Ma vie sexuelle débridée (4)

Mes plans avec des mecs (et avec des filles ; peloter leurs seins, leurs chattes, et bientôt les sauter) ont débuté très tôt car j’étais déjà une chaude du cul étant très jeune... C’est moi qui le premier, car je suis une vraie nymphomane qui veut voir des bites tout de suite, prenait l’initiative : je leur touchais le sexe par-dessus le pantalon (n’importe où, n’importe quand, en cours, dans les toilettes, dans les bois, sur un terrain de sport, dans une chambre, la mienne ou celles des autres, dans une cuisine, dans un garage, dans une cabane...), je baissais leurs braguettes, je les touchais, les pelotais, les masturbais... J’ai d’abord couché avec trois mecs. Avec les deux premiers, on s’est branlés uniquement mais on a bien joui. Quelle découverte, ces jeunes et belles queues toutes frétillantes ! Avec le troisième, c’était encore plus chaud : on était complètement à poil dans ma chambre ; pour s’exciter, on se montrait nos culs de salopes et nos bites en faisant des ombres chinoises avec des spots de couleur ; là, je l’ai vraiment longuement branlé, il m’a bien montré sa petite chatte en contre-plongée, les cuisses écartées, et pour la première fois, j’ai osé prendre une bite en bouche et j’y ai vraiment pris goût, je l’ai sucée goulument ; j’ai aimé sa forme, son odeur excitante ; c’était une assez belle queue, bien lisse, qui bandait peu à peu dans ma bouche, très agréable à sucer ; c’est là que j’ai vraiment cédé au plaisir de la bite ; j’ai fait mon premier apprentissage... Et avec une cinquantaine de bites sucées depuis, de manière insasiable car la grosse salope que je suis a toujours faim, on me dit que « j’assure très bien » et que je suis « un excellent pompeur » ; je veux bien le croire, vu le nombre de bites que j’ai fait décharger ; je mets du cœur à l’ouvrage...

J’ai dû rencontrer ensuite une bonne cinquantaine de mecs... Je passe sur les trop nombreux lapins et les plans inachevés : un mec qui me reçoit à poil dans sa douche mais qui n’est pas décidé, alors que moi, la nymphomane de service, je le suis Ô combien, je bande dur, et il me laisse dans un tel état que je dois me masturber en rentrant ; un autre, tellement travesti et maquillé que cela ne m’excite pas vraiment... Ou sur les plans un peu quelconques de mecs peu excités et peu vicieux, qui ne bougent guère et ne prennent que peu d’initiatives (la présence constatée, une fois, d’un appareil photo sur la table d’un de mes partenaires aurait pu lui donner l’idée de photographier nos ébats, j’aurais été d’accord, et ça, c’eut été excitant...), ce qui ne m’a pas empêché de jouir comme une salope...

Mais je me souviens d’une bonne trentaine de plans très chauds et réussis, ainsi que de certains détails qui me font jouir encore quand j’y pense... En voici quelques-uns.

J’ai été reçu lorsque j’avais une bonne trentaine d’années par un très beau mec un peu velu, grand, sportif, avec une belle queue. J’étais intimidé car c’était ma première rencontre chez un mec contacté par le réseau. Mais cela s’est très, très bien passé ! Il était en slip noir lorsque je suis arrivé. Déjà, j’avais envie de le toucher, je devinais une belle bite... Il m’a tout de suite mis à l’aise, savait qu’il allait devoir m’initier (ou plutôt me réinitier...) ; moi, je voulais savoir si j’aimais toujours autant les bites et parfaire mon apprentissage de ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite