu les visages, qui se paluchaient en attendant impatiemment leur tour. Dans quelle disgrâce me trouvais-je encore ! Pompant un mâle pendant qu'un autre m'enculait ! Pris des deux cotés ! C'était trop bon! Le vas et viens simultané des verges dans chacun de mes orifices me faisait perdre la tête. Le jeune poilu rondouillard s'en donnait à cœur joie en me pilonnant le cul pendant que j'aspirais avec gloutonnerie la morille de chair avec mes grosses lèvres charnues de suceuse de bites. Ils finirent par lâcher la purée quasiment au même moment en remplissant chacune de mes extrémités. Le jeune Bear me remercia de lui avoir prêter mon cul tandis que le Daddy déversait sa semence laiteuse dans ma bouche jusqu'à la guère goutte. Au bout d'un moment, il émergea de sa torpeur et m'embrassa goûtant lui aussi à son propre sperme. J'étais un peu gêné de l'embrasser alors que je devais sentir le stupre mais cela ne semblait pas le déranger. Il me remercia lui aussi pour la gâterie et prit congé.
Je retournais seul directement au sauna, bien conscient que certains auraient voulu entrer dans la ronde mais j'avais besoin d'une pause. Rejoignant un jeune homme et un monsieur d'une petite soixantaine d'années dans l'atmosphère sèche et relaxante de cet enfer boisé. Allongé à plat ventre, nu, sur le banc supérieur, j'essayais de me remettre de mes émotions. L'ambiance mutique et distante dura quelques minutes avant que le jeune homme la brise.
"_Tu as un joli petit cul.
_Euh, merci.
_Je t'ai vu à l’œuvre tout à l'heure dans la cabine du fond"
   Mon dieu, il avait dû tout voir! Quel honte! Je ne savais plus quoi dire.
"_C'est gentil, merci.
_De rien. C'est moi qui t'ai caressé quand tu... enfin tu sais quoi."
   Je ne savais plus où me mettre.
"_Mais les vieux très peu pour moi. Je préfère les jeunes de mon âge."
   Le mec mature présent avec nous dans le sauna se renfrogna dans son coin sans faire de commentaires. Pour lui redonner espoir, je répondis que pour moi l'âge n'avait pas d'importance, que j'étais même très attiré par les hommes expérimentés.

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