Pour nos noces d'étain, Aurélie et moi avons décidé de faire l'expérience du grand froid québécois. Aurélie etant une splendide femme pulpeuse et tres avenante, je l’ai prevenu qu’il ne fallait pas qu’elle s’offusque si elle recevait des propositions car les canadiens et canadiennes sont assez cash dans leur approche.
Après une première randonnée de trois jours en chien de traîneau, il est temps pour nous de nous arrêter plusieurs jours dans un hôtel spa grand 5* et profiter d’une piscine chauffée et d'installations de relaxation au top. Alors que nous prenons un apéritif en amoureux, jevois ma femme revenir du bar, gloussant, deux verres à la main. Je lui glisse un regard interrogateur alors qu’elle s'assoit et dépose les boissons;
“Tu avais raison, les canadiennes sont très cash. La barmaid m’a dit qu’elle me trouvait très à son goût et que je n’avais qu'à demander.”
Je rigole doucement
“Je t’avais prévenue.”
Puis la discussion change de sujet. Je remarque quand meme que ma femme glisse regulierement des regards vers le bar. Elle est manifestement flattee de plaire a cette femme. De mon cote, au cours de nos echanges sur nos passes, j’ai toujours soupconné que me femme avait des tendances bisexuelles qu’elle n’ose pas m’avouer et qu’elle avait probablement eu des expériences dans sa jeunesse mouvementée. Probablement pour que je ne lui demande pas un plan a 3 ou je ne sais quoi.
Une idée germe dans ma tête. Aurélie retourne dans la chambre prendre un châle. J’en profite pour aller au bar et engager la conversation avec la barmaid. C’est une belle rousse assez grande, silhouette assez sportive. Elle dégage un charme animal que je trouve très attirant. Coup de chance les sieges alentours sont libres, j’en profite alors pour lui dire que ma femme n’est pas insensible a son charme et sa proposition. Je lui glisse rapidement que nous sommes en anniversaire de mariage et qu'elle n'a jamais admis ouvertement être bi. La barmaid me répond qu’elle est d’accord avec mon analyse.
“Bon je m‘occupe de tout, tu veux y faire comment la ?”
“Je veux que ce soit une surprise, et je veux juste voir sans participer ni qu'elle soit au courant.”
Les yeux de la barmaid s’illuminent devant ma proposition.
“Juste pour moi toute seule ?”
“Oui. Tu me plais beaucoup aussi mais je ne suis pas un malotru qui exige. Je ne prends que ce que l’on me donne de bonne grâce.”
“Tu es chou.”

Je réintègre ma place juste avant le retour de ma belle brune. Elle me propose un autre verre avant le repas. J’accepte et l’envoie passer la commande. Je regarde du coin de l'œil la conversation se dérouler. Nulle doute que la barmaid lui fait du rentre dedans de nouveau. Aurélie revient le rouge aux joues et deux verres bien remplis à la main.
Nous avons enchainé sur un excellent dîner. En sortant de table nous sommes accueillis par un des managers de l'hôtel qui nous informe que nous avons été upgradé dans une suite pour que notre anniversaire de mariage soit le plus agréable possible. Je soupçonne immédiatement la barmaid d'être derrière tout cela mais cette surprise étant très agréable je ne vais pas m’en plaindre. Nos affaires ont déjà été déménagées et la nouvelle suite est effectivement splendide. je trouve son mon oreiller un message signé de Florence, la barmaid.
“Enjoy et à demain pour la suite de la surprise”

La journée du lendemain s'écoule paisiblement au rythme des massages et passages au sauna. Vers le milieu d’après-midi alors que nous nous reposons, on tape à la porte de notre chambre. J’ouvre et tombe nez à nez avec la barmaid en tenue de room service. Elle m’informe avec un grand clin d'œil qu’il y a apparemment eu un problème avec la photocopie de nos passeports. Je m’habille rapidement, récupère nos deux passeports et déclare à Aurélie que je vais m’en occuper. Elle me remercie d’un tendre baiser et annonce qu’elle va se faire belle pour la balade qui nous attend. Si seulement elle savait … La barmaid m'emmène dans les coulisses de l'hôtel et tout soudain je me retrouve derrière une vitre sans teint qui est en réalité le grand miroir donnant sur notre chambre. De la j’ai une vue immanquable sur la chambre. Elle me montre également comment accéder au miroir sans teint de la salle de bain. Elle m’instruit aussi de ne surtout pas faire de bruit car cela peut s’entendre facilement au travers. Avant de partir, elle se tourne vers moi et me roule une pelle intense.
“Merci. tu es adorable.” me souffle-t-elle avant de s'éloigner pour rejoindre ma femme..

J’entends Florence toquer à la porte.
“Room service, Madame, puis-je entrer ?”
“Entrez, entrez, je suis dans la salle de bain, laissez moi me couvrir.”
Je vois Florence entrer et déposer une bouteille de champagne dans un seau à glaçons.
Aurélie sort de la salle de bain et s’arrête, troublée de trouver Florence dans sa chambre.
Florence désigne les bouteilles :
“Cadeau de la maison avec toutes nos félicitations.”
“M .. merci.” bégaie timidement ma femme? Elle commence à rougir. Elle est vraiment craquante.
“Vous alliez vous faire couler un bain je crois. Laissez-moi vous aider à vous détendre.”
Florence prend la direction des opérations, saisit doucement le coude d'Aurélie et l'entraîne doucement dans la salle de bain. Elle met alors le bain à couler, règle la température de l’eau, dépose des sels de bain puis se retourne vers ma belle brune.
“Asseyez vous sur le bord de la baignoire, je vous sens tendue. Un massage vous fera le plus grand bien.”
A peine Aurelie assise, la serviette tombe par terre devoilant ma femme toalement nue. Je vois que Florence apprécie mais elle reste pour l’instant très professionnelle, lui massant les épaules et le haut du dos. Je vois ma femme se décontracter sous les mains expertes de la québecoise.
Arrêtant son massage, Florence stoppe l’écoulement de l’eau. Et aide ma femme a s’allonger au fond de la baignoire.
“Je vous laisse profiter quelques minutes et je reviens de suite.”
Elle s’éclipse de la salle de bain et j’entends un léger grincement sur le verre sans teint de la chambre. Je tapote en retour pour lui signifier ma présence. Elle sort une bretelle de son soutien gorge du bout du pouce, me la montre et pointe du doigt la commode puis l'armoire et enfin la valise. Je tapote lorsqu’elle désigne la valise ou se trouvent les dessous de mon épouse. Elle fouille expertement dedans sans froisser les autres affaires et en sors une très belle nuisette toute en transparence et dentelle ainsi que le magnifique shorty assorti.

Elle retourne alors vers la salle de bain, posant ses prises sur le lavabo.
“Il est temps de sortir Madame, ou votre peau va se friper.” Joignant le geste à la parole, elle attrape doucement la main de ma belle et l’aide à se mettre debout. Elle attrape alors une serviette et commence a secher le corps de ma femme en commencant par des zones neutres comme les jambes ou le dos. Elle arrive très vite néanmoins à frotter des parties plus intimes sur lesquelles elle s’attarde légèrement plus sans être trop insistante.
“Merci. Tu peux m’appeler Aurélie et me tutoyer si tu le veux.”
“Ok Aurélie enchantée. Je m’appelle Florence.” répond aussi sec la belle rousse.
Elle en profite pour embrasser spontanement ma femme sur les deux joues.
“Enchantée également Florence.” dit-elle. Sa voix est troublée. Etre nue devant une autre femme n’est vraiment pas pour lui deplaire.
“Bien aurélie, il faut prendre soin de cette belle peau. Il faut la nourrir.” Florence attrape le tube de body lotion dans la poche de son uniforme et entreprends d’en etaler le contenu sur le corps de ma femme. De nouveau elle commence par des endroits neutres comme les épaules, les bras et le dos, puis elle s’accroupit pour s’occuper des mollets et des cuisses. Il ne reste désormais plus que des zones sensibles. Elle passe sur l’aine et le pubis en prenant bien soin de seulement effleurer l’intimité puis elle lui masse abondamment son postérieur rebondi. Je vois Aurélie fermer les yeux sous la caresse. Florence lui passe alors le shorty. Puis Florence s’occupe de masser son ventre et le haut de son buste. Les deux femmes sont face à face à quelques centimètres l’une de l‘autre. Florence enfile la nuisette à Aurélie. Puis elle plonge ses mains toujours pleine de creme sous la nuisette et entreprends de masser le magnifique 110E de ma femme. Celle-ci ferme les yeux de nouveau, soupire de contentement puis embrasse timidement Florence du bout des lèvres.

C’est le signal tant attendu par la quebecoise qui embrasse desormais ma femme à pleine bouche tout en la serrant contre elle de son autre main desormais autour de la taille. Aurelie n’est pas en reste et ses mains se posent sur les hanches de Florence commençant un tr ...

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