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Souvenir de mon service militaire 4

Publié par : pierre49590 le 10/12/2025
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Le trapu, comme s’il voulait faire durer ce moment, se releva lentement, sa langue traçant un sillon humide le long du sexe du grand, du gland turgescent jusqu’à la base de la verge. Il s’attarda sur le pubis, léchant la douce toison blonde avec une lenteur calculée, comme pour en savourer chaque parcelle, chaque effluve musqué. Le grand frissonna, ses doigts se crispant davantage dans les cheveux du trapu, comme s’il cherchait à le retenir, à l’empêcher de remonter. Mais, remontant toujours, son ami atteignit le nombril, y plongeant sa langue avec une avidité presque enfantine, tournant autour, explorant chaque repli, chaque courbe, comme s’il voulait en extraire un secret caché. Le grand laissa échapper un soupir tremblant, ses abdominaux se contractant sous cette caresse inattendue.
Il continua son ascension, sa bouche atteignant les pectoraux du grand, ses lèvres se refermant autour d’un téton qu’il suça avec avidité. Le grand sursauta, un gémissement rauque s’échappant de ses lèvres, ses hanches se poussant involontairement vers l’avant, comme pour chercher un contact plus profond, plus intense. Le trapu passa à l’autre téton, le mordillant légèrement avant de l’aspirer entre ses lèvres, sa langue jouant avec la pointe durcie. Les doigts du grand se refermèrent presque douloureusement sur les épaules du trapu, comme s’il était submergé par une vague de sensations qu’il ne pouvait plus contrôler.
Tout en remontant, le trapu ne cessa de jouer avec le sexe du grand, ses doigts enveloppant la base de la verge avec une pression à la fois ferme et experte. Son pouce, humide de salive, traçait des cercles lents autour du gland, effleurant le frein avec une précision qui faisait frémir le grand. Ce dernier, incapable de rester passif, glissa à son tour une main entre leurs corps, ses doigts se refermant autour du membre du trapu, déjà dur et palpitant. Il commença par des caresses légères, presque hésitantes, avant de serrer davantage, ses doigts explorant la longueur avec une lenteur calculée, comme pour en mémoriser chaque contour, chaque veine saillante. Le trapu, sous cette caresse, laissa échapper un souffle rauque, ses hanches se poussant légèrement vers l’avant, comme pour supplier une pression plus intense. Leurs mains, entrelacées dans une danse sensuelle, semblaient rivaliser d’audace, chaque mouvement amplifiant le désir qui crépitait entre eux. Le sexe du grand, sous les doigts habiles du trapu, semblait presque palpiter, ses veines gonflées trahissant une excitation à son comble, tandis que le membre du trapu, sous les caresses du grand, se dressait encore davantage, comme s’il cherchait à s’échapper de cette étreinte.

Le brun remonta encore, sa langue effleurant la salière du cou, cette petite dépression entre les clavicules où la peau est si fine, si sensible. Il y déposa un baiser humide, sa langue traçant des cercles lents, avant de remonter davantage, jusqu’à atteindre la mâchoire du grand. Là, il s’arrêta un instant, son souffle chaud caressant la peau, avant de capturer enfin les lèvres du grand dans un baiser profond, presque désespéré. Leurs langues s’entrelacèrent avec une urgence nouvelle, comme s’ils voulaient se dévorer, s’absorber l’un l’autre. Le grand répondit avec une fougue redoublée, ses mains enserrant le visage du trapu, comme s’il voulait le fondre en lui, ne plus faire qu’un avec ce corps qui le faisait tant vibrer.
Leurs souffles se mêlèrent, chauds et saccadés, leurs corps pressés l’un contre l’autre, comme s’ils cherchaient à effacer toute distance entre eux. Le trapu, tout en continuant de l’embrasser, glissa une main entre leurs corps, saisissant à nouveau le sexe du grand, déjà humide et palpitant. Ses doigts se refermèrent autour de la hampe, la caressant avec une lenteur torturante, tandis que son autre main remontait pour agripper la nuque du grand, comme pour l’attirer encore plus près. Le grand gémit dans sa bouche, ses hanches se soulevant à nouveau, comme pour supplier une pression plus forte, plus profonde. Leurs corps semblaient électrisés, chaque caresse, chaque baiser, chaque mouvement, amplifiant cette tension qui montait entre eux, presque insoutenable.

Leurs souffles se mêlèrent, chauds et saccadés, leurs corps pressés l’un contre l’autre comme s’ils voulaient fusionner, effacer toute distance entre eux. Le trapu, submergé par une excitation presque sauvage, rompit brusquement leur baiser. Ses yeux, sombres et brillants d’une lueur presque fiévreuse, se rivèrent sur le grand avec une intensité qui ne laissait aucun doute sur ses intentions. Sans un mot, il recula d’un pas, ses mains agrippa ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay