L’infirmier
J’attends l’infirmier pour une prise de sang. Le carillon sonne. Il pleut. Je connais celui qui vient faire le prélèvement. Il a la quarantaine, pas très beau avec ses lunettes, un peu enrobé, mais une sorte de charme dans ses propos.
Comme je ne veux pas qu’il marche sur le tapis du salon, je le fais passer par la cuisine. Il ne s’oriente pas, alors je ne sais pas ce qui m’a pris, je pose mes mains sur ses épaules et le pousse pour arriver dans le salon.
Comme à chaque fois, il plaisante, me montre ses réalisations sur son téléphone portable. La prise de sang terminé, il me dit qu’il ne sait pas où est la sortie. Je remets mes mains sur ses épaules pour le ramener à la porte. Il me regarde intensément me dit que j’ai de la poigne.
Une fois parti, je ramasse ce qui restait du prélèvement pour le mettre à la poubelle. Je vois sur la table qu’il a oublié son téléphone. Je ne sais pas quoi faire. Je tente d’appeler son numéro d’infirmier. Je m’attendais à voir sonner le téléphone sur la table. Au contraire, j’entends une sonnerie. L’infirmier décroche. Je lui dis qu’il avait oublié son téléphone. Il me répond que c’est son téléphone personnel, qu’il passera en fin d’après-midi pour le récupérer.
Je le pose sur un meuble et vaque à mes occupations. Je n’y pensais plus lorsque la sonnerie retentit. Sur l’écran s’affichent un numéro qui ne correspond pas à celui de l’infirmier et une photo d’un mec à poil avec une superbe bite garnie de poils jusque sur les couilles pendantes.et son prépuce
Cette photo confirme ce que j’avais imaginé avec son regard intense.
Je m’interroge sur l’attitude à tenir lorsqu’il reviendra chercher son téléphone.
17 heures, le carillon de la porte sonne. Je vais ouvrir. Il est là avec son sourire charmeur. Je le fais entrer en le guidant vers le salon. Je lui dis qu’il y avait eu un appel. Il me dit en marchant que c’est son téléphone personnel. Croyant que c’était lui qui appelait, j’ai regardé l’écran. Gêné, il me dit :
- « maintenant vous savez »
- « Oui, cela ne me déplaît pas »
- « vous voulez en voir d’autres ? »
- « avec plaisir »
Je suis à côté de lui pour regarder défiler de beaux mecs bien lotis. Je sens sa main se coller sur ma braguette. Il peut constater que je bande. J’en fais autant. Son pantalon est bien tendu. J’ai même l’impression qu’il est bien rempli.
Les intentions étant affichées, il se met face à moi pour m’embrasser. Sa bouche est pulpeuse, ses lèvres se collent aux miennes, nos langues se rencontrent, se caressent, s’enroulent dans un échange de salive. Collés l’un à l’autre, sa main est passée dans la ceinture de mon jogging et boxer pour me caresser les fesses. Il la glisse dans ma raie. J’avais remarqué des doigts courts et épais. Je l’ai ressenti lorsqu’un d’entre eux est arrivé sur ma rondelle. Son autre main est passée pour glisser entre mes jambes et rejoindre l’autre. Il fait un mouvement comme si il voulait me soulever, mais c’est un doigt qui rentre dans mon anus. Je suis excité au maximum. Je me retiens de ne pas jouir dans mon boxer.
J’ai ouvert sa chemisette. Son torse est lisse, agréable à caresser. J’ai laissé sa bouche pour m’occuper des tétons larges et dodus, durs et pointus. Il a arrêté son investigation lorsque je les ai titillés avec ma langue, puis les téter. Ses gémissements étaient le signe du plaisir que je lui procurais. Il est devenu passif, a retiré ses mains. J’ai ôté sa chemisette, défait sa ceinture, déboutonné son pantalon, descendu le zip de sa braguette, fait glisser son pantalon. Son caleçon était tendu. J’ai glissé ma main dans l’ouverture pour saisir sa bite et la sortir. J’avais devant moi un sexe circoncis court et épais et un gros gland. Je voulais tout voir, alors j’ai baissé son caleçon. Autant son torse était glabre, autant son système pileux autour du sexe était fourni et dru, même sur ses gros testicules.
J’ai compris sa demande lorsqu’il a appuyé sur ma tête pour la faire descendre. Je me demandais si j’allais pouvoir faire rentrer dans ma bouche ce gros chibre. Agenouillé devant son gland, j’ai commencé à le lécher. Le goût un peu salé du lubrifiant m’a plu. Ma bouche était remplie par son gland. C’est lui qui doucement a fait entrer son sexe. J’ai cru étouffer, ma bave coulait de mes lèvres.
Je pensais être le seul à lui faire plaisir, quand il s’est retiré de ma bouche, m’a relevé pour retirer mes vêtements et les siens. Nos sexes étaient bandés. Il m’a penché sur l’accoudoir du canapé. Il a écarté mes jambes pour mieux séparer les lobes de mes fesses et y introduire sa langue. C’est à mon tour de geindre à chaque passage. Entre ma mouille et sa salive, mon trou était super lubrifié. Il s’est relevé, pour présenter son gland. Lorsque je l’ai senti toucher ma rosette, j’ai eu un instant de stresse. Va-t-il rentrer. Effectivement, je l’ai senti entrer lentement La sensation de douleur a laissé place au plaisir lorsqu’il fut entièrement à l’intérieur, le gland frottait sur les parois de mes entrailles. Je sentais ses boules frapper à chaque mouvement sa touffe caresser mes fesses. Il s’est collé fortement contre mes fesses, a arrêté ses va et vient. Nous avons joui de concert dans un rugissement tellement le plaisir était fort au moment où j’ai senti son sperme envahir mes entrailles, le mien maculant le plaid du canapé.
Quelques minutes de repos avant d’aller se nettoyer nos sexes encore raides dans la salle de bain, mettre le plaid dans le lave-linge.
Avant de se rhabiller, nous nous sommes roulés une méga pelle.
Une fois parti, je pensais que son charme naturel n’était pas que sur son visage.
Il inventait des situations et scénarios à chaque fois qu’il venait vers 13h30 pendant sa pause.
Il me demandait de l’attendre avec un vieux boxer qu’il déchirait avec frénésie. Cela l’excitait autant que moi. Devant lui entièrement nu, il se collait à moi. Le contact du tissu de ses vêtements me faisait bander dur. Il me pelotait les fesses, les écartant pour me titiller l’anus. Il me retournait, de sa braguette sortait son sexe pour le glisser entre mes fesses. Il frottait son blouson sur mon dos. Les boutons me griffaient la peau. Une main pinçait mes tétons, l’autre s’occupait de mon sexe. Tantôt il me décalottait à m’en faire mal, ou bien me malaxait les testicules. J’avais le sentiment que mon corps lui appartenait. Nous partions dans des délires de plaisirs. Bien chauffés, toujour ...
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