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Mariée depuis des années, tu es animée par l'envie irrésistible d’un jeunot

Publié par : lokee le 03/10/2024

Mariée depuis des années, tu es animée ces derniers temps par l'envie irrésistible de jouer avec un jeune minot.
T'abandonner aux pulsions incontrôlables, maladroites et sauvages d’un bambin a toujours été pour toi un fantasme, qui a toujours été difficile à réaliser dû à ta vie familiale.

Un jour, en parcourant internet, tu as repéré mon annonce. Jeune homme charmant plutôt timide au vue de ma photo, qui offre un soutien en informatique. L’occasion parfaite pour m’attirer chez toi sous un prétexte anodin, et exploiter ma timidité à ton avantage.
Jouer avec ma vulnérabilité en l’absence de ton mari te provoque une vague de chaleur qui envahit ton corps comme jamais. Voilà l’occasion parfaite pour attirer un inconnu chez toi et jouer avec son innocence.

Après quelques jours de réflexion, curieuse de voir jusqu’où cela pourrait t’amener, tu décides de passer à l’action en répondant à mon annonce, avec un ton léger et naïf. Prétextant que tu as besoin d’un nettoyage complet de ton ordinateur, tu ajoutes que tu aimerais aussi apprendre à mieux l’organiser et découvrir quelques astuces informatiques. Tu sais que ce genre de demande provoquera forcément une réponse de ma part…

Très rapidement, tu reçois une réponse du jeune bambin informaticien, enthousiaste et poli. Je te confirme ma disponibilité sans hésitation. Après quelques échanges cordiaux, tu me proposes de venir directement chez toi, prétextant que déplacer tout le matériel est trop contraignant. ‘Ce serait beaucoup plus pratique de tout faire sur place,’ me dis-tu avec innocence, tout en te réjouissant à l’idée de m’avoir si facilement à ta portée.

Le rendez-vous est fixé une après-midi, et malheureusement ton mari ne sera pas là pour profiter de la ‘formation’.
Le jour J, tu te tiens prête, impatiente. Lorsque je sonne à la porte, ton cœur bat un peu plus vite. Tu m’ouvres, avec un sourire chaleureux, vêtue d’une robe élégante qui épouse délicatement tes formes, avec un décolleté juste assez insinuant pour titiller l’imagination sans en faire trop.
‘Bonjour, bienvenue !’ me dis-tu avec douceur, m’invitant à entrer chez toi.

Tu découvres ton formateur particulier : grand, mince, très jeune, et bien plus charmant que tu ne l’avais imaginé. Mon allure juvénile et mes manières hésitantes trahissent une certaine timidité, comme si la situation me met légèrement mal à l’aise. Tu le sens immédiatement, dans mes gestes et mon regard fuyant, et mon sourire intérieur.
‘Parfait,’ penses tu en te réjouissant de cette innocence palpable. Tu me fais entrer d’un geste doux, dans un cadre décontracté. ‘Installe-toi, fais comme chez toi, l’ordinateur est par ici’ dis-tu, alors que je semble encore chercher mes mots.


(Une pièce cosy, éclairée d’une lumière naturelle d’une belle après-midi)
Alors que tu m’offres à boire, je m’assois devant ton ordinateur posé sur un bureau et je regarde sans perdre un instant le travail à faire.

Toi
– Alors, tu penses pouvoir résoudre mon petit problème ?
(Sourire aux lèvres, tu te penches légèrement pour dégager une vue sur ton décolleté )
– Je dois avouer que la technologie, ce n’est pas vraiment mon fort…

Moi
– Euh… oui, ça devrait aller… C’est juste une question de réglages. Rien de bien compliqué.
(J’évite ton regard, concentré sur l’écran.)

Toi
(Se rapprochant lentement derrière moi, ton souffle effleure légèrement mon cou.)
– Heureusement que tu es là, je ne sais pas ce que j’aurais fait.
(Tu poses doucement ta main sur mon épaule.)
– Tu es vraiment doué avec tes mains, non ?

Moi
(Gêner, je rougis, les mains hésitantes sur le clavier.)
– Euh… l’informatique aujourd’hui est devenu compliqué. J’aime aider les gens en leur prêtant mes mains. Je suis là pour vous, profitez en.

Toi
(Tu glisses lentement autour de moi pour t’asseoir à côté, très proche.)
– Oh, je suis sûre que tu sais faire des choses bien plus compliquées que ça.
(Tu me fixes avec insistance, un sourire énigmatique.)
– Tu sais, ce n’est pas souvent que j’invite quelqu’un chez moi… Surtout à cette heure-ci.

Moi
(Nerveux, je ris maladroitement.)
– Je… je suis juste là pour l’ordinateur… rien de plus. Je ne suis pas dangereux soyez tranquille.
(Je tape plus rapidement sur le clavier.)

Toi
(Tu te penches un peu plus, frôlant presque mon bras avec ton sein.
Tu glisses un doigt le long du bord de l’ordinateur.)
– C’est vrai je peux en profiter ?

Moi
(Je m’arrête net, mes doigts suspendus au-dessus des touches, clairement déstabilisé.)
– Oui n’hésitez pas. Si vous avez besoin de quoi que ce soit.

Toi
(Tu ris doucement, une lueur malicieuse dans les yeux.)
– Tu es vraiment adorable… Il y a tellement de choses que j’aimerais te montrer.
(Tu me regardes avec insistance.)
– Je peux prendre ta main ? Laisse la moi stp. J’aimerais la regarder de plus près. Laisse toi faire.

Tu prends ma main. Tu la regardes de plus près. Puis tu mets mes doigts dans ta bouche pour les sucer.

Avec ton autre main, tu relèves ta jupe. Tu ne portes pas de culotte. Tu te caresses la vulve en écartant les cuisses. Tétanisé, je suis complètement émerveillé par ce spectacle. Je suis pris d’une violente érection qu’il m’est difficile de dissimuler.

A la vue de mon pantalon gonflé, tu bondis à ma ceinture si rapidement que je ne sais quoi faire.

Tu déboutonnes mon pantalon et tu libères mon sexe. Il est gros, déjà tout dur, appétissant et semble bien juteux.

Tu commences à me sucer doucement avec gourmandise. Je te maintiens la tête avec la main. À chaque coup de ta langue sur mon gland, j’abaisse ta tête pour engloutir plus profondément ma queue dans ta bouche. Tu salives. Tu laisses de la bave visqueuse coulée sur mon queue. Tu t’amuses à entreouvrir la bouche pour faire des fils de bave, puis tu resserres les lèvres pour former de la mousse à chaque va et vient sans cesse de ta bouche autour de mon gros sexe. Je me régale de plaisir.

J’empoigne doucement mais fermement tes cheveux et j’appuie encore plus fort ta tête sur ma bite au point que tu manques d’air.
Je lache ta tête pour que tu puisses respirer. Tu sors ma queue de ta bouche et tu la tapotes sur la joue en me regardant droit dans les yeux.
Avec un regard affamé tu enroules ta langue autour de mon gland. ‘Hummm oui suce moi le gland comme ça.´

Après avoir repris tes esprits, tu reprends mon sexe en pleine bouche. A cet instant, je comprends qu’il n’y a plus que la pulsion animal qui dicte tes actes… et cela commence à désinhiber ma timidité.

Je saisis plus brutalement ta tête avec mes deux mains et tente de t’enfoncer ma bite au fond de la gorge avec de coups de reins plus secs. Tu veux hurler mais mon sexe obstrue ta bouche baveuse, une violente envie de vomir te prend à chaque fois que tu sens ma queue s’enfoncer très profondément, tu es au supplice quand tu sens mon sexe se contracter puissamment de nombreuses fois dans ta ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Hétéro, Fellation, Sodomie, Jeunes, Mûrs, Marié(e)s