Elise me pousse sur le côté et me montre tout en m’expliquant (pas facile de parler et de lécher en même temps). Heureusement, Tata Ninie fait son entrée et reproche à Elise et Arthur de faire preuve d’aussi peu de pédagogie. Elle me demande si on m’a déjà léché le cul et je réponds par la négative. « Alors, comment voulez-vous qu’il sache ce qui fait du bien de ce côté-là ? Comment voulez-vous qu’il sache s’y prendre ? Mets-toi à quatre pattes mon petit chou à la crème ; je vais te montrer. »
J’obtempère et Ninie se place derrière moi après m’avoir mieux disposé : non pas sur les mains mais sur les avant-bras ; de cette façon, j’ai la croupe surélevée et donc plus accessible. Elle écarte aussi légèrement mes jambes et elle passe une main sous ma croupe en frôlant délicatement mes bijoux de famille qui pendouillent avec grâce. Elle attrape ensuite ma queue et commence à la traire comme s’il s’agissait d’un pis de vache. Si elle continue, mon pis va se raidir et cesser de pendouiller. Je ne dis mot et suis à l’écoute de toute sensation produite par Ninie. Elle relâche rapidement mon sexe pour revenir vers mes fesses sans oublier de frôler mes bourses au passage. De ses deux mains, elle écarte mes globes fessiers et je sens le souffle de ses narines qui parcourt toute ma raie du haut vers le bas avant de déposer une petite léchouille sur mes balloches. Sa langue remonte ma raie et y dépose autant de salive que possible. Arrivée au niveau de ma rosette, cette langue souple et baveuse se fait plus raide et pointue. Elle contourne mon œillet dans un sens puis dans l’autre et reprend sa souplesse pour répandre encore de la bave jusque dans le bas de mon dos. J’en ai des frissons et l’excitation me gagne progressivement : je reconnais cette envie de me faire pénétrer comme hier, avec Arthur, dans la verrière.
Ninie me malaxe chacune de mes fesses avec ses deux mains et y dépose des salves de délicats baisers. Elle recommence à me lécher la raie de haut en bas avant de s’attarder sur ma rondelle. Cette fois, elle essaye d’en forcer l’entrée en pointant sa langue telle une lance mais je ne suis pas encore ouvert suffisamment pour qu’elle y parvienne, même si je suppose qu’elle ne force pas autant qu’elle le pourrait. Elle redescend jusqu’à mon scrotum qu’elle titille au point de lui imprimer un mouvement de balancement fort agréable. Je n’avais pas encore prêté attention à cette caractéristique : Ninie a un piercing sur la langue. Elle en use désormais avec insistance en l’appuyant bien en remontant ma raie jusqu’à s’arrêter de nouveau au niveau de mon anus qui commence à réclamer une pénétration. La langue en fait le tour tout en appuyant avec la boule métallique du piercing. Je ne tiens plus mon bassin qui part vers l’arrière afin de mieux se faire transpercer. Je peine à retenir mes jappements de désir et Ninie transperce enfin mon entrée et y tourne la langue autant qu’elle peut tout en frottant sa boule sur les parois internes de mon anus. C’est jubilatoire au possible. Mes sphincters ...

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