Le commencement de mes relations avec des hommes travestis ou non remonte à environ trente ans. Je me souviens du premier type avec qui j’ai couché parce que c’était le premier. Je l’avais contacté grâce aux annonces des journaux gratuits. On a causé pendant trois heures en buvant un coup. Je n’étais pas très à l’aise. Lui-même en était à sa deuxième fois. Il ne voulait pas d’un mec en dessous féminins, il se sentait vraiment homo. J’ai tout enlevé. On s’est sucé et on s’est léché le cul. Je l’ai sodomisé. Deux fois de suite. Sans jouir en lui car tout était trop nouveau. Ce n’était pas comme avec une fille. C’était excitant mais incompréhensible pour mon cerveau. Il n’a pas pu m’enculer par contre, il se sentait trop passif. Dommage. Je ne l’ai jamais revu. Il était sympa mais peu intéressant sexuellement pour moi. Je préfère baiser avec des dessous de fille avec les hommes ou les travestis plutôt que nu. Il me faut voir une fille. Si je n’en ai pas une vraie dans les bras, il faut que je la remplace.
Le deuxième avait des dessous comme moi. On s’est sucé et léché en 69. Mais il n’a pas pu non plus m’enculer. Trop stressé ou trop passif. Ou bien les deux. Et il ne voulait pas non plus que je l’encule. Ça faisait beaucoup de refus. On s’est fait jouir l’un sur l’autre. Lui non plus, je ne l’ai jamais revu. C’est si vieux, je ne les reconnaîtrais pas dans la rue.
Par contre, je me souviens très bien du troisième. C’était un travesti payant. J’étais en dessous aussi. Je l’ai payé pour qu’il m’encule. Et il l’a fait. Jamais je n’ai vu une queue si énorme. Ma main n’en faisait pas le tour. Ça me semblait impossible à engloutir mais j’en avais très envie. J’ai suçoté ce gros boudin chaud que j’avais beaucoup de mal à prendre en bouche à l’état flasque. Je n’ai pas pu ensuite. Je l’ai embrassé et léché. Il m’a finalement sodomisé et j’en redemandais. C’était si bon. Je n’ai pas joui mais j’ai bien senti son membre en moi. J’aurais pu faire la pute pour lui tellement c’était divin ! Jamais je n’ai revu une queue aussi énorme de mes yeux. Ma bouche et mes fesses en rêvent encore plus de vingt-cinq ans plus tard. Je comprends mieux les filles qui se donnent totalement une fois qu’elles sont enfoncées par de tels membres. Après ça, plus rien ne compte sauf de recommencer le plus souvent possible.
Ensuite, les rencontres ont été plus espacées. Ça n’a jamais été facile de trouver quelqu’un de fiable et de compatible. Peu de choses en trois décennies finalement. Des culs léchés, des bites sucées, quelques 69, quelques sodomies données et subies. Pas de suivi, pas de lien, pas de quoi se réjouir ni pleurer. Une douzaine de mecs dont trois revus deux fois, guère plus. Un jour, j’ai sucé un type dans un escalier d’immeuble. Il m’a joui dans la main et je me suis essuyé dans ma chemise. J’avais envie de lui filer mon anus mais il ne pouvait pas. Une nuit, j’encule un gars et lui jouis dans les fesses. Un autre jour, c’en est un autre qui reçoit mon sperme dans la bouche. Un seul mec m’a joui dans le cul, mais avec ...

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